Titre de l'histoire érotique : Tout çà pour des billes

- Par l'auteur HDS Lancer -
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Tout çà pour des billes Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Tout çà pour des billes
Harold, jeune black de dix ans, rentre de l'école en pleurant. Il se rend au jardin où sa mère
Angèle s'occupe des fleurs et du potager. Angèle est une black de quarante ans, ancienne gardienne de prison dans son pays. Un mètre soixante dix huit, quatre vingt kilos. Une force de la nature. Le genre de femme qu'on laisse tranquille. Divorcée depuis que son mari la surprise couchée avec son ex femme. De par ce qu'elle avait vécu en prison, elle était devenue bi sexuelle.
-Mais pourquoi pleures-tu mon chéri. On t'a battu, demande-t-elle ?
-Non, c'est la maman de Lucas qui m'a dit que si je ne rendais pas les billes de son fils, elle me donnera une fessée.
-Oh, ne t'inquiète pas, çà va s'arranger, répond Angèle. Je lui téléphonerai.

Lucas arrive de l'école, l'air triste.
-Que t'arrive-t-il encore, lui demande Estèle. Dis le à maman.
-C'est Harold, il ne veut pas me rendre mes billes, explique Lucas.
-Soit tranquille, je m'en occuperai demain, le rassure sa mère.
Estèle est une femme d'une beauté exceptionnelle, et elle le sait. Ses passes temps favoris sont le sport. La marche, la gym. Sa deuxième activité, le sexe. Increvable, malgré un mari très porté sur la chose. Une semaine que son mari était en déplacement, elle avait tenu tête à deux athlètes toute une nuit. Elle aime çà.

Le lendemain, Angèle profite d'une sortie en classe verte, pour appeler Estèle.
-Allo, bonjour, c'est Angèle, la maman d'Harold. Il n'arrête pas de pleurer depuis que vous l'avez menacé de lui donner une fessée. Tout çà pour des billes.
-Bonjour, répond Estèle d'un ton sec. J'ai autre chose à faire. Que vôtre fils rende les billes, sinon, je m'en occuperai personnellement, c'est compris.
-Mais, calmez vous, ce ne sont que des billes. S'il ne veut pas perdre, qu'il ne joue pas.
-Ecoute pouffiasse, je passe te voir demain matin. C'est toi qui va l'avoir la fessée si çà continue.
Cà raccroche. Angèle ne comprend pas. Elle pense tout haut.
"Tu vas voir ce qu'elle va prendre cette connasse. Je vais les lui mettre dans la chatte les billes. Elle me connaît mal".
Le lendemain, Estèle se prépare pour aller faire un peu de marche. Short ample, et bandeau sur les seins pour les tenir serrés. Elle fait une queue de cheval à ses longs cheveux blonds et s'en va. Elle dépose Lucas au bus.
"Tiens, à être là, si j'allais voir l'autre pouffiasse pour récupérer les billes" pense-t-elle.
Elle sonne chez Angèle.
-Oui, qui cela peut être. Je vous ouvre.
Angèle reste scotchée devant la beauté qui est sur le pas de la porte.
-Bonjour, arrive à dire Angèle.
-Je suis la maman de Lucas. Je viens chercher les billes de mon fils.
L'instinct lesbien d'Angèle ressurgit. Ce n’est pas les billes qu'elle mettrai dans sa chatte.
Estèle est rentré d'autorité, passant devant Angèle, qui ferme la porte. Estèle a à peine le temps de faire demi tour, qu'elle reçoit une paire de gifles qui l'envoie sur la moquette, les jambes écartées. Angèle remarque qu'elle n'a pas de culotte.
-Aie,aie crie Estèle une main sur son oreille. Cà ne va pas la grosse.
Elle se relève et se jette sur Angèle qui, d'un léger écart, se retrouve derrière elle. Elle l'a saisit par la taille et la soulève. Estèle est sur la pointe des pieds, en très mauvaise posture. Elle essaie de lancer ses bras en arrière, mais elle peut rien contre la force d'Angèle. Angèle la maintient dans cette position, uniquement du bras gauche. Elle passe sa main droite de l'autre coté de la taille, et enfile sa main dans l'échancrure du short.
Elle enfonce alors deux doigts dans la chatte d'Estèle.
- Lâche moi, crie Estèle, lève ta main de là. J'ai horreur de me faire toucher par une femme.
Elle se débat, mais Angèle la dirige vers le canapé. Toujours sur la pointe des pieds.
Estèle est menée aux doigts et à la chatte. Arrivé au canapé, Estèle tombe à genoux sur la moquette. Angèle en profite pour lui baisser le short jusqu'à ses chevilles. Angèle ne peut résister. De la main gauche, elle l'a maintient par le bandeau de sa poitrine, et de la droite, lui donne une fessée magistrale. Estèle hurle, pleure, implore sa tortionnaire d'arrêter.
-Aie, Aie, assez, assez. S'il vous plait, sanglote Estèle.
Angèle arrête de frapper, finit de quitter le short, et enlève même le bandeau qui tenait les seins. Estèle se retrouve toute nue. Elle se retourne légèrement. Ses seins jaillissent carrément au milieu du salon. Qu’elle est belle.
-Tu vois, dit Angèle, il est à peine dix heures du matin. Et bien tu vas rester toute nue, jusqu'à ce que le bus revienne. Et à partir de maintenant, tu me vouvoies, compris?
-Oui, dit Estèle.
-Oui qui, reprend Angèle.
-Oui madame, mais ne me faite pas mal. Ne me battez plus, implore Estèle.
-Oh que non, lui répond Angèle. Maintenant, je vais te faire que du bien. Il y a un moment que je n’ai pas jouer avec une femme comme toi.
Le téléphone sonne. Angèle attrape Estèle par la queue de cheval, la tire à quatre pattes vers le combiné, et s'assied.
-Allo. Tiens, mon neveu. Tu es arrivé quand Fred ?
-Il y a une heure. Je voulais passer te dire bonjour. C'est qui gémit, tu as un problème ?
-Non pas du tout.Passe me voir si tu veux. J'ai un excellent goûter pour toi. A tout de suite.
Et elle raccroche.
-Viens t'asseoir sur mes genoux, Ordonne Angèle. Que je m'amuse un peu.
Estèle s'assied sur les genoux d'Angèle, dos à elle malgré la douleur de se fesses.
Angèle passe ses mains autour de sa taille. Estèle a les jambes complètement écartées.
Angèle écarte ses lèvres, et commence à lui caresser la chatte, jouant avec son clitoris.
De l'autre main, elle prend les seins à tour de rôle, et fait rouler les bouts entre ses doigts.
-Tu ne serais pas entrain de mouiller, constate Angèle. Tu aimes çà, hein, tu te régales. Ton bouton est tout dur et enflé. Tu sens comme je le gratte bien, ce salaud.
-Que c'est bon, râle Estèle. Vous me faites du bien, continuez, branlez moi, sortez bien mon clitoris, allez-y. Je suis assez mouillée là. Je joui, oh oui, haa, oui, encore, oui oui.
Estèle a un orgasme qui n'en finit pas. Elle essaie de se tourner pour embrasser Angèle.
Impossible. Angèle sort ses doigts de la chatte d'Estèle.
-Tiens, ordonne-t-elle, goûte ta mouille de salope. Allez, nettoie tout.
Estèle obéit et lèche les doigts un par un. Angèle remet ses doigts dans la chatte d'Estèle, histoire de la maintenir en forme. Estèle gémit.
-Ha...ha...ha...ha...ha...
On sonne à la porte.
-C'est ouvert, rentre.
Un black de un mètre quatre vingt entre dans le salon. Fred est abasourdit par ce qu'il voit.
-Regarde ce que je t'ai préparé pour goûter, ironise Angèle. Cà te plait ?
Estèle, toujours entrain de se faire doigter, n'a pas l'air contre servir de dessert à ce beau black qui, d'après la bosse qui apparaît sur le short, semble bien monté.
-Mais tati, répond Fred, tu crois que le peux ?
-Elle est à toi, enfin, à nous, reprend Angèle, n'est-ce pas ?
-Oh oui, faites de moi ce que vous voulez, mais baisez moi. Ma chatte en veut encore.
Fred quitte son short, et avance son énorme queue vers la bouche d'Estèle, toujours entrain de se faire chatter par Angèle. Estèle prend la queue entre ses mains, décalotte le gland entièrement, tout en soupesant les grosses couilles.
-Mais vous allez me faire mal, dit Estèle.
-mais non, reprend Angèle. Prend le dans ta bouche, et taille lui une pipe.
Estèle absorbe doucement mais sûrement. D'abord le gland, puis toute la queue, jusque aux couilles.
-Tu vois bien, quand on veut, on peut. Vas-y maintenant, bien avec la langue. Voilà. Tu suces bien. Tu as intérêt d'avaler et de nettoyer, après.
Et çà vient de suite. Fred lâche sa semence au fond de la gorge, d'Estèle, puis sort doucement sa queue pour se faire nettoyer le gland. Dans un cri, Estèle jouit pour la seconde fois, branlée par Angèle.
-Regarde moi cette pute comme elle se donne. Un vrai corps à bite, dit Angèle.
Angèle l'a fait mettre à quatre pattes sur la moquette. Ils veulent encore en profiter. Fred se met à genoux derrière Estèle, sa queue face à sa chatte, et la pénètre. Estèle lance un cri de douleur, mais de plaisir aussi. Angèle, elle, a quitté son bermuda, et viens se mettre à genoux devant la bouche d'Estèle.
-Vas-y, dit Angèle en lui prenant la queue de cheval, suce moi.
Estèle est estomaqué par la taille du clitoris d'Angèle. Une vraie quéquette. Au moins quatre centimètres. Elle s'empresse vite de le prendre dans sa bouche. Un régal. Fred derrière accélère ses mouvements Angèle jouit la première. Un orgasme d'une force incroyable, ses cris résonnent dans toute la pièce.
-Oh, mon dieu, tu sens comme je me vide dans ta bouche, hurle Angèle. Petite pute, tu m'as fait jouir.
- Moi aussi, je crache, râle Fred. Cette salope me vide les couilles. Quelle chatte. Oh la bordille.
-Oh putain, çà fait trois fois que je jouis, pleure Estèle. Quelle queue, j'en veux encore.
Faites de moi vôtre pute, je suis à vous.
Les trois corps s'écroulent sur la moquette.
-Prenons cinq minutes, propose Angèle. Il n'est que quinze heures.
Estèle comprend qu'ils vont encore profiter d'elle. De s'amuser avec ses seins sa chatte, son petit bouton. Elle en mouille d'avance. Ils vont la baiser, la sodomiser, la faire jouir encore deux ou trois fois. Ils vont se faire sucer jusqu'à se faire vider complètement.
Encore trois quarts d'heure avant l'arrivée du bus. Estèle embrasse Fred à pleine bouche.
-J'ai l'habitude, dit-elle, mais on ma jamais baisé comme çà.. Angèle, je me m'allonger contre vous cinq minutes.
-Viens ma chérie, répond Angèle.
Estèle vient se blottir contre Angèle, lui prend la main, la promène sur son corps, des seins à sa chatte.
-Tout çà vous appartient, dit Estèle. Je vous offre mon corps.
-Quand je t'appelle pour passer à la maison, j'espère que tu viendras. Que je ne sois pas obligé de venir de ramasser à l’école. Ne m’oblige pas à te donner une fessée devant tout le monde.
Et de venir en tenue adaptée, toute nue dessous. Tu sais pourquoi tu viens, compris ? Tu vas voir comme on va passer des bons moments toutes les deux, dit Angèle…
-Je ferai tout ce que vous voudrez, répond Estèle. Mais ne tardez pas trop à m'appeler.
-Tu peux m'appeler Angèle, maintenant, et tu peux me tutoyer.
-Merci, et à bientôt, dit Estèle en sortant.

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