Simplement dans un lit - histoire érotique

Il commença par un massage, sûrement pour lui évacuer le stress d’une journée de boulot, d’abord les épaules puis il descendit le long de la colonne vertébrale qu’il massait délicatement. Cet être de beauté qu’il avait entre les mains exprima même un soupir de bien être, elle était là, allongée sur son lit son corps nu exprimait une chaleur qui faisait monter la température de la pièce de plusieurs degrés. Ayant fini, il l’embrassa sur la nuque, elle se retourna et lui transmis un long baiser sur la bouche.
Il mit alors sa main sur son sein qu’il caressa délicatement tandis que son autre main se perdit vers son bas ventre. Lorsqu’il atteint cette partie si intime, elle émit un gémissement de plaisir voyant l’effet qu’il avait créé, il la regarda et commença à descendre la tête, sortant la langue afin de procurer du bonheur et rien que du bonheur à sa partenaire.
Elle n’en pouvait plus, elle paraissait fondre de bonheur, elle pria son compagnon d’arrêter qui malgré lui releva la tête, il décida de remonter tout en lui prodiguant des baiser un peu partout sur son corps. Commença alors une longue série de caresse, d’enlacement, des deux parties qui s’achevèrent par un baiser passionné sur la bouche.
Il la dévisagea d’un regard tendre comme pour la prévenir qu’il était entrain de mettre son sexe dans le sien. D’un mouvement de va-et-vient lent au début puis en accélérant progressivement pour atteindre une vitesse de croisière qui convenait à nos deux partenaires. Cela plut tellement à la femme qu’elle cambra ces hanches et entreprit une ondulation des reins en un mouvement circulaire latéral et vertical qui amplifia aussi ce sentiment de plaisir, ce manège pris fin lorsque l’homme lui replia ses cuisses contre son ventre, la tenant par les genoux, il continua son action de va-et-vient en un rythme régulier mais soutenu pour faire éprouvé plus de sensation encore.
Voyant que sa partenaire voulait changer de position, il libéra les genoux et d’un mouvement lent, ils se retournèrent. Elle ce plaça au dessus de lui, en position agenouillée, le buste complètement redressé, pouvant ainsi contrôlée la profondeur et la cadence de la pénétration, son compagnon n’avait plus qu’à ce laisser faire tout en lui caressant les seins avec passion.
Ce sentant grisée par toute ces émotion, elle bascula en arrière jusqu’au pieds de son conjoint, elle monta et descendait ainsi plusieurs fois de suite quand elle se retrouva de nouveaux en haut, elle bascula ses deux jambes à droite de son bien-aimé et commença à pivoter doucement pour se retrouver en position inversé. Surpris par cette liberté de mouvement qu’il ne soupçonnait pas, notre soupirant ce sentant perdu, se redressa, accompagna le mouvement en la soulevant par les fesses, tout en lui cajolant le sein de sa main droite et en lui prodiguant des baisers sur la nuque et le cou.
Nos deux amoureux étaient sur ce lit, ils ne semblaient pas fatigués, tous ce qu’ils voulaient c’étaient d’avoir du plaisir, peu leurs importaient le temps qui s’écoulait. On aurait dit que le monde s’était arrêté pour eux, ils dégagèrent une aura que rien n’aurait pu perturber, le bonheur que ce couple éprouvait n’avait pas de limite.
Au bon d’un moment, ils basculèrent progressivement en arrière jusqu'à ce qu’ils se retrouvèrent allongé sur le lit. L’homme laissa glissé sa main sur cette union qui leurs donnait tant de plaisir pour en transmettre encore plus à sa compagne. Nos deux amants voulant changer de position, se libérèrent mutuellement, la femme se mis à quatre pas et se fit pénétrer le vagin par derrière par l’homme dressé sur ses genoux. L’excitation et les sensations étaient si intenses qu’on sentait le dénouement proche. Le rythme s’activait de plus en plus, la femme n’en pouvait plus, elle éprouvait tant de joie, tant d’extase, tant de bien-être, qu’elle s’affaissa doucement pour que son compagnon la recouvre intégralement, elle laissa ses jambes ouvertes pour faciliter le travail de son partenaire qui en profita pour donner les dernières accélérations avant de se redresser sur ses avant-bras et exprimé un contentement sans limite. Peu de temps après, ils se séparèrent et s’allongèrent l’un à coté de l’autre, la femme en profita pour l’embrasser comme pour le remercier du moment d’extase qu’il lui avait procurer. Car même les meilleures choses ont une fin, nos deux amants n’en pouvaient plus, ils étaient épuisés leurs corps nus, couvert de sueur, exprimaient une grande fatigue. Ils se blottir l’un contre l’autre, s’embrassant une dernière fois avant de s’endormir profondément, en pensant à la prochaine fois où ils retrouveront dans cette situation, en espérant tout les deux qu’elle soit aussi intense et passionné que le fut cette fois là, si ce n’est beaucoup plus.