Qui va à la chasse..... - histoire érotique

<p>Corinne, belle blonde de trente ans, et Bastien, son mari de trente quatre ans, habitent un village de montagne depuis huit ans qu'ils sont mariés.
Chaque année, en octobre, Corinne reçoit son frère Nicolas, âgé de vingt cinq ans, pour un long week-end de chasse avec son mari et Guy, un jeune voisin de vingt ans, qui leur sert de guide. Ils partent trois jours, laissant Corinne seule à la maison.
Mais cette année, Nicolas emmène une copine, Lea âgée de vingt ans, et Guy, de par son travail, ne peut pas les accompagner. Corinne sera moins seule.
Le vendredi, le 4x4 est chargé, Bastien et Nicolas s'en vont.
-On vous appelle une fois sur place, dit Bastien.
-Soyez prudent, ajoute Léa.
-Allez, rentrons, reprend Corinne, il fait pas des plus chaud, puis il faut bien qu'on fasse connaissance.
Corinne fait visiter la maison à Léa. Alors là, c'est la cuisine, là le salon, ici la salle de bain.
Ensuite, en haut, il y a ta chambre. Tu fais comme chez toi.
Quelques instant plus tard, elles passent à table, papotent cinq minutes puis décident d'aller se coucher.
Dans la nuit, Léa descend à la cuisine pour se servir un verre d'eau. En approchant du salon, elle entend des voix.
-Tu l'as fait exprès de ne pas aller avec eux. Tu savais que je te cèderai, que je me donnerai ce soir, hein, salaud, disais Corinne.
-Et toi, tu n’as pas envie de te donner, regarde comme tu mouilles, répond Guy, le visage entre les cuisses de Corinne, c'est un signe non ?
-Depuis cet après midi je mouille en pensant à toi, vas-y suce bien mon clitoris, mord le, fait moi mal. Après tu te mettras à ma place, tu vas voir la pipe que je vais te tailler.
Oh salaud, ha ha ha, je joui, ouiouioui, branle, t'arrête pas.
Léa s'avance et découvre la scène. Corinne est assise sur la grande table, les deux pieds posés sur le banc. Ses jambes sont complètement écartées. Léa n'en revient pas.
C'est maintenant Guy qui prend la place de Corinne. Sa queue est en érection. Un bon dix huit centimètres.
-Je ne te savais pas monté comme çà. Remarque Corinne tout en branlant la queue de Guy.
Je vais avoir de quoi avaler.
Avec ses lèvres, elle décalotte le gland, avale la queue au trois quart, et commence à sucer.
Guy la maintient d'une main dans les cheveux pour rythmer les va et vient de sa bouche.
Elle lui attrape les couilles qu'elle fait rouler entre ses doigts. Guy n'y tient plus, il se raidit.
-Je viens, crie-t-il, je crache, tu m'as eu salope, que c'est bon. Allez, nettoie maintenant.
Corinne a tout avalé, elle enroule sa langue autour du gland pour finir de le nettoyer.
-C'est la première fois que je trompe mon mari, dit-elle en l'embrassant. La prochaine fois, tu me baiseras comme il faut, hein mon chéri, dans le lit.
-D'accord, lui répond-il, à une condition. Que tu portes toujours la chemise de ton mari, sans rien dessous, çà fait plus sexy.
-Tu pourras mieux passer tes mains pour me caresser tu veux dire, vicieux.
Ils se séparent pour ce soir, en s'embrassant avec fougue.
La nuit a était courte. Léa arrive à la cuisine, Corinne est en train de rincer la vaisselle.
-Bonjour, dit Corinne, bien dormi?
-Bonjour impeccable, répond Léa. Tu as une belle chemise, Bastien doit être à l'aise pour passer se mains.
Corinne est surprise par cette remarque et ouvre grand les yeux.
-A moins que ce soit pour quelqu'un d'autre, poursuit Léa. Je parie que tu n'as rien dessous.
Corinne est troublé. "Elle sait quelque chose, elle nous à surpris, pense-t-elle.Mon dieu"
-J'aime bien être habillée comme çà quand je sors pas, dit Corinne de plus en plus gênée.
C'est plus détendu.
Une fois le déjeuner terminé, Corinne débarrasse la table et pose la vaisselle sur l'évier.
En un rien de temps, Léa est derrière elle. Doucement elle passe ses mains sous la chemise et lui caresse les cuisses.
- Cà ne va pas, s'écrie Corinne, qu'est ce que tu fais.
-Je continu ce que Guy n'a pas fini cette nuit. J'ai tout vu, alors essaie d'être docile et obéissante.
"Elle a tout vu, je suis piégée, pense Corinne. Comment faire pour que Bastien ne sache rien et pouvoir continuer ma relation avec Guy. Dois-je céder à Léa, me soumettre".
N'ayant pas de réponse, Léa repart à l'assaut. Elle passe ses mains devant la chemise et défait les boutons un à un, puis la fait glisser sur les épaules de Corinne.
Corinne ne réagit pas. Elle a l'air d'accepter. Léa la prend par les cheveux, lui tourne la tête pour l'embrasser. Corinne pince ses lèvres pour éviter le baiser.
-Ne me fait pas çà, implore Corinne, j'ai jamais embrassé une femme.
-Attention, dit sèchement Léa, tu veux détruire ton couple.
-Oh non, réagit Corinne, surtout pas. S'il te plait, vas-y doucement, je ferai ce que tu voudras.
Viens, on va au lit.
Arrivé à la chambre Léa enlève sa chemise de nuit, prend Corinne, la jette sur le lit se place entre ses jambes et lui parcours le corps avec sa langue, s'attardant sur les points les plus sensibles. Le bout des seins, mais surtout sur sa chatte.
-Mais dis moi, tu es encore toute mouillé, et ton clitoris toujours dehors. Il est toujours comme çà, interroge Léa. Cà veut dire quoi, que tu en as pas eu assez hier soir ?.
-Tais toi, murmure Corinne, caresse moi, je suis tout le temps comme çà qu'en j'ai envie.
-On va bien s'amuser toute les deux, poursuit Léa.
Léa glisse une main entre les cuisses de Corinne et lui gratte le clitoris avec ses ongles, tout en lui mordillant les seins. Corinne, maladroitement caresse la chatte de Léa qui, elle aussi est toute mouillée. Léa a maintenant deux doigts dans la fente de Corinne et la branle vigoureusement, le pouce, lui, torturant le clitoris. A ce jeu, Corinne ne résiste pas. C'est en hurlant qu'elle cambre son corps, exprimant toute sa jouissance.
-Oui oui oui, je joui, putain que c'est bon, branle moi fort. Tire encore sur mon bouton fait moi mal.
Léa qui a plongé la tête entre les cuisses de Corinne, nettoie sa chatte à coup de langue ce qui provoque encore des gémissement de la part de Corinne.
Léa prend la main de Corinne et guide vers sa chatte toute ouverte.
-Vas-y rentre ta main, à toi de me branler.
-Ma main, mais tu es folle, je vais te déchirer.
-Non, vas-y je te dis.
Corinne s'exécute et doucement rentre deux doigts, puis trois, jusqu'a ceux que la main disparaisse entièrement. Au bout d'une dizaine de va et vient.
-Cà y est, je viens ha ha ha que c'est bon, t'arrête pas, vide moi chérie oui oui..
Les deux femmes, épuisées sont couchées cote à cote.
-C'est la première fois que je joui comme çà, dit Corinne, jamais je n'aurai pensé qu'une femme me ferai aussi du bien. On recommencera hein, s'il te plait.
-On a encore deux jours à passer ensemble ma chérie.


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