UN SOIR DE DETENTE AU CLUB

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : UN SOIR DE DETENTE AU CLUB Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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UN SOIR DE DETENTE AU CLUB
UN SOIR DE DETENTE AU CLUB


Dans ce monde étrange, la morale trouve une nouvelle forme. Ce qui pourrait paraître scabreux dans une autre situation est ici tout à fait naturelle. Si tu portes un dispositif de chasteté tu es dans la morale ! Tu es l'expression de la morale et de ce fait non critiquable …
C'était une très belle voiture de luxe qui passait l'entrée du parking. Un employé en uniforme refermait le portail juste après son passage. Ici on faisait ça à l'ancienne, pas de portail automatique mais un employé. C'est pas parce qu'on n'en avait pas les moyens. D'ailleurs le portail était automatisé et l'employé se contentait de le guider de la main. Ici on recevait les clients avec respect et beaucoup d'égards.

Le client pouvait laisser sa voiture devant l'établissement, la rentrer dans le parking et la garer lui-même, la confier à un voiturier, enfin tout était prévu. Mais Monsieur Lombu préférait entrer sa voiture lui même, il la conduisait toujours lui même, enfin quand il venait se détendre.

L'employé venait lui ouvrir la portière et recevait les clés en échange, il se chargerait de la suite. Une porte vitrée très bien éclairée s'ouvrait au moment ou Mr Lombu s'en approchait, c'était toujours un employé qui le recevait avec le sourire en le saluant. '' Heureux de vous revoir Mr Lombu, vous allez bien ? ''.
'' Très bien Henri, très bien, vous avez reçu ma réservation ? '' . '' Nous vous attendions !''.

Mr Lombu entrait dans un hall très bien éclairé et très luxueux. A l'intérieur de ce bâtiment on ne se cachait pas, tous les habitués, les autres également, étaient passés par la PK Université et tous y avaient pris quelques habitudes qui dans un autre endroit, à une autre époque étaient moralement répréhensibles. Mais il faut bien vivre et comme le disait le poète : '' Il faut bien que le corps exulte … ''. Précisément pour ces cadres supérieurs de la PK, il n'exultait pas tous les jours.

Bien sûr quelques petits malins avaient des employés qui ne portaient pas le fameux dispositif de chasteté obligatoire mais ils étaient rares. Qu'auraient dit leurs proches, leur famille, leur femme. D'autres utilisaient des gadgets qui quelquefois étaient très sophistiqués, techniquement très performants. Chacun avait son truc.

L’hôtesse de cette maison venait accueillir son hôte avec un large sourire.

L'hôtesse : Mr Lombu, je suis très heureuse de vous recevoir, ça faisait quelques semaines que nous ne vous avions pas vu, j'espère que vous n'avez pas été souffrant.

Un serveur arrivait discrètement un plateau en main et proposait à Mr Lombu une flûte de champagne.

Mr Lombu : Non Agnès, j'ai beaucoup travaillé, c'est tout. C'est dernières semaines on été très occupées, très bien remplies.
Agnès ( l'hôtesse ) : Je ne doute pas que vous avez du faire gagner quelques milliards à la PK.

Mr Lombu souriait à ce commentaire.

Agnès : Votre chambre est prête, souhaitez-vous passer au bar ?

Mr Lombu reposait son verre sur le plateau. '' Non, je préfère monter tout de suite. Je vous ai laissé carte blanche pour le choix de mon hôte, vous connaissez mes goûts. ''
L'hôtesse faisait un geste de la main et une silhouette arrivait. C'était un homme très bien musclé, très bien proportionné. Quand il apparaissait on le remarquait tout de suite. Un costume de serveur noir et blanc, manche noires, poignets blancs, boutons de poignet noires, col de petite tailles avec un liserer blanc, boutons blancs sur toute la hauteur de chemise, pantalon noir, ceinture blanche, double liseré blanc sur les côtés du pantalon, dents blanches, peau noire, cheveux très courts. Un dieu de beauté.

Mr Lombu esquissait un sourire de satisfaction, le jeune homme lui souriait aussi et s'approchait. D'un peu plus prêt en pleine lumière on pouvait facilement remarquer qu'il ne portait pas un costume mais une combinaison moulante en lycra. La tenue ne cachait rien de son anatomie, on distinguait parfaitement les couilles et sa bite. Sa queue, plaquée contre sa cuisse était retournée vers le bas en forme de virgule, mais pas le genre de virgule qu'on trouve dans un livre de poche, non, c'était le genre de virgule qu'on trouve sur une affiche géante et qui très rapidement se transforme en point d'exclamation.

Mr Lombu ne cachait pas sa satisfaction. '' Dites moi Agnès, comment faites-vous pour trouver toujours des hommes aussi beaux et aussi … ? ''
Agnès : Mais enfin Monsieur Lombu, c'est un secret, si je vous le disais je serais obligée de vous faire assassiner pas la mafia après … Je vois qu'il vous plaît, je vous laisse en sa compagnie.

Le jeune homme : Mr Lombu ( en le saluant de la tête ), c'est un plaisir de faire votre connaissance.
Mr Lombu : Comment tu t'appelles ?
Le jeune homme : Comme il vous conviendra Mr Lombu.
Mr Lombu : Il me convient de t'appeler par ton prénom !
Le jeune homme : Je m'appelle Luis, pour vous servir … Et vous plaire aussi j'espère .
Mr Lombu : Là c'est gagné haut la main !

Le regard de Mr Lombu parcourait le corps de Luis de haut en bas, en s'attardant en premier sur sa queue, puis sur son torse musclé, ses bras, ses …
Luis : Souhaitez-vous monter vous détendre ?
Mr Lombu : Je te suis mon garçon.

De dos Luis était toujours aussi beau, ses cuisses étaient fines et musclées, ses fesses étaient fermes et rondes. Ses muscles roulaient avec élégance sous le lycra et Mr Lombu n'en loupais rien.

Dans l’ascenseur, Mr Lombu s'approchait de Luis et passait une main sur son torse, d'abord il lui caressait le cou puis sa main passait sur son épaule, descendait sur son torse, s'attardait un instant sur un téton, continuait sur son ventre avant d'appuyer sur ses couilles et sur sa queue qui réagissait aussitôt.

Mr Lombu : Tu mesure combien ?
Luis : Vingt trois centimètres sur six Mr Lombu.
Mr Lombu : C'est une bonne taille ça. Arrête de m'appeler Mr Lombu, je veux que tu me traite comme … On t'a parlé de moi ?
Lui : Oui Monsieur, on m'a parlé de vous. Comme vous le souhaitez Monsieur, dès que nous serons dans la chambre, vous savez à quel point notre hôtesse déteste la vulgarité dans les couloirs.

Luis laissai entrer son client en premier puis refermais la porte.

Luis : Alors espèce de grosse tafiole émasculée, tu te prends pour quoi ? ( en hurlant ) . Baisse les yeux quand je te parle.

Lombu ne pouvait pas détacher ses yeux du corps de Luis, il était vraiment trop beau !

Lui : Et en plus tu refuses d'obéir, tu mériterais que je te gifle.

Lombu faisait oui de la tête. Il recevait alors aussitôt une gifle et finissait pas baisser les yeux. Il les fixais sur la queue de Luis, qui prenait du volume, doucement elle se relevait et commençait à se relever à l'horizontale contre le haut de sa cuisse.

Luis : Met toi à poil petit eunuque ridicule, je veux te voir pitoyable.

Lombu s'exécutait.

Luis : C'était un homme ça ? Regarde toi.

Lombu retirait son pantalon.

Luis : Un animal de compagnie, c'est tout ce qui reste de toi !

Lombu était nu devant Luis. Luis tournait autour de lui, lui donnant des caresses qui ressemblaient plus à des gifles qu'à des caresses. C'était une certaine violence très calculée, très retenue.

La main de Luis s'écrasait sur les fesses de Lombu dans un bruit clair et fort, Lombu sursautait puis gémissait, une plainte de douleur. Luis lui enfonçait un doigt dans le cul, à sec, sans prévenir. Lombu tentait par réflexe de se dégager mais recevais une autre gifle.

Luis : Arrête de te tortiller comme ça, tu es une petite pute qui adore se faire limer le cul.

Luis agitait son doigt qui était maintenant bien entré dans le cul de Lombu. Celui-ci serrait les dents pour ne pas bouger, ça lui faisait mal mais il essayait de ne rien montrer.

Luis s'était rapproché et Lombu sentais la chaleur du corps de son partenaire, il sentais aussi une pression infernale dans son dispositif de chasteté qui se redressait. Luis s'en rendait compte et attrapait le tout, le serrait fort dans sa main lui écrasant les couilles.

Lombu gémissait de douleur et voulait réagir mais Luis le prenait alors par la gorge et tirait plus fort sur ses couilles. Lombu ne résistait pas d'avantage et c'est avec le souffle fort qu'il laissait faire.

Luis : Caresse moi !

Lombu s'exécutait et doucement caressait le corps de Luis.

Luis : Plus doucement !

Lombu obéissait.

Luis : Plus doucement ! Je veux à peine te sentir, c'est pas pour moi, c'est juste pour t’exciter, pour te frustrer petite merde. Tu aimerais bien sentir ma bite, elle te fait envie ma bite.

Lombu avalait sa salive, il touchait à peine la queue de Luis qui avait maintenant pris toute sa taille, il avait en effet envie de la caresser, de la masser, de la tripoter et là c'est à peine s'il pouvait la sentir sous le lycra. Dans sa tête c'était un incendie, son visage était rouge de frustration, sa queue se soulevait dans sa cage en suivant les battements de son cœur qui étaient maintenant forts et rapides.

Ils étaient là depuis bientôt deux heures et Luis décidait que la frustration avait duré assez longtemps. Lombu ne réfléchissait plus, il faisait sans discuter tout ce qu'on lui demandait. Ce n'était pas une séance de torture, à part une ou deux fessées et quelques gifles la violence n'était que verbale.

Lombu n'en pouvait plus, il était frustré, en manque, il sentais la chaleur du corps de Luis juste à côté de lui, il pouvait le toucher mais ça lui était interdit. Il devinait sa force, chacun des muscles de Luis apparaissait parfaitement au travers de l'étoffe fine et presque transparente mais tout contacte était interdit.

Luis montrait du doigt le centre de la chambre … '' Assis ! ''. Lombu s'asseyait sur le sol à l'endroit indiqué et ne lâchait pas des yeux le jeune homme. Luis retirait alors sa combinaison et c'est une queue énorme qui se détachait alors de sa cuisse. Assis seul, comme un con au milieu de la pièce Lombu en était réduis à regarder sans rien pouvoir faire. En face de lui le jeune homme se masturbait doucement avec un petit sourire provocateur.

Luis : Maintenant tu te mets à quatre pattes !


Luis : Tu veux te prendre ma queue dans le cul ?

Lombu faisait oui de la tête.

Luis : Je vais y réfléchir, pour le moment on va utiliser ça.

Il sortait alors un plug d'un tiroir et le recouvrait de gel, il se plaçais derrière Lombu qui se laissait faire. Luis lui glissait un doigt puis deux et rapidement trois bien lubrifiés cette fois ci. Il poussait ensuite tout doucement le plug contre le cul de Lombu, ça résistait, il poussait un peu plus fort, ça résistait encore, il forçait. Pour finir Lombu gueulait au moment ou son anus se dilatait et que le plug s'enfonçait. Il fallait pousser encore un petit moment avant qu'il ne soit bien positionné, parfaitement calé, profondément ancré. Seule la base ressortait encore entre ses fesses. Lombu gémissait, râlait, il dégustait, il aimait ça !

Luis : Sept petit centimètres de large, tu le sens passer pouffiasse. Tu as un cul de pute, j'ai jamais vu ça moi ! Je ne sais pas si je vais y glisser ma queue moi.

Luis s'installait alors devant Lombu et se masturbait doucement. Lombu bavait d'envie et ne le cachait pas. Finalement Luis s'approchait : '' Tiens tu vas avaler ça ! ''. Il enfonçait alors sa queue dans la bouche de Lombu, sans ménagement, sans tendresse.

Il commençait par balancer quelques coups de bassin, Lombu voulait protester mais ne pouvait déjà plus parler. Quelques coups de bassin de plus et le nez de Lombu s'écrasait contre le ventre de Luis .

Luis : Mais c'est que tu n'as pas seulement un cul de pute, tu as une bouche de salope comme j'en ai pas souvent vu !

Luis appuyais sur la tête de Lombu pour le forcer à avaler bien à fond, il tentait de se dégager mais il était moins fort, il finissait par renoncer et encore une fois il se laissait faire, son visage était rouge, son dispositif de chasteté restait encore sous pression même si on pouvait avoir l'impression que la pression avait baissée depuis un moment.

A un moment Lombu essayait vraiment de résister, Luis attrapait alors le plug, tirait fermement dessus et le faisait ressortir sans ménagement du cul de Lombu. Celui-ci voulait gueuler de douleur, ouvrait la machoir, Luis appuyais alors bien fort, sa queue entrait bien, jusqu'au fond de la gorge, d'une main il retenait alors fortement la tête de son partenaire et de l'autre main il remettait sans ménagement le plug en position.

Lombu semblait alors pousser comme un gémissement, à peine audible.

Luis se relevait. '' Bon maintenant allonge toi sur le ventre sur le lit !''. Lombu obéissait en se remettant la mâchoire en place. Luis se plaçait derrière lui et lui rapprochait les cuisses. '' Quand on referme les cuisses, on le sent mieux. Toi tu es une sacrée grosse salope, tu devrais aimer.'' . Sans prévenir il arrachait alors le plug, Lombu hurlait, Luis n'en tenait pas compte.

Il s'allongeait sur le dos de son partenaire qui à ce contacte se détendait, il plaçait ses genoux à l'extérieure des cuisses de Lombu, refermait ses genoux. Lombu avait alors les cuisses bien serrées, le cul bien lubrifié mais il l'a senti passer quand Luis lui enfonçait sa queue doucement mais fermement, bien à fond dans l'anus, il a gueulé, il a hurlé mais il n'a pas essayé de se dégager.

Luis s'enfonçait en s'appuyant de tout son poids, puis se relevait en retirant sa queue presque en entier avant de revenir d'un mouvement violent, bien à fond en appuyant de toutes ses forces. Quand il se relevait les deux hommes rebondissait sur le lit, Lombu hurlait, en redemandait. Quand ils retombaient Luis lui éclatait la rondelle, Lombu hurlait, demandait grâce.

Lombu ne contrôlait plus ses gestes, il tremblait, il convulsait, il jouissait dans des cris qu'il ne retenait pas. Luis tremblait lui aussi, il sentais son client trembler, il le sentais jouir et ne se lâchais lui même que quand Lombu demandait grâce, qu'il avait juté, qu'il avait joui. Alors il se retirait, donnait un baiser sur l'épaule de son client qui frissonnait et continuait à trembler encore un long moment.

Plus personne ne bougeait, le client se laissait aller, l'hôte gardait l'esprit en éveil, il devait maintenant veiller sur son client, son confort, son bien être. La nuit était maintenant bien avancée.

Luis : Vous vous sentez bien Monsieur Lombu ?
Monsieur Lombu : Super bien, tu es un bon coup toi tu sais !
Luis : Je dois reconnaître que je suis très demandé !


Luis : Vous désirez quelques chose d'autre Monsieur Lombu ?
Monsieur Lombu : Non tu es parfait, maintenant je voudrais dormir, je suis épuisé. Tu m'as épuisé !
Lui : Dormir seul Monsieur Lombu ?
Monsieur Lombu : Non, je m'endormirais volontiers dans tes bras. Soit mignon, veille sur mon sommeil et fait moi un câlin.

Les deux hommes étaient allongés l'un contre l'autre, Luis dans le dos de Monsieur Lombu le prenait doucement dans ses bras, il tirait une couverture sur les épaules de son client et se laissait lui aussi glisser vers le sommeil.

Quand Monsieur Lombu ouvrait les yeux le lendemain matin, Luis le regardait, il veillait sur son sommeil.

Lui : Vous allez bien Monsieur Lombu ? Vous avez bien dormi ?
Mr Lombu : Très bien dormi et c'est grâce à toi. Je pense que je referai appel à tes services …Lui : Voulez vous prendre une douche ou un bain avant de descendre à la salle à manger, sauf si vous préférez votre petit déjeuner dans la chambre bien sûr.
Mr Lombu : Tu me frotte le dos ?
Luis : Avec plaisir !

Dans ce genre de maison on laisse au client le temps, tout le temps dont il aura besoin pour se sentir reposé, détendu et satisfait. Ce matin Monsieur Lombu, membre du conseil administratif détaché à l'administration du continent en cinquième position dans l'ordre hiérarchique … C'est ce qu'on appelle une grosse ponte … prenait son petit déjeuner dans la salle à manger ou il retrouvait par le plus grand des hasards son supérieur hiérarchique immédiat … Bein ouai la maison est réputée ! …
Ils discutaient longuement de choses et d'autres mais ce que chacun avait vécu dans la chambre, restait dans la chambre, et y resterait toujours. Aucune question sur ce sujet, c'était la règle de conduite.

Ils étaient porteurs permanent par conséquent, moralement rien ne pouvait leur être reproché, c'était la règle !


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