Squatt à Tunis
Récit érotique écrit par Choludo [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Squatt à Tunis
A 18 ans, j'ai été envoyé à Tunis chez un ami de mes parents. Cela pouvait se comprendre puisque en tant que gros branleur, je foutais rien à l'école et rien dans ma vie. Mes parents pensaient qu'un peu de discipline me ferait du bien et je n’allais pas être déçu...
Arrivé à Tunis, je suis accueilli par Hamed : 40 ans facile, maçon bien trapus avec de grandes mains rugueuses. Il vivait seul dans une grande maison. A peine arrivé, Hamed, me fit déshabiller "il fait chaud à Tunis, ici on porte pas de sous vêtements ou tous ces trucs à la con". Du coup, il me fout à poil et jette mon caleçon et tous ceux qui étaient dans ma valise. Super humilié dès le départ, j'ai fermé ma gueule car étant puceau j'avais pas trop envie de me la jouer.
Il me demanda d'enfiler une djelaba : elle était super transparente et ouverte au niveau de l'entrejambe : du coup on voyait ma bite et mes couilles dès que je marchais... L'humiliation continuait...
Vers midi on passa à table, Hamed me dit : "tu as le droit de manger car je vois que tu as la bite et les couilles rasées, c'est bien car ici, tu es obligé de te les raser tous les jours et de te passer de l'huile tous les matins. Et putain, décalotte ton zob quand t en ma présence ! Compris branleur".
Assez choqué j'étais assis en tailleur face à Hamed, la bite à l'air et je me suis décalotté devant lui.
Il me fit un sourire vicieux en me disant "c'est bien, tu es comme moi, sauf que toi tu as une petite bite, c'est plus une chatte qu'une bite comparé à la mienne". Et quand il écarta les cuisses face à moi, il laissa apparaître un truc pas croyable : une bite qui descendait à mi cuisse, super large comme 2 bites collées et un gland décalotté qui ressemblait à une prune bien grosse. Ses couilles aussi pendaient le long de sa jambe.
J'étais choqué par le truc.
Enfin on vint nous servir à manger : un jeune rebeu de même pas 20 ans vint nous servir. Je commençais à manger quand Hamed dit au serveur "reste là Adil on va jouer avec le branleur". Et là, tout s'est enchaîné.
Adil m'a mis debout, m'a enlevé ma djellaba et m'a fait accroupir. Il a sorti son zob et me l'a collé dans la bouche. Il me tenait par les couilles pour que je ne bouge pas. Pendant ce temps, Hamed s'est collé à moi et m'a rempli le cul d'huile bien grasse. D'un coup, il m'a enfilé sa grosse bite dans le cul. J'ai gueulé, pleuré et je sentais que je saignais : son zob pouvait pas passer : il était trop gros. Mais il était tellement excité qu'il arrivait à me limer en m'insultant : tout est allé très vite : il me lima environ 10 minutes comme ça.
Il se retira, mon cul était en feu mais il y colla une pomme dedans. Avec Adil, ils se branlèrent au dessus de ma gueule en m'insultant et en m'envoyant des molards sur la tronche. Je ne pouvais pas bouger car Adil me tenait par les couilles.
Tous les deux giclèrent sur moi et me pissèrent dessus.
Après je fus enfermé dans une cave aux sous sol avec ma pomme bien enfoncée dans le cul et le supplice continua durant un mois. Je fermais ma gueule de peur d'avoir à reprendre la bite d'Hamed dans mon fion....
LA SUITE ? Ecrivez-moi (surtout les actifs vicieux !) pour me dire ce que vous voulez qu'il se passe, j'écrirais la suite...
Arrivé à Tunis, je suis accueilli par Hamed : 40 ans facile, maçon bien trapus avec de grandes mains rugueuses. Il vivait seul dans une grande maison. A peine arrivé, Hamed, me fit déshabiller "il fait chaud à Tunis, ici on porte pas de sous vêtements ou tous ces trucs à la con". Du coup, il me fout à poil et jette mon caleçon et tous ceux qui étaient dans ma valise. Super humilié dès le départ, j'ai fermé ma gueule car étant puceau j'avais pas trop envie de me la jouer.
Il me demanda d'enfiler une djelaba : elle était super transparente et ouverte au niveau de l'entrejambe : du coup on voyait ma bite et mes couilles dès que je marchais... L'humiliation continuait...
Vers midi on passa à table, Hamed me dit : "tu as le droit de manger car je vois que tu as la bite et les couilles rasées, c'est bien car ici, tu es obligé de te les raser tous les jours et de te passer de l'huile tous les matins. Et putain, décalotte ton zob quand t en ma présence ! Compris branleur".
Assez choqué j'étais assis en tailleur face à Hamed, la bite à l'air et je me suis décalotté devant lui.
Il me fit un sourire vicieux en me disant "c'est bien, tu es comme moi, sauf que toi tu as une petite bite, c'est plus une chatte qu'une bite comparé à la mienne". Et quand il écarta les cuisses face à moi, il laissa apparaître un truc pas croyable : une bite qui descendait à mi cuisse, super large comme 2 bites collées et un gland décalotté qui ressemblait à une prune bien grosse. Ses couilles aussi pendaient le long de sa jambe.
J'étais choqué par le truc.
Enfin on vint nous servir à manger : un jeune rebeu de même pas 20 ans vint nous servir. Je commençais à manger quand Hamed dit au serveur "reste là Adil on va jouer avec le branleur". Et là, tout s'est enchaîné.
Adil m'a mis debout, m'a enlevé ma djellaba et m'a fait accroupir. Il a sorti son zob et me l'a collé dans la bouche. Il me tenait par les couilles pour que je ne bouge pas. Pendant ce temps, Hamed s'est collé à moi et m'a rempli le cul d'huile bien grasse. D'un coup, il m'a enfilé sa grosse bite dans le cul. J'ai gueulé, pleuré et je sentais que je saignais : son zob pouvait pas passer : il était trop gros. Mais il était tellement excité qu'il arrivait à me limer en m'insultant : tout est allé très vite : il me lima environ 10 minutes comme ça.
Il se retira, mon cul était en feu mais il y colla une pomme dedans. Avec Adil, ils se branlèrent au dessus de ma gueule en m'insultant et en m'envoyant des molards sur la tronche. Je ne pouvais pas bouger car Adil me tenait par les couilles.
Tous les deux giclèrent sur moi et me pissèrent dessus.
Après je fus enfermé dans une cave aux sous sol avec ma pomme bien enfoncée dans le cul et le supplice continua durant un mois. Je fermais ma gueule de peur d'avoir à reprendre la bite d'Hamed dans mon fion....
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