Bords de Loire avec un couple de paysans super chauds
Récit érotique écrit par Bonanza [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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Bords de Loire avec un couple de paysans super chauds
On m'avait proposé un job à Giens. Alors, j'ai pris ma Triumph 900 trois pattes pour aller voir où c'était. Une fois vu le site, une soudaine envie de me masturber m'a pris. J'ai donc cherché un chemin vers les bords de la Loire et j'ai trouvé, avec une petite clairière au bout.
Je me suis mis à poil (c'est quand même mieux d'être à poil pour se masturber, non?) et j'ai planqué mes affaires dans les hautes fougères.
Je me suis rendu sur le chemin qui longeait le fleuve.
Une vieille Jeep arrive. Je suis à poil, qu'importe.
Un homme, une femme.
Le mec s'arrête et me dit "salut, on promène sa queue ?" "Je vais baiser ma grosse, si tu veux "mater". Ca au moins, c'est direct.
La grosse ne dit rien, elle a un décolleté très ouvert, la jambe gauche sur le tableau de bord de la Jeep, la jupe relevée et la jambe droite sur le rebord droit de la Jeep, elle n'a pas de culotte et le montre bien, comme j'aime.
Je les suis à pas rapides, ils vont vers la clairière.
A peine arrivé, je vois : elle a les seins dehors, la jupe relevée sur le dos, les mains sur le capot de la Jeep et lui, entièrement à poil la bourre copieusement par derrière. L'a-t-il mise dans la chatte ou dans le cul, je ne sais.
A peine fini après un râle bruyant, il me dit: "Salut, elle c'est Marie, moi c'est Robert et toi," "Herbert, salut".
"Marie c'est l'éponge à sperme de tous les gars du village, jeunes ou vieux. Elle les a TOUS eus dans la chatte ou dans le cul, elle aime ça".
"Je viens de lui mouiller le cul, tu peux la prendre dans la chatte". Ce que j'ai fait. Elle était bonne.
"Nous c'est la ferme à deux km, tout droit, la ferme à droite".
"On reçoit des amis ce soir, un mec, sa femme et la soeur de sa femme, il baise les deux, je crois". Mais comme il a qu'une queue, il va nous en rester une, non ?"
Bon sens paysan, bon dieu."Tu peux venir à poil, c'est même recommandé".
J'ai rangé mon pantalon, ma chemise, mon slip et mes chaussettes dans mon sac de réservoir. J'ai mis mes bottes, mon casque, mon blouson et mes gants et j'y suis allé à la ferme, la bite à l'air sur ma moto. 2 km, aucun risque !
Ils étaient tous les deux à poil. Marie m'a dit "viens me défoncer la chatte avec une bouteille, j'ai envie de me faire défoncer".
Quand les amis sont arrivés... c'est une autre histoire…
Je me suis mis à poil (c'est quand même mieux d'être à poil pour se masturber, non?) et j'ai planqué mes affaires dans les hautes fougères.
Je me suis rendu sur le chemin qui longeait le fleuve.
Une vieille Jeep arrive. Je suis à poil, qu'importe.
Un homme, une femme.
Le mec s'arrête et me dit "salut, on promène sa queue ?" "Je vais baiser ma grosse, si tu veux "mater". Ca au moins, c'est direct.
La grosse ne dit rien, elle a un décolleté très ouvert, la jambe gauche sur le tableau de bord de la Jeep, la jupe relevée et la jambe droite sur le rebord droit de la Jeep, elle n'a pas de culotte et le montre bien, comme j'aime.
Je les suis à pas rapides, ils vont vers la clairière.
A peine arrivé, je vois : elle a les seins dehors, la jupe relevée sur le dos, les mains sur le capot de la Jeep et lui, entièrement à poil la bourre copieusement par derrière. L'a-t-il mise dans la chatte ou dans le cul, je ne sais.
A peine fini après un râle bruyant, il me dit: "Salut, elle c'est Marie, moi c'est Robert et toi," "Herbert, salut".
"Marie c'est l'éponge à sperme de tous les gars du village, jeunes ou vieux. Elle les a TOUS eus dans la chatte ou dans le cul, elle aime ça".
"Je viens de lui mouiller le cul, tu peux la prendre dans la chatte". Ce que j'ai fait. Elle était bonne.
"Nous c'est la ferme à deux km, tout droit, la ferme à droite".
"On reçoit des amis ce soir, un mec, sa femme et la soeur de sa femme, il baise les deux, je crois". Mais comme il a qu'une queue, il va nous en rester une, non ?"
Bon sens paysan, bon dieu."Tu peux venir à poil, c'est même recommandé".
J'ai rangé mon pantalon, ma chemise, mon slip et mes chaussettes dans mon sac de réservoir. J'ai mis mes bottes, mon casque, mon blouson et mes gants et j'y suis allé à la ferme, la bite à l'air sur ma moto. 2 km, aucun risque !
Ils étaient tous les deux à poil. Marie m'a dit "viens me défoncer la chatte avec une bouteille, j'ai envie de me faire défoncer".
Quand les amis sont arrivés... c'est une autre histoire…
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