Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1313)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1313) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1313)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1313) -
Si ce n'est de lui et des plaisirs qu'il avait à m'offrir. Car une soumise en bonne santé est plus à même de servir et satisfaire les besoins et exigences du Maître... Je fus soudain, et sans raison, prise d’un subit sommeil qui m’emporta très vite dans les bras de Morphée, sans même que je puisse comprendre la raison de ce si rapide besoin de dormir. Quand je rouvrais les yeux, je me retrouvais nue et assise à même le sol, adossée tout près de l’immense double-porte d’entrée dans l’immense grande salle de bal… Par quel prodige je me trouvais là ? Etonnée de ce fait, je n’osais bouger et j’observais silencieusement autour de moi. Aucun bruit, aucun mouvement… un grand silence … la nuit … Une atmosphère pesante, voire angoissante … Rien n’avait changé, il faisait nuit et l’obscurité était juste trahie par un clair de lune donnant une faible clarté près des hautes fenêtres éclairant lugubrement la vaste pièce par des ombres funestes aux tableaux délabrés, provoquées par le jeu spectral de cette faible lumière. Il n’y avait aucune âmes qui vivent, le silence était total et visiblement le lieu était déserté depuis longtemps à voir les nombreuses toiles d’araignées et la poussière envahissante. Instinctivement, ma main toucha un objet placé juste à côté de moi sur le sol poussiéreux, c’était mon téléphone portable. Comment se trouvait-il ici ? Je le pris en main et je fus très surprise de lire la date et l’heure affichée : le 31 octobre - 23h30…
C’était le soir d’Halloween ! C’était comme si j’avais fait un retour en arrière de quelques jours, comme si je devais revivre tout ce que j’avais vécu depuis mon arrivée en ce château visiblement abandonné. Soudain tout se passa très vite. Cela démarra par la disparition subite du clair de lune occasionnant une nuit complète dans l’immense grande salle de bal. Je compris vite que le ciel devait s’assombrir rapidement quand le tonnerre gronda et soudainement une violente volée d’éclairs fusa… Des éclairs de plus en plus rapprochés qui éclairaient en une fraction de secondes la pièce tout entière dans un bruit assourdissant dudit tonnerre. Et ce que les éclairs me permettaient de distinguer me surprenait autant que me terrifiait. Etait-ce le fruit de mon imagination en cette soirée d’Halloween ? Je vis distinctement face à moi, là devant mes yeux stupéfaits des dizaines et des dizaines de fantômes perruqués dansant sans musique, un menuet en ronde et en chaîne-farandole. J’étais en train de vivre une soirée au Château du temps des rois, car cette danse se pratiquait sous Louis XIV. Entre chaque éclair, tous ces spectres disparaissaient pour réapparaitre à chaque nouvel éclair… Ces fantômes avaient la même apparence de ceux de ‘Pirates des Caraïbes’ ! Translucides et bleutés, tous superbement habillés comme les nobles de la cour du roi, mais ce que l’on pouvait apercevoir de leur corps, c’est-à-dire leur visage et leurs mains étaient squelettiques… C’est cela qui me terrifiait… Des squelettes habillés et en mouvement donnant le pas de danse… L’orage grondait …
L’orage grondait donc désormais de plus belle, orage venu d’où on ne sait où … Quand subitement, là devant moi, et comme par magie la lumière fusa d’un seul coup éclairée au splendide plafond par une multitude de lustres aux dizaines bougies ! Ce qui eut pour immédiate conséquence que la musique de la danse se fit entendre. Les spectres danseurs continuaient comme si rien n’étaient, femmes et hommes de la cour du roi se saluant avant d’attraper un bras fin de faire tourner un partenaire dansant. J’étais médusée, la bouche bée, ouverte d’étonnements, mes yeux grands ouverts ne perdaient rien du spectacle qui se déroulait comme si j’étais absente car personne ne fit attention à ma présence, comme si je n’étais pas là mais juste spectatrice devant un écran de télévision. Mais je ne suis pas folle, je n’avais aucun écran, je voyais bien que tout cela se déroulait sous mes yeux ébahis… La danse dura encore plusieurs minutes … Je pouvais distinguer derrière les sourires des fantômes, les mâchoires squelettiques et cela me glaçait le sang… Quand la danse se termina et que chaque duo face à face se saluèrent en de multiples courbettes, j’entendis distinctement et très très proche de moi que l’on frappa une seule fois des mains, je tournais et levais la tête pour voir qui avait frappé des mains du côté de l’immense double-porte d’entrée, proche de moi. Les danseurs ne bougeaient plus et tous regardaient en ma direction, enfin, plutôt en direction de l’homme qui était dans l’encadrement de ladite porte. J’aperçus à ma grande surprise, de profil par rapport où j’étais assise sur le côté, Monsieur le Marquis d’Evans toujours à l’allure spectrale, mais son visage à Lui n’était pas squelettique, juste translucide et bleuté … L’orage redoublait de puissance
Le spectre du Châtelain tenait fermement en main une laisse mais je ne voyais pas encore quel esclave, le fantôme du Noble tenait au bout de cette laisse… Et ce qui me sidéra sur place d’avantage, c’est ce que je vis quand Monsieur le Marquis s’avança un peu… Il était accompagné par … moi ! … En effet, j’étais encore plus stupéfiée car je me voyais nue et à quatre pattes, au bout de cette laisse à mon collier que je me voyais porter à mon cou. J’avais la tête baissée et semblait être heureuse de mon état. Ce qui me figea d’horreur, c’est qu’à l’instar du Noble, je me voyais en … fantôme bleuté et tout comme Lui, je n’étais pas squelettique contrairement aux danseurs qui ne bougeaient plus et regardaient tous l’arrivée du fantasmagorique Châtelain. J’avais une corde liée faisant le tour de ma taille et sur laquelle était attachée une autre corde à demi-tendue partant en direction derrière moi, comme si un autre esclave était attaché en cordée à ma suite tels des alpinistes. Le Noble spectre s’avança encore et je voyais très distinctement mon propre fantôme évoluer derrière Lui, à quatre pattes. Assise au sol, je me mis alors à crier d’horreur de me voir en fantôme mais j’avais beau hurler que l’on ne m’entendit pas, comme si je n’étais pas dans la pièce. Alors je voulu me lever du sol mais je ne le pus, tout mouvement m’était impossible, comme si mes membres pesaient mille kilos, j’étais clouée assise au sol, cantonnée au rôle de spectatrice. Mais le spectacle que j’allais voir était des plus incroyable, alors que l’orage était à son paroxysme…
Le Noble spectre s’avança encore, mais cette fois sans s’arrêter, il évoluait avec grâce la tête haute, d’une fière allure, tenant cette laisse avec une majestueuse délicatesse et c’est fou car je me voyais en fantôme derrière Lui ! Oui, à me déplacer à Sa suite en quadrupédie. Et derrière moi, je vis apparaitre tous encordés à moi et les uns aux autres reliés par la taille, une cinquantaine d’esclaves fantômes. Un véritable défilé d’esclaves animalisés ! Mais l’immense différence par rapport au Noble et à moi, c’est que ces fantômes évoluant à quatre pattes était tous squelettiques, du même aspect que les danseurs (pour rappel, visualisez ces fantômes comme ceux dans ‘Pirates des Caraïbes’ !). La différence envers eux, étaient que ces esclaves translucides n’avaient aucun habits et que seul leur collier au cou apparaissait dans la nudité de leur squelette… sauf que pour chacun d’eux, leur tête était recouverte d’une … citrouille ! Oui j’ai bien une citrouille avec deux trous pour les yeux, un pour le nez et une ouverture en forme de croissant de lune horizontal pour la bouche. Qu’est-ce qu’était que cette mascarade ! Je me croyais en plein cauchemar d’Halloween ! Assise et immobilisée, par je ne sais quelle magie, à même le sol, je ne pouvais bouger uniquement ma tête et quand je jetais un œil sur les danseurs-dominants, je ne pus m’empêcher d’émettre un cri d’horreur ! Toutes ces têtes perruquées avaient subitement changé d’aspect ! En effet sous leur postiche, se trouvait également une citrouille sur leur tête recouverte. Ils tournèrent tous en même temps la tête en ma direction et me regardaient avec des silhouettes fixes, immobiles avec ce faux sourire d’épouvante via l’ouverture de la bouche de ces têtes de citrouilles qui me glaçaient le sang quand subitement elles se mirent à éclater de rire en ma direction… Un rire d’effroi… tandis que l’orage éclatait d’une rare violence
Je me suis évanouie par la peur qui m’avait saisi… Je revins à moi par le son d’une douce musique de chambre de Jean-Sébastien Bach. Tous les fantômes étaient toujours présents dans l’immense grande salle de bal. Mais ce qui m‘interpella, à ma grande surprise, c’est que tous ces spectres squelettiques avaient pris une véritable forme humaine d’aspect normal, visiblement, en chair et en os. L’ambiance avait aussi changé, à commencer par les lumières, beaucoup plus chaudes par des lustres aux bougies aux flammes et bien moins angoissantes. L’orage n’était plus présent et j’aperçu au détour d’une haute fenêtre un magnifique clair de lune, un ciel d’une nuit claire et étoilée. Je me trouvais à un autre siècle, à l’évidence. Mais par quelle magie je me persuadais de ce fait, que j’avais remonté le temps pour me trouver sous le règne de Louis XVI … Peut-être parce que tout au fond de la salle, trônait un immense portrait du monarque… La soirée perruquée battait son plein. Il y avait des marquis (ses), ducs et duchesses, barons (onnes), bref toute une noblesse qui savourait cette orgie se déroulant sous mes yeux médusés, émerveillés aussi et excités, usant et abusant de la cinquantaine d’esclaves femelles et mâles, de ces soumis qui se donnaient visiblement avec conviction dans la luxure et la perversité… Je vis Monsieur le Marquis d’Evans au milieu de la pièce prêt à me prendre par derrière….

Toujours assise et immobilisée au sol, j’étais encore une fois, simple spectatrice de ma propre soumission, me voyant nue, collier au cou, en chair et en os, sur le point de me faire besogner. J’étais debout et penchée en avant, les cuisses largement écartées, prête pour la bestiale saillie, avec le Noble tout en me forçant donc à me pencher ainsi en équerre, afin de bien dégager ma croupe... "Le Châtelain me saisit alors prestement par les hanches et défaisant d'un geste leste sa culotte, dégageant sa queue déjà extrêmement tendue :
- "Ah la bonne salope ! Comme elle m'a excité ! Je dois la fourrer, là maintenant, tout de suite" lance-t-il
Joignant le geste à la parole, le Noble m’encula brusquement, moi sa simple femelle qui ne laissa échapper qu'un bref petit couinement tandis qu'il commençait à me besogner ardemment. Monsieur le Marquis d’Evans allait et venait dans mon fondement, calquant le rythme de ses coups de boutoir sur celui de la musique sur laquelle quelques nobles couples sillonnaient la piste de la vaste salle si richement décorée, tandis que d’autres aux quatre coins de la pièce besognaient de nombreux esclaves subissant le bon vouloir de ces Dominants de la Haute société, esclaves offrant leurs divers orifices aux plaisirs de Celles et Ceux qui le voulaient...

Je me voyais m’appliquer à demeurer dans la bonne position pour que mon cul soit agréable à fourrer... Au bout d’un long moment le Châtelain cessa de m’enculer et se retira, puis Il me força à m'agenouiller et Il me fourra directement son sexe gonflé et dégoulinant entre mes lèvres buccales et s'enfonça dans mon fourreau humide, jusqu’à Son éjaculation en de longs jets de sperme que j’avalais avec délice… La nuit d’Halloween était bien avancée... les danseurs avaient enchaîné gavottes, passacailles et menuets durant de longues heures tout en allant baiser et se soulager, quand bon leur plaisaient, la cinquantaine d’esclaves chiennes et chiens mis à leur disposition. Sous les luxueux lustres de cristal de cette grande salle, Monsieur le Marquis d'Evans me fit lever et sans dire mot, me fit danser pour me faire tournoyer et j’étais apparemment ivre du bonheur d'être ainsi entre les Mains du Seigneur et Maître et sous le regard amusé des autres nobles présents ...

(A suivre …)

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