Nu, je me livre pour la première fois à des routiers sur un parking...

- Par l'auteur HDS Nu un soir -
Récit érotique écrit par Nu un soir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Nu, je me livre pour la première fois à des routiers sur un parking... Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nu, je me livre pour la première fois à des routiers sur un parking...
Je rentrais d’un dîner chez des amis lorsque je suis tombé en panne d'essence. Heureusement, j’ai eu la chance de rapidement me faire prendre en stop par un routier qui venait de quitter le parking de cette route nationale de la Sarthe. Devant mon désarroi, il m’a gentiment proposé de faire un aller-retour à la station de l’autoroute proche de quelques kilomètres. Bien qu’il m’ait semblé avoir une bonne cinquantaine d’années et un air de bon père de famille, je me suis senti relativement mal à l‘aise devant quelques uns des regards appuyés qu’il posait sur moi.
Ce n’est qu’après avoir rempli un bidon d’essence prêté par ses soins et de retour dans la cabine qu’il commença à entamer la conversation. Plutôt sympa, il me parlait de tout et de rien : situation professionnelle, famille, passion… Une fois arrivés à la voiture, il a eu la gentillesse de vider l'essence dans le réservoir avec le bidon qu'il m'avait prêté. Malgré son physique peu attrayant, un bide proéminent et surtout mon attirance non avouée pour les hommes, j’ai eu envie de lui. La situation était excitante sans que je sache dire pourquoi. En quelques secondes, je me sentais un autre...
Ne sachant comment le remercier, j’ai profité de ce qu’il finissait de vider l'essence dans le réservoir, j'ai ouvert ma chemise et commençais à me caresser à travers la poche de mon jean. Je mourrais d’envie de le toucher, de passer ma main sous son large short dans lequel j’imaginais un gros sexe que je rêvais de prendre dans ma bouche. Mais je n’ai pas osé. Toutefois, lorsqu'il s'est retourné, j'étais entrain de défaire la ceinture de mon jean.
Finalement peu surpris, il a posé sa grosse main sur mon ventre, puis pincé un de mes tétons en attrapant l’arrière de ma tête. Il m’a rapproché de lui et m'a « obligé » à poser ma bouche sur la sienne. Sa mauvaise haleine ne m’a pas effrayé lorsqu’il a enfoncé sa langue dans ma bouche, serrant de plus en plus fort mon visage sur le sien. Nos corps se sont touchés et j’ai compris dans un abandon évident qu’il ferait de moi tout ce qu’il voudrait. Il m'a dit que je pourrais le remercier en passant un moment dans sa cabine avec lui et sans attendre ma réponse, a baissé mon pantalon pour prendre mon sexe dans sa main. Je bandais comme un fou et mon cœur battait à tout rompre. Il me serrait juste au dessus du gland, sans bouger : une caresse qui m‘a toujours excité au plus haut point. Me tenant toujours par la tête, il m'a appuyé contre ma voiture en guidant ma main vers son sexe. Non content de le caresser à travers son short, j’ai comme j’ai pu passé ma main par en dessous pour sentir le bout de sa queue en direct. J’étais en plein dans la réalisation d’un fantasme de toujours.
Lorsque je suis arrivé sur près du camion, après avoir titubé quelques mètres car mon jean était pratiquement baissé, il m’a fait poser les mains posées sur le marchepied. Il a complètement baissé mon pantalon, puis baissé mon caleçon en soie qui a semblé l’exciter beaucoup. Penché en avant, il m’a très fugacement léché le cul. Je me suis cambré de moi même car j'étais fou d'excitation. Toutes mes barrières étaient brisées et je voulais être la femelle de ce gros porc que j’espérais le plus vicieux possible. Enhardi, j'ai passé ma main sur sa bite en soupirant de bonheur. Il fallait que je le touche, que je le prenne et que je le suce. J'ai baissé son short horrible au moment précis où il finissait d'enlever mon pantalon, m’obligeant à me contorsionner car j’avais gardé mes tennis.
Enfin, comme j’en rêvais, il m'a fait monter dans la cabine. Je me suis retrouvé assis, les fesses à l'air, le sexe bandé et la chemise ouverte lorsqu'il est monté à son tour. Il m'a dit qu'on allait bien s'amuser, que je serai sa petite salope et qu’il allait m’en donner pour mon pognon. Ces mots m’excitaient terriblement et je n’avais plus envie que d’être totalement soumis au moindre de ses désirs. Quelque chose avait changé en moi et je me sentais prêt à accepter tous les outrages. Après avoir baissé des stores sur le pare brise et la glace du côté conducteur, il m'a obligé à me mettre à quatre pattes sur le siège du conducteur. « Suce moi petite salope » a t’il éructé comme s’il avait voulu m’exciter encore plus. Pour la première fois de ma vie, je touchais le fruit de tous les fantasmes inavoués : un sexe d’homme.
Plus épais que le mien, plus large, j’ai refermé ma bouche sur son gros gland rose prêt à éclater tout en lui malaxant les couilles de mes deux mains. Dans un état d’excitation jusqu’alors méconnu, j’ai pour la première fois ressentie ce besoin irrépressible, ce désir absolu et ultime de me faire prendre le cul. De plus, ma position permettait aux rares voitures et camions qui passaient d’être exhibé à la vue de tous. Quelques camions ont klaxonné, rajoutant à mon excitation, m’incitant aussi à écarter les cuisses et remonter mes fesses. Je me sentais tellement ouvert et femelle que j’aurais pu accepter un sexe énorme dans mon cul.
Je le suçais de plus en plus vite, de plus en plus fort, lorsqu’il a violemment claqué ma fesse gauche qu’il a gardée dans sa main, me griffant violemment. J’étais à deux doigts de lui faire cracher son jus lorsqu’il m’a obligé à me redresser, ramenant pour la deuxième fois ma bouche sur la sienne pour un baiser profond. En lui léchant le visage, je l’entendais répéter sans discontinuer : « petite pute, petite pute, salope, je vais te mettre, tu vas t’en prendre plein le cul et la bouche... ». Forcé à me relever, il m’a fait retourner car il voulait mater mon petit cul, mon corps imberbe. Une deuxième claque sur la fesse droite a suffi à me soumettre totalement. Une main griffée accrochée à l’autre de mes fesses, un sein pincé sévèrement pour mon plus grand plaisir, j’ai de moi-même écarté mes jambes en les pliant pour lui donner l’accès à ce petit trou qui avait tant envie de se faire remplir.
Je n’avais plus peur. Pas même que du regard de cet homme allant aux toilettes qui restait tétanisé par le spectacle que je lui offrais depuis quelques minutes. Je lui ai souri et j’ai sorti ma langue de façon obscène pour exciter en lui toute la jalousie du monde, découvrant à cette seconde précise la sensation inconnue d’être un simple objet de désir. J’étais en train de me faire écarter les fesses, de me faire inspecter avec juste assez de violence pour me déchaîner encore plus. Ses grosses mains sur mes hanches m’ont obligé à venir venu m'asseoir sur lui. J’ai senti le bout de sa bite qu’il avait recouvert d’un préservatif commencer à forcer sur mon anneau désireux de s’ouvrir. Mais dés que je me sentais près à être baisé, il se branlait en me tapant sa bite sur le cul, ce qui m’excitait encore plus. Puis il passait sa main sur ma bouche pour en récupérer une salive qui allait lui permettre de m’écarter suffisamment pour le recevoir. Dans cette débauche de sens, je ne pouvais m’empêcher de désirer l’homme que j’avais vu partir vers les toilettes.
Le sucer m’aurait comblé…
Je n’étais plus qu’un jouet. Une marionnette qu’on baise en la retournant dans tous les sens. J’attendais en râlant qu’il me prenne, qu’il s’enfonce totalement au fond de mon cul, qu’il me remplisse, me bourre puis qu’il se vide en moi. Il écartait mes fesses de ses grosses mains calleuses puis a commencé à doigter mon petit cul. Il m'a dit que j'étais sa petite pute, une belle petite gonzesse et qu'il allait me fourrer jusqu’à plus soif. « Tu vas t’en prendre plein le cul petite salope, tu es mon jouet. Je vais te défoncer le trou et te faire hurler. Je te laisserais partir quand je t’aurais fini, plein de foutre dans ton cul et sur la gueule. » Et il rajoutait : « Tu aimes ça petite salope, hein ? Dis-moi que tu aimes ça. » « Réponds petite pute, ». « Bourre moi, je suis ta salope, enfonce la moi, déchire moi le cul, baise moi, pisse moi dans le cul.. » Je n’en revenais pas de ce que j’étais capable de lui dire.
Malgré cela, sentant que c’était ma première expérience, Il a très délicatement forcé l'entrée de mon cul en soulevant mes fesses. En confiance, je me suis relâché. C'est à ce moment là qu'il m'a enfoncé sa bite d'un seul coup. Je l'ai englouti tout entier en proie à un orgasme que je n'aurais jamais imaginé.
J'aurais aimé que d'autres routiers me regardent à ce moment là, et se branlent devant moi avant de me mettre à leur tour. Toutes mes défenses venaient de tomber et je me suis balancé sur lui comme en pleine crise de démence jusqu'à ce qu'il jouisse dans mon cul. Quelle déception de ne pas sentir son foutre gicler à l’intérieur de moi… … car Il s'enleva de moi d'un coup sec et me força à me retourner pour m'embrasser sur la bouche. Sa langue cherchait la mienne. Encore très excité, je lui léchais le visage.
Puis je me suis allongé sur le dos, inconfortablement mais avec une telle envie de jouir... Alors qu'il m'enfonçait un doigt dans le cul en me caressant les couilles, il m'a demandé de me branler et de lui gicler dessus. Mon dieu, jamais je n’avais eu envie de jouir à ce point là. Je me tortillais sur son doigt qui me pénétrait profondément et lui demandai d’en enfiler un autre, sentant monter en moi un orgasme hallucinant. Très conscient de l’effet que je faisais sur lui, je lui demandais de me prendre dans sa bouche, lui disant d’une voix rauque :
- « Alors mon gros salaud, tu n’as pas envie de te l’enfiler dans la bouche ? Regarde comme elle belle ! Tu es déjà fatigué ? Fais un effort, j’ai encore envie de ton pieux dans ma petite chatte de salope ! Suces moi et baises moi. Embrasses moi, je suis ta petite pute. »
J’ai passé mes mains derrière son visage et l’ai tiré vers moi pour agacer ses lèvres de ma langue. Excité par l’absence de beauté de son visage et de son corps, totalement soumis, je titillais de plus en plus du cul avec une folle envie de jouir mais désirais plus que tout gicler dans sa bouche.
- « Viens me baiser encore, dépucèle moi une fois de plus, décalque moi le cul ou je vais me faire finir ailleurs. »
Quelques secondes plus tard, avec l’aide de ma main, je partais dans sa bouche dans un hurlement qui aurait pu réveiller l’ensemble des occupants du parking… Totalement vautré, le cul planté dans ses doigts, à peine remis de l’intensité de cet orgasme, il recracha sur mon visage ce doucereux liquide que je lui avais offert. Enfin, après un temps qui me sembla infini, il recommença à me doigter le cul, excité je crois de mon regard de salope soumise et langoureuse.
Je voulais qu’il me désire encore, qu’il profite de moi au point de me regretter. Alors, je me lovais contre lui, relevais puis écartais mes jambes en sollicitant une caresse plus profonde.
Lorsqu’il m’eut mis trois doigts, il me força à le sucer à nouveau. Quelques secondes suffirent à le rendre gros et près à me défoncer une fois de plus.
- « Tu veux ma queue petite salope ? Et bien, pour la gagner, il va te falloir accepter quelques gages, quelques jeux… »
Inutile de vous dire que j’étais prêt à tout pour me faire enfiler par lui une fois encore. Son odeur m’excitait tellement… Il me demanda –malheureusement plus qu’il ne m’ordonna- d'aller totalement nu jusqu'aux toilettes en traversant ce parking ou passaient de nombreuses voitures et camions. Alors, peut être consentirait-il à me défoncer à nouveau. Mon émotion fut intense, parfaitement conscient qu'il pouvait partir avec mes vêtements qu'il avait confisqués, de même que les clés de ma voiture, mes papiers, ma carte bleue qui gisait sur le sol de la cabine dans un désordre total. J’avais peur mais souhaitais être vu. J’aurais fait n’importe quoi pour qu’il soit fou de moi… J’imaginais avoir peur mais il n'en fut rien. Il m'obligea à rester une longue minute nu sur le marchepied et je dus le sucer à nouveau, les jambes écartées et le cul relevé. J'avais envie qu’un autre homme baise mon cul à ce moment là. Dommage, le parking était désert… Enfin, c’est ce que je croyais… Après m'avoir embrassé tendrement, comme si j'étais son amoureuse, il me dit :
- « Tu vas jusqu’au toilettes des hommes, tu te colles près des pissotières, le cul appuyé contre le lavabo et tu répètes cent fois « je suis une petite salope ». Tu restes immobile et je t’interdis de te caresser. Lorsque tu as fini, tu reviens en marchant très lentement, les mains sur tes fesses afin de bien les écarter, avec une démarche de pute aguichante puis tu frappes à la porte de ma cabine. Si tu te comportes docilement, comme je viens de te le dire, je te baiserais à nouveau. Si tu marches trop vite, que tu reviens trop tôt ou que tu ne réponds pas à mes attentes, je jette tes affaires dehors et tu n’auras plus rien. Tu as bien compris petite salope ? Je compte jusqu’à dix ! »
A cinq, j’avais ouvert la porte de la cabine et je me préparais à traverser le parking de cet autoroute, qui, malgré l’heure tardive de la nuit, me semblait encore très éclairé et trop – peut-être – plein de vie. C’est le cul légèrement douloureux et le visage dégoulinant de foutre que je me dirigeai très lentement vers les toilettes publiques, quelques trente mètres plus loin.
J’avoue que malgré mon excitation, je me sentis plus tranquille lorsque je pénétrai dans ce sordide petit bâtiment en béton. Lorsque je m’approchai de l’évier pour prendre la position promise, j’entendis le bruit d’une chasse d’eau.
Le cœur battant à tout rompre, je me retrouvai devant le routier que j’avais allumé quelques minutes auparavant. Sans un mot, il s’approcha de moi, qui, bien que quasiment terrorisé, bandais à en hurler de douleur.
Il m’attrapa les cheveux, m’obligea à faire demi-tour puis à m’arrêter devant la porte d’entrée, parfaitement visible depuis la cabine du routier qui venait de me transpercer. Il me fit retourner à nouveau en tirant mes cheveux vers le haut ce qui m’obligea à me mettre sur la pointe des pieds dans une position de totale soumission. Je compris alors qu’il m’exhibait comme un trophée à mon amant précédent, qu’il avait décidé d’abuser de moi devant lui.
Je n’étais plus qu’une petite salope, mais la sienne désormais. M’obligeant à regarder dans la direction de la cabine éclairée d’où je voyais mon ex, il me fit sans douceur mettre à quatre pattes sur une table de pique nique. De moi-même, je posai ma tête sur la table, légèrement de côté, libérant ainsi mes deux mains avec lesquelles j’écartais mes fesses. Cinq secondes plus tard, j’étais emmanché jusqu’à la garde par une bite énorme qui me transperçait. Je me fis prendre avec toute la violence du monde, regardant mon routier qui ne perdait pas une miette de cette violente sodomie.
Une minute plus tard, alors que je hurlais de plaisir et de douleur, je sentis ce sexe grandir en moi, se contracter puis sortir d’un coup. Le préservatif vola à quelques mètres, juste le temps qu’il fallut à mon violeur pour attirer mon visage près de son sexe et se vider de son foutre sur moi.
J’avalais tout ce que je pouvais et récupérais sur mes joues, le restant ce sa semence au parfum ambré.
- « Je suis ta salope à toi aussi et je te remercie d’avoir daigné me baiser aussi bien ».
A peine eut-il remonté son jean qu’il me tira par les cheveux pour me ramener à mon point de départ. Antoine attendait debout devant le marchepied, l’air ravi.
- « Je te ramène ta petite pute, elle était vraiment bonne, merci. N’hésite pas à m’en faire profiter à nouveau une prochaine fois. Bye Antoine et à plus ».
Je venais de comprendre que je n’avais été que leur jouet. J’allais me venger. Restant seul devant Antoine, nu, je lui dis :
- « Je suis ta salope dévouée, ta petite suceuse, ta pute. Jamais tu ne trouveras de trou plus accueillant que le mien. Laisses moi passer la nuit avec toi et tu ne seras pas déçu. Baises moi encore une fois, enfiles mon cul ou je vais me faire défoncer par un autre…
- « Tu es une vraie petite chienne en chaleur, monte, je t’accorde quinze minutes. Moi, je travaille, je n’ai pas que cela à foutre »…
Une fois dans le camion, je me comportai comme jamais je n’aurais pu l’imaginer. Les quinze minutes se transformèrent en cinq heures torrides et c’est au petit matin, épuisé, les traits tirés, sentant le foutre à dix mètres, que je repris ma voiture pour rentrer chez moi.
J’avais réussi ce que je souhaitais : Antoine m’avais supplié de lui donné mon numéro de portable ou mon adresse mail. Il était à croc. Désormais, il allait connaître ce sentiment de manque identique à celui que j’ai vécu pendant de longues années avec une épouse qui me fuyait et refusait de vivre ses fantasmes. Pour la première fois, je me sentais « plein », vivant, heureux, comblé, assouvi. Désormais, je ne pense plus qu’à revivre une aventure similaire.

Si vous vous reconnaissez en Antoine, que vous passez en Sarthe ou en Mayenne, ou tout simplement que vous souhaitez parler avec moi de cette aventure, n’hésitez pas à me contacter.

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