Un après midi imprévu - histoire érotique

Mich arrive comme un fou dans le salon. Il jette sa serviette et ses classeurs sur le canapé.
-Qu'est ce qu'il se passe mon chéri, demande France, sa femme.
-Figure toi que ce con de Guy m'a évincé du club. Il a tout manigancé pour que les membres votent contre moi. Le jour de mes tentes deux ans.
C'est vrai que Guy est son pire ennemi et que s'il peut lui faire un sale coup, Mich ne se gênera pas.
France non plus ne l'aime pas, avec son style à la Charles Bronson, cheveux longs et grosse moustache.
-Calme toi mon chéri, une bonne douche, un bon repas, un bon câlin et demain tu auras tout oublié.
Malgré le programme, Mich passe un mauvais dimanche. Il a vraiment en travers.
Le lendemain, lundi, sans rien dire à son mari, France décide d'aller dire deux mots à l'autre pourri. Elle enfile un string, une jupe qui arrive à mi cuisse et un bustier. Pas de soutien gorge, à vingt huit ans, ses seins tiennent tout seul.
La voiture est garée devant le garage, donc il est là. Elle sonne. Effectivement il ouvre la porte en peignoir, le téléphone à la main.
-Excuse moi, je te rappelle. France, qu'elle surprise, Christine vient juste de partir au travail, tu la manques de rien.
-Ca tombe bien, c'est toi que je veux voir.
-A bon qu'est-ce -qu'il se passe, il y a un problème ?
-C'est quoi ce coup que tu as fait à mon mari, tu te prends pour qui ?
-Attend, il envoie sa femme pour régler ses affaires, je le savais incapable, mais pas à ce point. Quel bon à rien, répond-t-il en allant s'asseoir sur le canapé.
A peine assis, Francine se jette sur lui pour lui mettre une gifle. D'un réflexe il lui bloque le poignet. Elle lance l'autre main, mais il la bloque aussi. Apparemment sans difficulté, il relie les deux poignets avec une seule main. Lentement il tire sur ses bras pour l'obliger à s'avancer. Elle est obligée d'écarter les jambes pour éviter ses genoux.
Puis d'un calme olympien, il avance sa main libre entre les cuisses de France, écarte son string, pour glisser un doigt.
France se débat mais ne fait qu'aggraver la situation. En effet plus elle se débat, plus elle écarte ses jambes et plus sa jupe remonte sur ses cuisses.
-Lâche moi, petit con, je te déteste, arrête, lève ton doigt, laisse moi partir.
- Pourquoi tu es pressée, on n’est pas bien tout les deux ? On a le temps !
Il a maintenant inséré deux doigts dans sa chatte. Il fait des mouvements de bas en haut s'arrêtant pour lui pincer le clitoris. Elle cri de honte.
-Je t'en prie, laisse moi partir, je veux rentrer.
Mais son corps commence à la trahir. Elle résiste moins à l'assaut de ses mains qui se font de plus en plus vicieuses. Elle soupire, gémit.
-Mais elle mouille, la cochonne. Elle se régale.
Elle ne répondait pas mais sentait monter la chaleur dans son corps. Elle était vaincue. Il allait pouvoir faire ceux qu'il voulait d'elle. Il le savait.
-Si ton mari voyait son pire ennemi doigtant sa femme. Qu'est ce qu'il dirait ?
-Tais toi Guy, t'arrêtes pas, branle moi.
Elle gémissait de plus en plus, sa respiration s'accélérait, elle ne se maîtrisait plus.
Jamais on ne l'avait caressée comme çà. D'un coup l'orgasme arriva.
-Oui,vas-y continue, plus fort,oui,oui gratte mon clito,plus fort bon dieu, lâche mes mains.
Il relâche ses poignets. Elle pose ses deux mains sur le dossier du canapé, avance sa bouche et l'embrasse à lui mordre les lèvres.
-Ben dit donc, t'es en manque ou quoi ? Je sens qu'on va bien s'amuser tout les deux.
-Fait ce que tu veux, je suis à toi. En venant j'aurais toujours gagné çà.
Doucement, elle dénoue la ceinture du peignoir.
-Oh mon dieu, quelle queue, et quelle paire de couilles, si mon mari voyait çà, lui et sa petite bite.
Son sexe, en érection devait faire dix huit à vingt centimètres et bien quatre de diamètre. A côté des quinze, seize de Mich, çà faisait une différence. Le gland de Guy était presque sorti du prépuce.
-tu as vu le diable, c'est la première queue que tu vois ?
-Comme çà, oui, dit France.
-Tu peux la prendre si tu veux, tu peux même la sucer.
Elle n'hésite pas une seconde, elle fini de la décalotter et l'engloutie au plus profond de sa gorge. Elle le pompe doucement s'attardant sur le gland qu'elle enroule avec sa langue et d'une main lui gratte les couilles.
-Je vais jouir, attention je vais cracher dans ta bouche.
Elle dit oui d'un battement de ses cils. Elle a sa queue presque entière dans sa bouche.
Cà y est il éjacule.
-Oh putain je jouis, salope, je me vide, que c'est bon han han.
A voir le creux de ses joues on comprend qu'elle a tout avalé. Il la relève et l'embrasse.
-Si mon mari voyait ce que je fais avec son plus grand ennemi, je crois que je pourrais faire ma valise.Mais bon ne parlons pas de lui, on a autre chose à faire. Il la fait mettre à quatre pattes sur le canapé, approche son sexe prêt de sa chatte et la pénètre doucement. Elle pousse un cri de femme en chaleur. Il fait des va et vient de plus en plus forts. Ils vont bientôt venir.
C'est elle qui réagit la première.
-Putain, qu'est ce c’est de se le faire mettre. Tu me fais encore jouir salaud. Vas-y bourre moi comme une pute, quel pied et quelle queue, tu es en train de me tuer. Oh merci, merci
Guy pour l'après midi que tu m'as fait passer.Tu me baiseras encore et chéri ? La semaine prochaine, tu pourras ?
-tu vas plus pouvoir te passer de ma grosse queue maintenant. Si l'autre con savait comme je me suis amusé avec sa femme ! Bon, je suis d'accord. Si tu veux qu'on se revoie, c'est avec plaisir. J'espère que tu seras autant en forme.
Ils se sont douchés ensemble puis elle est partie après l'avoir embrassé longuement.