séances chez le kiné

- Par l'auteur HDS Karlina5936 -
Auteur femme.
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Récit libertin : séances chez le kiné Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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séances chez le kiné
Cette histoire est une histoire qui s'est réellement passée.

Ayant mal au dos depuis plusieurs semaines, je décidais de consulter mon médecin, qui me prescrit 12 séances de massages. Je me mis donc en quête d'un kiné chose qui ne fut pas aisée, car les délais d'attente étaient de plusieurs semaines voire de plusieurs mois. Or, comme j'avais assez mal, je persistais dans mes recherches et je finis par trouver un kiné à une trentaine de kilomètres de chez moi qui suite à un déssistement pouvait me prendre sans délai. Il m'informa cependant qu'il ne faisait plus les massages mais qu'il utilisait des couvertures chauffantes et des électrodes. N'ayant pas vraiment le choix je me rendis à son cabinet à l'heure convenue le jeudi soir.
Après vingt minutes d'attente, un homme d'une quarantaine d'année, plutôt bel homme, chatain clair, yeux noisette, grand, bien bâti, tenue décontractée vint me chercher et me fit pénétrer dans un bureau. Il me fit assoir et s'assit en face de moi. Je lui tendis la prescription du médecin. Il regarda la lettre rapidement puis ajouta :
"Comme je vous l'ai dit au téléphone je ne pratique pas les massages" il me regardait fixement et semblait réfléchir. Après une courte hésitation il continua, "cependant je peux faire une exception si vous souffrez à ce point".
J'acquiecais c'est vrai que je souffrais beaucoup. Il me demanda de me déshabiller (slip, soutien gorge) puis me dit de m'allonger à plat ventre sur la table qui trônait au milieu de la pièce. A peine allongée, il la fit monter.
"Il commença à me palper le dos en me demandant de lui indiquer les zones douloureuses (cervicales, épaules et lombaires).
"Vous êtes trop tendue, je vais arranger ça" me dit il la voix douce et il commença son massage. Il était très professionnel et c'était très agréable. Nous échangeâmes des banalités, puis au bout d'une vingtaine de minutes il me dit que je pouvais me rhabiller.
A raison de 2 séances par semaine, il continuait ses massages à condition que je vienne en fin de journée pour ne pas retarder les autres patients. Il était absolument charmant et ses massages étaient divins et me soulageaient vraiment beaucoup. Au fil des rendez vous nous parlions de sujets variés et de plus en plus personnels.
Puis au bout de trois semaines il me dit que j'avais un très beau corps. Effectivement sans me vanter à 24 ans je suis plutôt pas mal faites 1m62, 54kg, brune, cheveux mi longs, yeux bleus. Il me dit qu'il n'a pas l'habitude de voir dans son cabinet des corps comme le mien, plutôt des femmes d'un certain âge, ventripotente.
Je lui indique que j'ai plus particulièrement mal dans les lombaires. Il concentre donc son massage sur cette zone. Ses mains sont douces et massent le bas de mon dos, effleurant à chaque passage l'élastique de mon slip. Puis ses mains descendent encore plus bas et massent le haut de mes fesses au dessus du tissu. Le contact est agréable. Comme je ne dis rien il continue à descendre encore et me masse carrément les fesses, alternant massages appuyés et légers. Je ne m'y attendais absolument pas, je rougis violemment et n'ose pas bouger, le souffle coupé. Une douce chaleur envahit mon bas ventre et je sens que ma chatte commence à s'humidifier. Mon désir se fait de plus en plus fort. Puis brusquement tout s'arrête "Rhabille toi" m'ordonne t il. Il doit percevoir ma surprise et ma déception et ça a l'air de l'amuser.
Inutile de vous préciser que dans l'état ou il m'avait mise, arrivée à la maison je me suis octroyé une petite séance de masturbation.
Le jeudi arriva et J'étais à la fois impatiente et redoutais la séance. Il fit comme si de rien était, égal à lui même. "Ca t'as soulagé la dernière séance". Soulagée? Lui répondit je "pas vraiment". Il sourit comprenant l'allusion. "Allonge toi je vais remédier à ça". Ses mains effleuraient mes reins "tu es vraiment très belle tu sais, il m'arrive même de penser à toi le soir". Ses mains se faisaient plus insistantes et finirent assez rapidement sous mon slip. "Ca ne te gêne pas au moins". Je bredouillais que non ne reconnaissant plus ma voix. Il s'amusait de mon trouble et en continuant à me caresser il me dit " tu sais l'autre soir après notre petite séance je suis rentré à la maison et j'ai baisé ma femme en pensant à ton joli petit cul". J'étais écarlate, ma chatte était en feu tandis que ses doigts glissaient le long de ma raie et remontaient sans relâche.
"Tu me fais bander comme un âne" lâcha t il la voix plus rauque. J'essayais de me relever mais il m'ordonna fermement de ne pas bouger. J'obéis et attendais ce qui allait se passer. Il se plaça au bout de la table plaça ses mains sur mes cuisses et me tira vers lui jusqu'à ce que je fut placée les fesses en l'air le bas ventre sur le bord de la table. Il se plaça derrière moi et commença à se frotter contre mes fesses. Je sentais son sexe darder à travers le tissu de son pantalon et je mouillais comme une folle dans ma petite culotte. Il grognait et marmonnait "tu la sens ma queue ? Tu la sens bien ?" Tout en continuant à se frotter contre moi, il fit glisser doucement ma culotte à mi-cuisse, puis remonta une main dans mon entrejambe. Il glissa un doigt dans ma fente détrempée. " Tu as l'air d'aimer ça petite cochonne tu mouilles comme une catin". Son souffle sur ma nuque était court, son doigt caressait doucement mon minou, glissant de la vulve jusqu'au clitoris qu'il titillait avec précision. Il me caressa comme cela pendant un temps qui me parut une éternité. J'avais envie qu'il me l'enfonce dans ma chatte gluante et me branle mais il s'amusait avec moi. J'essayai de bouger mon bassin pour accentuer la caresse mais sans y parvenir car il me bloquait les fesses avec son bas ventre. Puis il relâcha la pression de son corps contre le mien et fis glisser jusqu'en bas mon slip. Il s'agenouilla entre mes jambes, écarta un peu plus mes cuisses, ouvrit les lèvres de ses doigts et fit glisser sa langue dardée dans mon intimité. Il me lécha la chatte dans tous les recoins jouant avec mon clitoris qu'il faisait rouler sous sa langue, l'aspirant. Je gémissais de plus en plus fort. Il me léchait toujours puis introduit un doigt que ma chatte trempée avala, puis un deuxième et me branla comme ça tout en me léchant le minou. Avec ce régime je ne tardai pas à jouir.
J'avais les jambes en coton. Il se releva et me retourna. Il avait la bouche et le menton détrempé de mouille et de salive. Assise face à lui, je le regardais déboutonner sa braguette, y plonger la main pour la voir réapparaître avec un énorme mandrin. Mon regard ne pouvait se détacher de cet engin. Il était long et épais environ 19 ou 20 cm sur 6 cm de diamètre. Je n'avais jamais vu une bite aussi grosse. Il se caressait doucement devant moi. Il s'approcha toujours en se masturbant, et m'embrassa sur la bouche, sa langue glissa entre mes lèvres et il me roula une pelle. J'avais le goût de ma mouille dans la bouche. Alors qu'il m'embrassait toujours il prit ma main et la posa sur son sexe à la place de la sienne. Je me mis à le branler doucement. Il retira sa bouche de la mienne me fit descendre de la table, appuya sur mes épaules et je me retrouvais à genoux devant sa bite que je branlais toujours avec application. "Suce moi". J'avançais la tête, me mis à lécher doucement le gland, la bite toujours à la main. Ma langue s'enroula autour de son gland, lui titilla la petite fente qui lâchait un peu de jus, plus glissa le long de la hampe, remonta, ma mains caressant ses couilles. "Prend la en bouche maintenant et suce", sa main appuya sur ma nuque et sa queue glissa entre mes lèvres, j'essayai de la prendre le plus possible en bouche mais elle était grosse. Il m'imposait le rythme et me baisait la bouche. J'aspirais tant bien que mal. Il grognait de plaisir, nos regards se croisèrent ce qui parut l'exciter encore plus. "Tu suces comme une reine ma petite cochonne, on voit que tu aimes ça une bonne bite". Ses propos m'excitaient. "Je vais tout te lâcher dans la bouche, tu vas adorer". Il accéléra le rythme et des décharges de foutre inondèrent ma bouche. Je tentais de me reculer mais il me tenait fermement la nuque "Avale" ordonna t il. Je ne l'avais jamais fait avant et je n'aimais pas ça mais je n'avais pas le choix et je fus contrainte d’avaler jusqu'à la dernière goutte. "Nettoie moi bien la queue maintenant". Je m'exécutais avec application.
Le téléphone sonna. Il partit répondre.
"Non elle est toujours là... oui j'ai eu du retard.... Je vais commencer à m'occuper d'elle.... Une demi heure à peu près.......
"C'était pour toi "me dit il en revenant "ton mec"
J'allai aller me rhabiller "La séance n'est pas encore terminée il reste une demi heure" dit il en me rattrapant par le bras. Sa bite à la main, il commençait déjà à rebander. . Il me prit dans ses bras, m'embrassa doucement, ses mains caressaient mon corps, s'attardant sur mes seins qu'il se mit à sucer à tour de rôle, une main malaxant ma poitrine tandis que l'autre descendait sur mon bas ventre pour rapidement glisser entre mes jambes. De ma main je lui saisis la queue et recommençait à le branler, lui aussi me branlait à nouveau la chatte. Très vite je recommençais à gémir, mon ventre allait à la rencontre de ses doigts qui entraient et sortaient de ma grotte chaude et humide. Il me souleva, m'allongea sur la table, sur le dos, les jambes écartées, je le suppliai de me baiser. Il sourit, debout devant moi, la bite à la main il plaça son vit à l'entrée de ma vulve. Mais il n'avait pas envie de me satisfaire tout de suite. Je n'en pouvait plus, "baise moi s'il te plait, mets la moi". Il faisait aller et venir sa queue le long de mes lèvres, agacait mon clitoris, reprenait sa caresse le long de ma vulve, la frappait avec sa queue. Puis enfin, il positionna le gland à l'entrée de la vulve et poussa doucement, fit disparaître le gland dans ma chatte, puis se retira, recommença son manège encore et encore. N'en pouvant plus je criai "vas y baise moi, plante la moi bien profond, défonce moi". Accédant à mon désir, il poussa un peu plus fort, sa queue entra davantage en moi. Elle était large et, même mouillée comme je l'étais, je la sentais me distendre les parois. Il se retira puis replongea encore un peu plus, profondément, ressortit à nouveau et là me la planta dans le ventre jusqu'à la garde. Il commença à limer, il entrait et sortait doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémissais.
"Ca te plait une bonne bite dans ta connasse hein... tu aimes ça hein, petite salope.... je vais te faire jouir .... Le rythme de ses coups de queue se faisait plus rapide. Je râlais à chaque coup de pine. Ma chatte recevait sa queue avec des bruits de succion et ses couilles claquaient contre mes fesses. Ses mains me tenaient par les hanches et il me défonçait littéralement. Nous jouîmes tous les deux en même temps. Il me lâcha un paquet de foutre dans le ventre et continuait à me tringler jusqu'à ce que ses couilles soient vides.
Je me rhabillais et rentrais chez moi où m'attendait mon copain.

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