esclave 976-038-93 au Château

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : esclave 976-038-93 au Château Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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esclave 976-038-93 au Château
esclave 976-038-93 au Château –
Je me présente 20 ans, blond, yeux bleus, sportif pratiquant la natation. Cela fait un an déjà, que je me nomme 976-038-93. J’ai rencontré Maître Pierre sur internet il y a deux ans, je venais d’avoir mes 18 ans. Maître, selon mon souhait, et après m’avoir demandé de confirmer à plusieurs reprises, m’a accepté comme esclave mâle. Il m’a enregistré au registre des esclaves sous ce numéro d’immatriculation, m’exigeant de ne jamais écrire ‘esclave’ avec une majuscule car je ne la méritais pas. Je vis depuis, en permanence, chez lui, je lui appartiens totalement j’obéis, je subis, je sers et je souffre, selon et pour son bon plaisir, qui est aussi le mien car j’ai un profond besoin de son plaisir pour être épanoui.

Hier soir, Maître m’a fait coucher de bonheur en exigeant de le réveiller à 7heures. Heure inhabituelle pour Lui. C’est donc à 6h30 que je me suis levé pour préparer son petit déjeuner ainsi que le repas quotidien de son esclave, donc moi en l’occurrence. La table était prête : Jus de fruit, croissants, miel, confiture, beurre, lait froid. Le café finissait de couler quand je partis réveiller Maître Pierre. Comme il me l’avait appris, c’est par une fellation qu’il aime se réveiller. Comme il le fait maintenant depuis plusieurs jours, il ne se termine pas dans ma bouche, affirmant qu’il se réserve pour un autre jour…
En revanche, une fois levé, il présente sa Verge devant ma bouche et déverse son urine nocturne. Elle est âcre, mais cela fait partie de ma servitude. Sa Verge bien égouttée dans mes cheveux, je l’aide à enfiler un slip mettant bien en valeur sa virilité, puis il se rend à la cuisine pour son petit déjeuner, je le suis derrière lui, à quatre pattes. Sur un claquement de doigts, je me relève une fois qu’il s’est confortablement installé et lui verse son café tout chaud dans son bol. Comme tous les jours, je remplis ma gamelle métallique de la bouillie de gruau. Je me place à genoux devant et attend. Maître commence son déjeuner et me fait signe d’un autre claquement de doigts que je peux également manger, bien entendu en quadrupédie et avec ma bouche tel un chien… Je dois manger rapidement car lorsque le Maître a terminé il n’est plus question que son esclave se prélasse devant son repas. Comme tous les jours, je lave le corps du Maître en sa totalité. Je dois dire que Maître Pierre à son corps du cou jusqu’aux pieds, épilé totalement. Quand j’ai terminé. Il exige de lui faire un lavement … ce qui est peu habituel, cela arrive cependant quand le soir il sort seul. Quand le liquide est bien clair, il m’en fait un également digne de ce nom : 4 remplissages d’environ deux litres chacun… quand le jet sortant de mon cul est clair, je l’entends m’ordonner d’un ton strict :
– Position de présentation … jambes écartées, salope.

J’obtempère rapidement, je me lève, baisse la tête, écarte mes jambes, les mains derrière ma nuque… Je ne comprends pas… je n’ai rien à comprendre… Le Maître est nu devant moi, Il est superbe … il me retire mes anneaux aux tétons, aux oreilles … puis dévisse les deux ball-stretchers de 9 cm qu’il avait réussi à me poser après de nombreux étirements de mes couilles. Après ce retrait, mes couilles remontent un peu mais pendent toujours au moins de 10 cms…
– Pardon, Maître de cette remontée des couilles de votre esclave.

Une paire de gifles fuse. Mes joues rougies, je comprends combien j’ai fauté
– Qui t’a autorisé à parler, espèce de chien. Tu seras puni, quand je le déciderai, pour cette faute inacceptable.

Aucun commentaire, confus je me tais platement. Je sais que quand j’aurai une autorisation de parler, je devrai lui implorer une sanction exemplaire, l’exécuter avec reconnaissance et surtout implorer son pardon… Il retire la cage de chasteté que je porte depuis trois semaines environ… ma queue à l’air libre se met au « garde à vous » … sans s’arrêter à cette exubérance, il fait tourner le « Prince Albert » et me le retire… Je me sens nu comme un ver de terre… même si je porte toujours mon collier d’immatriculation … impression surprenante compte tenu que je le suis en permanence chez le Maître … Puis il commence à me laver méticuleusement avec un gant de crin … Wahoo ça chauffe… ma peau rougit sur tout mon corps. Maître n’est pas bavard et donc ne me dit rien … et est-ce que son esclave doit connaître le pourquoi des actions du Maître ? … je sais très bien que non, bien entendu … aussi je me laisse faire d’ailleurs en dehors du « gant de crin » ce n’est pas du tout désagréable quand ses mains baladeuses caresse mon corps, mes tétons, mon ventre, mon entrecuisses, effleure ma nouille et la raie de mon cul…
– Sèche-toi, esclave et vite, ne perd pas de temps…
Je prends la serpillère qui m’est réservée et me sèche rapidement pour ne pas faire attendre le Maître qui est resté présent et me fixe d’un regard sévère.

– Position de présentation … jambes écartées
Maître Pierre prend la pince à épiler, m’examine à la loupe… c’est assez humiliant … mais c’est comme cela … dès qu’il trouve le moindre poil, il l’extirpe de ma peau… épilée en permanence mais il y a toujours des poils récalcitrants qui repoussent … Maître Pierre aime bien rendre beau ce qui lui appartient, en voyant ce dernier grimacer quand un poil ne veut pas venir … Un temps important s’est écoulé pendant cette « mise aux normes ». Voilà l’esclave « tout beau » pas un poil sur le corps excepté la figure où il a conservé les cils et sourcils ainsi que son crâne rasé à la tondeuse sabot 1 à l’exception de la partie haute où les cheveux sont gardés mi- longs afin d’avoir une bonne prise. Toujours en position de présentation, où ton mon corps est entièrement à sa disposition, Maître prend le flacon d’huile d’amende douce et m’en passe sur tout mon corps de la figure aux pieds en passant par ma queue, mes couilles et mon anus…
– Ne bouge pas pendant que cela sèche. J’ai une ou deux choses à prendre et nous partons…
Je suis nu … je vais partir ainsi ?, me dis-je en ma tête. Le Maître sait alors je n’ai rien à craindre.

– Mets ton costume de sortie, sans le blazer.

Une chemisette blanche sans col, constituée de deux parties : Une pour le devant et une pour l’arrière. Ces deux parties reliées entre elles par des bandes Velcro pour faciliter le déshabillage de l’esclave s’il est attaché par les mains par exemple. Un short en flanelle grise très court … pour être impudique … pour humilier de la même confection que la chemise en deux parties et deux larges ouvertures devant et à l’arrière mais fermées par un repli. L’ouverture de devant facilitant la sortie de la queue ou des couilles, pour que l’Homme puisse en disposer à sa guise…Dans le dos pour sodomiser ou palper le cul sans être obligé de déshabiller l’objet…
– Allez ! On part en voiture.

Je vois le Maître, le propriétaire de l’esclave que je suis devenu, habillé du même costume que moi … Je ne comprends vraiment pas pourquoi et je m’interroge mais fait silence car je n’ai pas à savoir … Je suis bien un esclave. Il porte également une sacoche.

Dans le garage, la voiture du Maître, Il ouvre le coffre, je m’y dispose en chien de fusil et m’attache les mains à la carrosserie et me donne une bouteille d’eau avec un tuyau relié à un jerricane pour que je puisse boire sans utiliser mes mains entravées. Le moteur démarre, et au bout d’un long moment, je m’endors tranquille, je n’ai à me soucier de rien, le Maître n’a pas besoin de moi…
Je me réveille, certainement après quelques heures de route, nous ne devons plus être sur l’autoroute car je suis bringuebalé de tous côté, un coup à droite un coup à gauche alors je devine que nous sommes sur un chemin de campagne. Puis la voiture s’arrête, le coffre s’ouvre, mes mains sont détachées, je dois sortir, la lumière du jour m’éblouit un peu. Un peu ankylosé, je m’étire un peu. Mes vêtements sont un peu fripés, Maître, s’en occupe et remet la queue de son esclave à l’intérieur de mon short… elle avait pris d’elle-même cette décision de se mettre à l’air libre… Cette action de Maître Pierre, me conforte dans mon état d’esclave, à qui on retire même la façon de se présenter. La Verge du Maître, pointe son nez en dehors de son short également… il la repositionne correctement mais cela me laisse à penser qu’il est excité aussi, très certainement par le lieu où nous sommes arrivés.

Alors je regarde autour de moi, j’admire le paysage, vallonné, verdoyant, de nombreux et majestueux hauts arbres et surtout ce que je remarque avec un air impressionné, c’est ce magnifique Château, qui me parait immense et imposant, là tout au bout de cette immense allée de petits cailloux rouge ratissée et bordée de superbes pelouses verdoyantes et impeccablement entretenues, mais fermées par cette immense grille d’un tout aussi imposant portail lequel nous sommes stationnés devant. Sur le haut de la corniche métallique richement forgée de ce portail, je vois écrit dans un excellent travail de ferronnerie pour chaque lettre stylée : CHATEAU DES EVANS – 1665 – et sur une plaque, telle celle d’un médecin, en de très belles lettres jaunes finement travaillées, plaque apposée sur le côté gauche contre le poteau de soutien du portail : PROPRIETE PRIVEE - DEFENSE D’ENTRER –
Maître tire sur une chaîne qui ébranle une lourde cloche. En position d’attente, Maître me fixe de suite un magnifique harnais en cuir rouge flanquée d’une muselière et y attache une laisse-chaîne à mon collier. Me voila au bout de cette laisse, muselé comme un chien, moi le simple esclave. Puis, Maître me passe en plus une cagoule sur la tête qui obstrue ma vision. J’entends le crissement des cailloux des pas du Maître. Je dois évoluer à quatre pattes et j’ai mal aux genoux, même s’il me fait évoluer au bord de la pelouse, dans l’herbe fraiche, quand j’entends.

– On se tait, le chien (même si muselé, je ne puis dire un mot)… Toi, esclave, je ne veux pas t’entendre, tu as déjà fauté tout à l’heure alors ne recommence pas. Tu répondras simplement si tu es interrogé une fois que j t’aurai retiré ta muselière.

Le crissement augmente…
(A suivre …)

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