L'equipe XIV

- Par l'auteur HDS IwaoHarada -
Récit érotique écrit par IwaoHarada [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'equipe XIV Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'equipe XIV
Qu'allais-je faire ? Que devais-je faire ? Je venais de voir ce message de Steves, le grand roux, ex pointe de notre équipe qui me disait de passer chez lui ce vendredi matin et je savais qu'il ne s'agissait pas de simplement dire bonjour... Ma vie sexuelle avait pris un grand tournant depuis mon entrée dans l'équipe et j'avais découvert en mon quasi frère, un colocataire, un ami, une âme soeur et un amant fougueux mais aussi insatiable. Quant à moi, et bien je dois avouer que je m'étais trouvé, j'aimais les hommes, leurs manières, leur corps, leur sexe, j'aimais les satisfaire, leur donner du plaisir, être le réceptacle de leurs pulsions, de leurs désirs et en cela je retirais les miens... David me procurait tout cela et je ne pouvais qu'en être heureux mais cela ne m'empêchait de folâtrer avec quelques membres de l'équipe, non pas par sentiment d'amour mais bien par un échange de plaisirs mutuels. Je regardais David autrement, plus profondément mais était il le seul qui me faisait cet effet, même si à l'époque je ne m'en rendais pas pleinement compte, j'éprouvais une attirance similaire vis à vis de ce grand rouquin de Steves, quelque chose qui faisait que je me sentais à ma place à ses côtés. tout comme aux côtés de mon Hercules blond, je désirais inconsciemment plaire et satisfaire cet Adonis à la chevelure de feu.

Et c'est ainsi qu'à peine trente minutes plus tard je franchissais la porte de son appartement. Il était au fond du couloir appuyé contre le mur à l'entrée du salon, vêtu simplement d'une paire de jeans bleu délavé, presque blanc. Je fis alors quelques pas vers lui mais sa main se dressa et du geste il me stoppa net à mi chemin de lui me demandant si j'avais oublié les règles. Je secouais vivement la tête mais au fond j'avais un peu oublié... je fis donc quelques pas en arrière et là prés de la porte mes doigts glissèrent sur mes vêtements, les posant sur la petite étagère à l'entrée jusqu'à me retrouver entièrement nu. du regard je vis alors sur le sol devant moi un tapis bien épais, un peu comme ceux que l'on trouve dans les salles de bains et sans un mot j'avançai jusque là, m'y mettant à genoux ce qui se révéla plus confortable que ne l'aurait été le dur parquet. Alors que je m'exécutai Steves ne cessa de me complimenter. Il fini par se rapprocher et ses mains se posèrent dans ma chevelure, tenant un peu ma tête il la guida contre son entrejambe, mon visage se frottant à l'étoffe de ses jeans. Le rouquin arqua un peu son corps, frottant cette région de son corps sur mon visage un peu plus alors que je prenais de longues inspirations cherchant à percevoir son odeur par delà celle de ses vêtements. Je pouvais déjà percevoir quelques notes puissantes de ses arômes corporels alors qu'il ébouriffait ma chevelure de ses doigts. Pendant une à deux minutes je pus ainsi savourer son doux parfum, mes lèvres s'écartèrent et glissèrent sur la forme grandissante de son paquet au travers de l'étoffe.

Le grand roux fini par repousser ma tête en arrière tout en poussant un grognement de satisfaction. "A moi, je te veux à moi." souffla-t-il me regardant droit dans les yeux. Je pouvais y voir, désir et passion y brûler ardemment. 'Mais je suis tout à toi..." furent mes mots et cela lui fit pousser un autre grognement possessif alors que ses mains de nouveau sur ma tête m'attiraient contre lui, le visage à nouveau plaqué contre son entrejambes. Lentement il poussait sur ses pieds, ondulait du bassin pour le frotter sur mon visage. Je pouvais sentir son érection se développer au travers de l'étoffe délavée. Il continua ainsi une ou deux minutes sans dire un mot, ses lèvres laissant s'échapper çà et là un petit grognement de satisfaction. Finalement il s'arqua un petit peu en arrière et d'une main il déboutonna ses jeans, écartant l'ouverture et repoussant ses boxers vers le bac pour extraire de ce carcan d'étoffe son sexe gonflé, gorgé de sang mais pas bandé. J'étais si prés que je sentais sa chaleur corporelle s'écouler sur mon visage, que son odeur intime envahissait mes narines. Le tenant entre ses doigts il frotta alors son gland tout encore recouvert de son prépuce sur mes lèvres, me faisant apprécier la saveur de ce liquide séminal qui avait coulé de son méat et imbibé le repli de peau de son prépuce. Une petite pression d'un doigt sur ma joue et il me fit écarter les lèvres, un petit mouvement de son corps en avant et se sexe de belle taille encore a moitié flaccide coulissa dans ma bouche le gland trouvant sa place au fond. Il grommela son plaisir lorsque ma langue se mis a tournoyer autour de sa hampe. De ses mains puissantes il me retenait, le visage plaqué à son entre jambe.

"MMMHHHH... c'est cela Iwao suce moi la queue... Tu l'aimes ma belle bite. Tu la veux"
Je pouvais sentir son sexe durcir et grossir dans ma bouche, son gland qui se décalottait poussait maintenant contre l'entrée de ma gorge. Steves donna alors quelques petits coups de reins et son gland fini par trouver son chemin dans ma gorge. une main dans mes cheveux, l'autre sous mon menton il donnait de petits va et viens de son sexe dans ma bouche, dans ma gorge. ses mouvements s'amplifièrent et pendant quelques minutes d'un interminable plaisir il fit l'amour de son sexe à ma bouche me complimentant sur le fait que ma bouche était un parfait écrin à son sexe mais aussi me répétant que j'aimais son sexe, que je le voulais, ce qui au fond était vrai. Il finit par se cabrer, poussant aussi loin en moi que possible sa verge et ce gland prêt à exploser puis sa semence chaude jaillit et tapissa le fond de ma gorge coulant directement vers mon estomac.

Lorsqu'il se retira le grand roux posa son sexe encore rigide et tout recouvert d'un mélange de salive et de sperme sur mon visage. Me toisant de haut il sourit me disant que j'étais admirable ainsi et que dorénavant c'est ainsi que je devrais l'accueillir chaque fois que je viendrais chez lui. A ma réponse hésitante il insista et répéta qu'a chaque fois que je viendrais je sucerais sa queue jusqu'à en boire le jus et ne fut satisfait que lorsque je répondis d'un oui ferme. Il posa alors une main dans mes cheveux et les ébouriffa en disant "Good Boy!" ce qui lui valu un "t'es con" en retour mais il me tacla d'un "Mais tu aimes cela." Je ne pu vraiment répondre car j'avais encore un peu de retenue a l'admettre, oui j'aimais sa façon de me te traiter ainsi. Oui cela m'excitait et me procurait du plaisir. Il fit un pas en retrait et fini de se débarrasser de ses jeans et boxers. Me tendant une main il m'aida à me relever et m'attira dans un long et profond baiser qui fini de m'achever. Mes bras cerclaient son dos, ses mains courraient sur mes fesses. "Tu es à moi" Souffla-t-il lorsque nos lèvres se séparèrent et je ne pus que répondre d'un doux "oui". Il me sourit de nouveau et m'entraina vers le salon.

Là assis sur le canapé il me fit m'assoir à genoux devant lui et me fit remarquer que cela devait m'exciter vu comment je bandais. En effet je bandais comme un fou sans m'être touché et là il me surpris de nouveau, étirant ses jambes il plaque un de ses pieds contre mon sexe, titillant mon gland de ses orteils. Steves leva son autre pied et vint le poser délicatement contre mon visage, la plante sur mon menton, sur mes lèvres, les orteils sur mes narines. Il m'intima alors l'ordre de ne pas bouger, de garder mes mains dans le dos. Pendant les longues minutes qui suivirent Steves se jouait de ses orteils sur mon sexe, sur mes lèvres. Il me dit combien il me désirait et ce depuis la première fois qu'il m'avait vu lors de mon premier jour au bassin de natation, qu'il était heureux que je sois non seulement homo mais si réceptif, que plus d'un mec dans l'équipe avait envie de me prendre et d'enfoncer leur queue au fond de moi... Il alternait paroles douces et parfois paroles crues. Qu'il enviait David qui devait bien apprécier de partager mon lit car c'est ainsi que lui ferait, me prenant chaque soir et m'abreuvant de sa semence chaque matin... Ce qui en vérité n'était pas loin de la vérité. Ses caresses, ses paroles n'étaient pas sans effet sur moi et le plaisir coulait en moi tel un torrent, de temps à autre un petit filet de liquide séminal s'écoulait de mon méat et perlait entre ses orteils. Steves alors, changeait ses pieds de position portant ses doigts de pieds à mes lèvres et moi je léchais et suçotait ces petons humides de mes fluides. Je me dois d'admettre que je prenais un malin plaisir à ce petit jeu et que lui semblait grandement apprécié que je traite ainsi ses pieds.

Le plaisir grandissant encore plus en moi, je me rapprochais d'instant en instant de mon orgasme car il savait s'y prendre avec ses orteils sur mon sexe, caressant la hampe serrant le gland, roulant sous son gros orteil mes testicules... Lorsqu'il vit que j'étais proche il cessa, marqua une pause me parlant alors de chose banales, de la vie, des jours à venir laissant ainsi retomber la pression avant de me chauffer à nouveau, de me pousser à bout. Il fini par me faire me redresser et tourner. J'étais à présent dos à lui, fesses à hauteur de son visage et je fus complimenté plus d'une fois sur celles ci... poétiquement mais aussi crument. Mon Apollon roux fini par ses saisir de mes fessiers entre ses mains, les écartant pour exposer la raie et mon petit orifice. Il souffla alors "Un proverbe dit, ne met jamais ta queue là où tu ne mettrais pas ta langue..." et sans un mot de plus il se pencha en avant et ses lèvres, sa langue tracèrent ma raie, jouèrent sur ma rondelles jusqu'à y forcer ce muscle lingual entre mes sphincters.

Le plaisir que me procurait ce jeu de langue était intense et il me faisait trembler sur place, je ne pouvais retenir de mes poumons çà et là un petit gémissement de pur plaisir, si une de ses mains tenait mes fesses écartées l'autre s'enroulait autour de mon sexe et me masturbait, jouant de ma hampe, de mes testicules, de mon gland, récoltant les perles de fluides s'écoulant de mon méat Steves alternait dans mon petit orifice de sa langue ou de ses doigts, me poussant secondes après secondes vers un orgasme intense et ce qui devait arriver arriva. Ma verge pulsa, mon corps trembla mes jambes faillirent se dérober sous moi quand dans de long gémissement je me mis à jouir. le grand rouquin avait refermé sa main autour de mon gland et mes jets de sperme s'y écrasaient l'un après l'autre. Lorsque le flot de ma semence se tarit il me retourna et d'un air triomphant il me montra sa main couverte de mon jus qu'il referma sur son sexe dur et pompa à plusieurs reprises étalant ma semence sur son chibre ardent. J'étais encore sous le choc de mon orgasme mais ses mots résonnèrent a mes oreilles "Tu la veux Iwao, Tu la veux ma queue ? Elle plait ?" Oh purée que oui elle me plaisait, il me plaisait et je les voulais... lui si grand si fort, ses yeux d'un vert émeraude, sa tignasse rousse sauvage, sa gueule d'ange ou de démon... son corps sculpté presque imberbe si ce n'était cette touffe de poils d'un roux ardent autour de la base de son sexe... et quel sexe... Steves tirais sur sa hampe pour en exposer au maximum son gros gland, cette verge épaisse et longue parcourue de quelques veines. Tout comme David, il avait été gâté par Dame nature et ne se privait pas de me le montrer... A mon plus grand plaisir je dois l'avouer...

Il bondit presque sur ses pieds et se pencha a mon oreille, murmurant "Tu veux la sentir en toi Iwao? Tu veux être son écrin?" une de ses mains sur mes fesses, titillant du bout des doigts ma rondelle dilatée et humide. Je ne pus gémir qu'un oui et là il me guida, en un instant je me retrouvais sur les genoux sur le canapé, torse appuyer au dossier, il était derrière moi, se pressant presque contre moi, une main jouait de son sexe, frottant, grinçant son gland le long de ma raie, contre ma rondelle, l'autre appuyée sur ma nuque, ses doigts dans la base de mes cheveux. Il poussait son gland entre mes rondelles puis le retirait, éprouvant encore plus ma patience, poussant mon corps à ses limites, je le voulais, je voulais qu'il me prenne, mon corps réclamait son sexe en moi et là....

"Tu le veux Iwao ? Dois je te prendre ? Es tu à moi?" sa voix était grave profonde et s'insinuait en moi... dans un état quasi second ma réponse suivit... "Je le veux Steves, prends moi, je suis à toi Steves..."
D'un coups de reins subit il poussa son sexe entier en moi, m'arrachant un gémissement où se mêlaient un peu de douleur et beaucoup de plaisir... Steves se pencha alors sur moi et en tirant un peu ma tête en arrière par les cheveux il murmura d'une voix assurée. "Tu es à moi, je te prends, je te baise quand je veux, où je veux, comment je veux..." D'un mouvement rapide il fit glisser son sexe presque hors de moi avant de l'y planter jusqu'à la garde de nouveau, m'arrachant sans m'en rendre compte dans un gémissement un "oui".

Cinq... Dix minutes ou plus ? je ne sais réellement combien de temps il me sodomisa là au rythme de son plaisir laissant toutes sa bestialité s'exprimer... à ses grognements se mélangeaient mes gémissements de pur extase et les claquement secs de nos corps s'entrechoquant. Dans un ultime grognement le rouquin déversa en moi sa semence, sa jouissance, il tirait sur mon corps planquant le sien au mien comme pour enfouir encore un peu plus en moi ce gros gland dont le méat se dilatait à chaque jet de semence. Il était ivre de plaisir tout comme moi et se tenait sur moi tel un chasseur triomphant dominant sa proie conquise.

Nous nous étions affaissés dans le fond du canapé, Steves me fit alors rouler sur le côté et me positionna sur le dos, relevant de ses mains mes jambes, il se glissa au dessus de moi et m'embrassa en soupirant un "A moi!" un main glissa à nouveau son sexe à mon entrée et il me pénétra à nouveau. Lentement doucement il me fit l'amour à nouveau, il me pris tendrement, couvrant mon torse, mon cou, mon visage de baisers. autant il avait était un amant fougueux, dominant autant là il me montrait une douceur incroyable, jouant le chaud et le froid... me faisant totalement craquer. Sa main roulée autour de ma verge il me masturbait au même rythme qu'il me prenait. J'étais sur un nuage, au paradis et après quelques minutes de ce câlinage, je poussai un râle de bonheur alors que j'éjaculai entre nous. Steves roula alors un peu plus vite des hanches, du bassin et rapidement son corps se tendit alors qu'il se répandait en moi à nouveau, inondant mes entrailles de son foutre chaud et cela me faisait un bien fou de savoir que mon étalon roux m'inondait de sa semence.

Lentement sans se retirer de moi il nous fit rouler sur le flanc et referma ses bras autour de moi. Nous restâmes ainsi un long moment dans le silence, quasiment une heure, nos corps nus, l'un contre l'autre, la sueur perlée sur notre peau, l'odeur de transpiration et de sexe dans nos narines, son odeur sur moi, en moi. J'aimais cela. C'est Steves qui parla en premier, me donnant une petite tape sur les fesses alors que son sexe débandé glissait hors de moi, me rappelant qu'il devait faire ses bagages et qu'il fallait se doucher. C'est vrai tout comme David il partait ce soir au ski avec leur faculté. J'avais d'ailleurs promis à David d'être à l'appartement de l'aider à faire ses bagages et de l'accompagner au point de rassemblement. Nous gagnâmes la salle de bain et partageâmes une longue douche chaude, nous savonnant mutuellement, moment de tendresse et de passion. Lorsque vint le moment de laver son entrejambe il me fit un signe de la tête avec un petit sourire en coin et je ne pu que sourire en retour. A genoux devant c'est avec mes lèvres, ma langue que je nettoyai son sexe. bien entendu, il se remis à bander et le nettoyage consciencieux se transforma lentement en une longue et passionnée fellation. Mon Apollon roux dans un grognement guttural me récompensa de plusieurs long jets de semence, son ambroisie qui s'écoula directement au fond de ma gorge. Un long baiser, une demande si je m'en lasserai un jour, un jamais en réponse, un rire et j'étais dehors à m'essuyer, il me rejoint et nous nous essuyâmes mutuellement.

Steves s'habilla avant de me proposer d'aller manger ca il était plus que midi et l'après midi avais déjà commencé. J'acceptai volontiers car je mourrais littéralement de faim. C'est dans un petit snack non loin que je dévorai un grand bol de salade, amusé le rouquin me demanda si j'étais végétarien, ma réponse le fit rire ouvertement quand je lui que non mais que question protéines on s'en occupait autrement. Il me dit alors qu'il veillerait à ce que je ne sois jamais en carence. Ce qui nous fit rire encore plus, le faisant sourire triomphalement lorsque je lui murmurai à l'oreille que j'acceptai son aide. Peu après je filai vers l'appartement, laissant derrière moi Steves à ses bagages.

De retour, un passage aux toilettes me rappela que j'avais besoin d'une toilette plus intime et je me retrouvai sous la douche à nettoyer l'offrande de Steves, passage peu plaisant pour certains mais j'attachai une très grande importance a mon hygiène corporelle et en ce point je tenais toujours à être propre. Je me relaxais à présent sous l'eau quand la porte s'ouvrit et que David, mon quasi frère se présenta dans l'ouverture de celle-ci. "Alors?" lui demandai-je et lui, ce grand dadais de quasiment deux mètres, secoua juste les épaules... me faisant répéter plusieurs fois ma question, il se jouait de moi, me faisant languir à savoir ses résultat, si cet examen écrit le matin puis oral l'après midi c'était bien passé. Il pouvait être exaspérant des fois à tourner autour du pot mais finalement c'était pour lui un jeu et il savait qu'au fond cela m'amusait aussi. "Ecris je sais pas, oral 18" fini-t-il par avouer. J'étais fier et content pour lui et dans l'excitation je sorti direct de la douche et me jeta dans ses bras refermant les miens autour de lui. Il avait eu beau s'être déjà débarrassé de la veste du costume, de ses chaussures chaussettes et de la cravate... un corps mouillé qui enlace un autre en chemise et pantalon sa laisse des traces... Surtout quand l'autre referme ses bras aussi et vous embrasse j'aurais envie d'ajouter car c'est ce qu'il fit. Tout cela pour me reprocher un "ah c'est malin" tout en se regardant tout détrempé. Il protesta de plus belle lorsque je le tirai à moi et l'entrainai sous la douche... c'est là que je l'aidai a se débarrasser d'une chemise, d'un pantalon et de boxers totalement détrempé mais ni lui ni moi ne nous inquiétons de cela... trop occupé à nous serrer l'un contre l'autre, à nous embrasser, à laisser nos mains vagabonder sur le corps de l'autre.

De longs et langoureux baisers, des mains autour d'un sexe à la toison pubienne blonde, des mains sur de petites fesses lisses. Le grand athlète blond fini du dos contre le carrelage mural, un grognement profond sortant, jaillissant de sa gorge lorsque mes lèvres se refermèrent sur son sexe, aspirant le gland dans ma bouche, malaxant ses testicules entre mes doigts, embrassant, léchant cette épaisse hampe gorgée de sang. Ses doigts se perdirent dans ma chevelure, me laissant libre de lui prodiguer à mon bon vouloir une intense et longue fellation. Ce n'est qu'au bout de longues minutes qu'il me fit reculer, me redresser et nous pivotâmes, me retrouvant dos au carrelage, il se saisit de mes cuisses et le souleva, mon Hercule me souleva du sol et mes jambes se croisèrent dans son dos, mes bras s'agrippant autour de son cou. D'un main il me soutenait les fessiers de l'autre il dirigea son chibre vers mon orifice et dans un gémissant commun, les yeux dans les yeux il me pénétra. Le plaisir de sentir mes sphincters s'écarter s'ouvrir pour laisser son sexe m'envahir pour moi, la sensation de résistance, de pression de mes chairs s'agrippant à son sexe pour lui, nous grognâmes tout deux notre plaisir. David roula alors des hanches et du bassin de longues minutes puis un grognement plus brutal, des coups de reins plus forts, plus secs plus puissants et son corps se cabra, se tendit alors que sa verge pulsa en moins sa semence, son sperme jailli dans mes entrailles, ses lèvres collées aux miennes, ses yeux rivés dans les miens. Nous restâmes ainsi un instant avant qu'il ne laisse son sexe glisser hors de moi et ne me laisse poser les pieds sur le sol. De ses mains il me fit tourner sur moi même et c'est mon torse contre le mur qu'il plaqua le sien contre mon dos, se penchant en avant pour m'embrasser dans la nuque, dans le cou, sur les épaules. Sa verge encore gorgée de sang trouva naturellement le chemin de mon petit orifice et s'y glissa de nouveau. Roulement de hanches, petits bruits secs et rythmés du claquement de nos corps. Mon amour me sodomisa quelques minutes ainsi, alternant son rythme, me murmurant des mots doux a l'oreille, me flattant, me complimentant, déclamant son désir, sa passion pour moi. Ses bras cerclaient mon bassin et ses mains étaient refermées sur mon sexe. Il me masturba longuement tout en pilonnant mes entrailles, les martelant de son gland, de sa verge. Il fini par me pousser au delà de mes limites en donnant de grand coups de reins qui me poussaient à chaque fois sur la pointe de mes pieds. Est-ce la contraction de mes parois intimes lors de mon orgasme qui déclencha le sien. Alors que ma semence s'écrasait contre les dalles murales, en moi se répandait à nouveau le sperme de mon Hercules blond.

Quelques minutes s'écoulèrent et nous restâmes ainsi, unis, il ne cessa de m'embrasser dans le cou puis se retirant de moi il m'attira a lui et hors de la douche, hors de la salle d'eau dans sa chambre. Un baiser une caresse, une poussée et j'étais de nouveau pris en levrette cette fois de long instants avant d'être poussé sur le ventre, mon blond tel un sauvage animal en rut me prenait à présent de toutes ses forces, chaque poussée en moi me faisait gémir de bonheur, gémissement auxquels répondaient ses grognements. Il ne fallu que quelques minutes mais quelques minutes très intenses durant lesquelles il appuyait de tout son poids, de toute ses forces pour pousser son sexe en moi, pour écraser mes points sensibles de son gland et son corps tout entier fut pris de spasmes lorsqu'il éjacula pour la troisième fois en moi. Le bonheur était si intense si puissant que je ne réalisais même pas que moi aussi je jouissais pour la seconde fois, déversant mon sperme dans les draps alors que la semence chaude de mon David me remplissait un peu plus les entrailles. Il s'écroula alors sur moi ce qui me fit me plaindre et lui de rire en me tirant sur le flanc, m'enlaçant tout comme Steves l'avais fait quelques heures auparavant.

Le temps passa en silence mais nous n'avions pas besoin de mots pour nous dire combien nous nous aimions. Seul mon juron détona dans l'air lorsque je regarda le réveil de nuit... Il restait a peine une heure avant le départ du car... C'est en quatrième vitesse et cette fois sans câlin que nous passâmes sous la douche, des vêtements jetés dans un sac de voyages et une habillage rapide... Je portais la housse avec ses skis, lui son sac de vêtements et le sac à bottines de ski. Il restait juste 10 minutes quand nous arrivâmes à la gare routière. Je pense que nous étions les derniers et le seul commentaire que trouva à faire ce grand dadais de blond fut "Et bien si mes bagages sont les derniers à être mis dans le bus à l'arrivée je serais le premier à les avoir." ce qui lui valut un coup de pied aux fesses de ma part ce qui nous fit tous rire. Steves était là et les "au revoir" furent bref, un baiser sur la joue pour le rouquin mais ce fut sans compter qu'il inclina la tête pour en avoir un sur les lèvres quand à mon blond, mon David c'est lui qui me surpris car pour la première fois en public il m'enlaça et m'embrassa longuement avant de me murmurer un "Je t'aime." ce qui lui valut de ma part un second baiser. C'est ainsi que nous nous quittèrent ce vendredi soir le car s'en allait vers sa destination hivernale et moi je restais là... Un peu morose sur l'instant mais sur le chemin de retour à l'appartement je ne pu m'empêcher de penser a ce que j'avais vécu ce jour... David, Steves... comme je les aimais, comme je les désirais... et comme je ne réalisais pas encore la drôle de situation dans laquelle je m'enfonçais un peu plus jour après jour... Sur l'instant une autre pensée me traversa et elle allait demander d'être traitée directement... J'avais définitivement besoin de me nettoyer à nouveau car je sentais la généreuse offrande de David s'écouler lentement de moi....


PS: je poursuivrais la suite si il y a une demande de votre part et je répond aux questions en pm.

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Texte coquin : L'equipe XIV
Histoire sexe : Une rose rouge
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