l'amour, c'est toujours plus...
Récit érotique écrit par Herbe david [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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l'amour, c'est toujours plus...
Camille a 18 ans. Elle est belle, le corps comme on l'aime à cet âge là, qui va de la plus pure innocence jusqu'à la plus grande soif de connaissance, les seins très bien à maturité et la silhouette affirmé au désir, les lèvres voluptueuses qui ne tendent qu'au baiser, ce genre de fille qu'il faut aimer le plus rapidement possible par crainte d'en regretter les somptueux souvenirs du corps nouveau. Elle avait connu l'amour, mais n'en avait pas comprit le terme. Le corps de l'homme, elle y pensait, plus que de raison depuis déjà 2 ans, depuis que ce garçon qui venait chaque soir, comme un souffle de vie dans son quotidien perpétuel, lui apprendre ce que le collège ne possède pas l'éthique de lui enseigner. Les joies d'avoir un être si différent, si grand, profond, à ces cotés, à sa demande, qui l'écoute et la respecte du haut de ses 24 ans. C'était plus qu'un père, un vrai modèle. Elle fut conquise très rapidement, et ne tarda pas à acquérir, de pleine conscience, les manies de séduction, qu'elle savait en elle, mais d'une toute autre importance.
Ce ne fût pas long pour que l'étudiant succombe. Le premier jour de femme de Camille, il fût accueillit par une belle en peignoir, maquillé de façon très naturelle mais qui faisait de ses yeux bleus un puit sans fond, le vêtement peu ceinturé, les promesses du repos parfait.
Mais il résista une première fois, prétextant du travail jusqu'au lendemain.
Son travail et donc son besoin d'argent le vit revenir dans cette même chambre le lendemain.
Il n'y échappa pas.
La femme qui désire vraiment, obtiens.
Elle se fît grande, ne se reconnaissant même pas dans la glace, si belle qu'elle serait restée à se contempler pendant des heures, elle était si fière de ce qu'elle pouvait paraître, le sourire perçait ses lèvres. Elle l'attendit 2 heures comme cela, à se regarder belle, et quand il arriva, sans prévenir, elle était toujours là à se regarder. Ce fût une belle surprise pour l'aimé car, nue, au premier coup d'oeil exécuté immédiatement, il fut sous le charme. La valse qu'il s'apprêtait à danser serait un rêve. Il en restera toute sa vie ému que tant de beauté se blottisse entre ses bras. Elle le déshabilla rapidement, sous le feu de la passion et son sexe débordait d'une excitation qu'elle n'avait encore jamais ressentie. Etant plus expérimenté, lui aussi la dévêtit rapidement pour goûter ce sexe qui paraissait trop brûlant pour ne pas y toucher.
Il lui fit d'abord un petit massage de son sexe, la main de la belle, allongée voluptueusement sur le canapé, poignant déjà ses cheveux, pour ensuite découvrir de sa langue, les proportions intimes de sa tendre. Elle, était plus qu'excitée désormais et cherchais à découvrir que lui réservée son plaisir en attente. Elle aperçut un sexe droit, beau, que l'instinct lui fit mettre en bouche immédiatement.
C'était magnifique, chacun goûtait la nouveauté de l'autre, elle absorbait un objet charnel qui l'enthousiasmait de façon trop déraisonnable sans aucune pudeur, et lui se régalait d'un être si magnifique qui s'offre facilement à sa volonté.
Le plaisir dura longtemps, ils voulaient tout deux que ça dure encore et encore.L'homme finit par éjaculer par trop de plaisir, longuement, dans la bouche de Camille. Surprise mais pas affolée, elle avala avec amour ce qui fût, pour elle. L’instant le plus grand de sa vie. Son début de vie de femme amante. Ils continuèrent à se voir longtemps et lui fît découvrir tout ce qu'un homme et une femme pouvait s'offrir comme bonheur, et plus encore....
Ce ne fût pas long pour que l'étudiant succombe. Le premier jour de femme de Camille, il fût accueillit par une belle en peignoir, maquillé de façon très naturelle mais qui faisait de ses yeux bleus un puit sans fond, le vêtement peu ceinturé, les promesses du repos parfait.
Mais il résista une première fois, prétextant du travail jusqu'au lendemain.
Son travail et donc son besoin d'argent le vit revenir dans cette même chambre le lendemain.
Il n'y échappa pas.
La femme qui désire vraiment, obtiens.
Elle se fît grande, ne se reconnaissant même pas dans la glace, si belle qu'elle serait restée à se contempler pendant des heures, elle était si fière de ce qu'elle pouvait paraître, le sourire perçait ses lèvres. Elle l'attendit 2 heures comme cela, à se regarder belle, et quand il arriva, sans prévenir, elle était toujours là à se regarder. Ce fût une belle surprise pour l'aimé car, nue, au premier coup d'oeil exécuté immédiatement, il fut sous le charme. La valse qu'il s'apprêtait à danser serait un rêve. Il en restera toute sa vie ému que tant de beauté se blottisse entre ses bras. Elle le déshabilla rapidement, sous le feu de la passion et son sexe débordait d'une excitation qu'elle n'avait encore jamais ressentie. Etant plus expérimenté, lui aussi la dévêtit rapidement pour goûter ce sexe qui paraissait trop brûlant pour ne pas y toucher.
Il lui fit d'abord un petit massage de son sexe, la main de la belle, allongée voluptueusement sur le canapé, poignant déjà ses cheveux, pour ensuite découvrir de sa langue, les proportions intimes de sa tendre. Elle, était plus qu'excitée désormais et cherchais à découvrir que lui réservée son plaisir en attente. Elle aperçut un sexe droit, beau, que l'instinct lui fit mettre en bouche immédiatement.
C'était magnifique, chacun goûtait la nouveauté de l'autre, elle absorbait un objet charnel qui l'enthousiasmait de façon trop déraisonnable sans aucune pudeur, et lui se régalait d'un être si magnifique qui s'offre facilement à sa volonté.
Le plaisir dura longtemps, ils voulaient tout deux que ça dure encore et encore.L'homme finit par éjaculer par trop de plaisir, longuement, dans la bouche de Camille. Surprise mais pas affolée, elle avala avec amour ce qui fût, pour elle. L’instant le plus grand de sa vie. Son début de vie de femme amante. Ils continuèrent à se voir longtemps et lui fît découvrir tout ce qu'un homme et une femme pouvait s'offrir comme bonheur, et plus encore....
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