Nicolas au musée (2) , le touriste mexicain - histoire érotique

Salut, C’est moi Nicolas, je travaille toujours dans un musée d’Ottawa. Je voyais toujours Carl une fois de temps en temps, mais comme nous n’étions pas en couple, on pouvait aller voir ailleurs sans problèmes.

Je travaillais toujours à la billetterie du musée donc je recevais souvent des touristes étrangers qui étaient souvent très craquants. Et je devais en ne pas en laisser quelques uns indifférents, car je recevais parfois des invitations subtilement pour ne pas choquer j’imagine.

Il y a quelques jours, un groupe de touriste mexicain est venu visiter le musée. Lorsque j’ai donné le billet d’entrée à un des mecs du groupe, il m’a fait un magnifique sourire et m’a dit dans un français très correct :

- Merci mon beau.

J’ai rougit immédiatement. Je n’avais pas l’habitude de recevoir des compliments aussi directement de la part des clients. Et je dois dire qui lui-même ne me laissait pas indifférent. Il était tout à fait mon type : cheveux noirs très foncés mi-longs sous les oreilles, yeux foncés aussi et la peau basanée, environ 6 pieds et un peu musclé et pas une once de graisse sur le corps, du moins ce que je pouvais deviner sous son chandail serré.

Je l’ai vite oublié car nous étions très occupé cette journée là. Dans le milieu de l’après-midi, il est repassé par la billetterie. Comme nous étions maintenant dans un temps mort, il s’est arrêté pour me jaser un peu.

- Salut mon nom c’est Lucio, et toi ?
- Nicolas, enchanté, tu es Mexicain si je ne me trompe pas ?
- Oui c’est exact. Tu as quel âge au fait Nicolas ?
- 22 ans et toi ?
- 19 ans.
- Cool. Dis-moi, où as-tu appris le français ?
- Mes parents sont à l’aise financièrement et lorsque j’étais jeune ils m’ont envoyé dans une école d’enseignement de l’anglais et pour mon cours secondaire j’ai été dans un lycée français de Mexico.
- Wow ! Tu en as de la chance dis donc!
- Oui surtout avec ce que je vois en avant de moi, dit-il en me faisant un clin d’œil.

Encore une fois il me draguait directement. Et ça me plaisait et me donnait envie le salaud!

- Nicolas, tu finis de travailler à quelle heure ce soir ?
- 18h30 pourquoi ?
- Je me disais que si tu n’as pas de plans tu pourrais me faire visiter la ville à ta façon. Notre groupe n’a rien de prévu ce soir.
- Ça me fera plaisir de te servir de guide mon cher. Tu peux venir me rejoindre ici vers 18h30?
- Bien sûr, je n’ai qu’à t’attendre ici et finir la visite du musée, je peux ne pas retourner avec mon groupe si je le désire, à partir d’ici nous sommes libres jusqu’à demain matin 9h00.
- Cool, j’ai très hâte, mais la je dois te laisser, je dois travailler il commence à y avoir un peu plus de visiteurs.
- Pas de problèmes. À ce soir.

Disons que j’ai trouvé que le reste de la journée n’allait pas assez vite…

Finalement à 18h30 je vois Lucio qui m’attend à la porte principale près de la billetterie. Au moment où je sors je le vois qui me sourit et vient me serrer la main. Je lui demande s’il a faim et me répond positivement. Nous nous rendons donc dans un restaurant du Marché By pour déguster un plat de frites et côtés levées (ribs). Pendant le repas il me parle du Mexique du fait qu’il est très privilégié dans ce pays pas si riche que ça. La maison de ses parents est grandes, il va dans les meilleures écoles de Mexico, il a tout ce que l’occidental normal a chez lui, ordinateur, jeux vidéos, cinéma maison, etc.

Après le repas, question de digérer un peu nous prenons une marche le long du magnifique canal Rideau.

- Alors Lucio, si je me fis à ce que tu m’as dit quand je t’ai donné ton billet, tu me trouves mignon?
- Beaucoup, oui, dit-il en rougissant.
- Je dois dire que tu me plais toi aussi, j’adore les mecs aux cheveux noirs et à la peau foncée.

Sur mes paroles il a encore rougis et je le sentais gêné, mais pas mal à l’aise. Selon moi c’est peut-être dû au fait qu’il ne doit pas avoir beaucoup d’expérience avec les gars. Le Mexique est un pays encore macho où les gays ne sont pas toujours bien vus.

- Nicolas, tu me plais beaucoup, mucho, mucho! Et j’ai envie de toi, ça me plairait d’avoir un moment d’intimité avec toi.
- Moi aussi, j’ai très envie de toi.
- Ok, mais on ne peut pas aller à mon hôtel, comme nous sommes un groupe nous n’avons pas de chambres individuelles.
- On peut aller à mon appartement si tu veux, ce n’est qu’à 15 minutes de voiture.
- Cool…

Nous allons donc récupérer ma voiture que j’avais laissée dans un stationnement du Marché By. Quinze minutes plus tard nous franchissons la porte de mon appartement. Je l’amène directement à ma chambre et doucement je le couche sur mon lit et je l’embrasse tendrement. Il se croise les bras derrière la tête et se laisse faire. Je caresse son torse à travers son gilet serré. Il me plaît beaucoup.

Je mourais d’envie de voir son corps. J’ai donc enlevé son chandail et j’ai découvert un corps finement musclé et bronzé et deux mamelons foncés qui me donnaient fortement envient d’y mettre ma bouche. Ce que je fis. Il râlait sous mes caresses buccales, il se tortillait de plaisir.

Il m’a arrêté après quelques minutes et m’a déshabillé et a immédiatement commencé à me sucer. Il jouait avec ma queue de 7 pouces comme un pro. Il avait pas mal plus d’expérience que je le croyais. Je râlais et gémissait de plaisir sous ses coups de langues et sous ses mouvements de lèvres. Sa salive faisait aller ses lèvres rapidement sur ma queue. Je me tortillais de plaisir, je ne voulais pas que ce moment arrête. Mais faut être réaliste. Il a sûrement vu mon état et s,est arrêté.

Il s’est mis au pied de mon lit et m’a fait un langoureux strip-tease, il a commencé par enlever ses bermudas, a continué à remuer son bassin de tous les côtés. Il a ensuite enlevé le seul morceau qui lui restait, son slip serré qui laissé deviner un monstre. Et effectivement, il a dévoilé une queue circoncise de 11 pouces. La matraque, je sens que je vais avoir du plaisir avec ce joujou.

Il est revenu me rejoindre sur le lit et j’ai commencé à lécher ses 11 pouces de bas en haut avec ma langue, j’embrassais le gland, je caressais ses couilles, je les léchais, je caressais aussi son torse. Il appréciait ce que je faisais. J’essayais de mettre entièrement sa queue mais j’avais de la difficulté. Jamais je n’ai eu le bonheur de m’amuser avec un matraque aussi grosse et épaisse.

Cette queue me donnait envie de plus. Je le voulais en moi, je voulais qu’il baise, qu’il me défonce le cul. J’ai donc fouillé dans ma table de nuit, j’ai sorti un condom et la boîte de lubrifiant. J’ai enduit mon cul de lubrifiant et en a mis sur ses doigts et est venu me doigter pour me préparer à son monstre.

Quand il a senti que j’étais prêt, il m’a remis du lubrifiant sur le cul, a enfilé son condom et est venu se positionner à l’entrée de mon cul. Lentement il s’est avancé en moi, je sentais mon cul s’étirer. J’avais mal, mais quand je pensais au bien que je sentirais quand il sera entièrement en moi, je décidai d’endurer. J’ai bien fait car en deux minutes il était complètement au fond de moi. Il m’a laissé un autre deux minutes pour m’habituer à lui.

Il a ensuite commencé un lent mouvement de vas et vient au dessus de moi. Je le voyais par-dessus moi et il vint m’embrasser pendant qu’il commençait à aller un peu plus rapidement en moi. Ma queue était dure je sentais que je pouvais jouir sans me toucher d’un instant à l’autre. Lucio allait maintenant à la vitesse d’un train en moi, je criais de jouissance. Voyant que j’étais au bord de l’orgasme il a pris ma queue de sa main droite et m’a branlé. Avec sa queue au fond de moi et son mouvement rapide de mains sur ma queue, j’ai jouit en moins d’une minute. En me voyant éjaculer sur mon ventre et il a fait de même en moi.

Il s’est effondré sur moi et est venu m’embrasser, et lentement ses 11 pouces sont sortis de mon cul. Nous sommes allés prendre une douche et sous la douche pour me remercier de son hospitalité il m’a taillé une pipe pendant que les jets de la douche me caressaient le corps. J’ai jouit dans sa bouche et il a tout avalé.

Nous nous sommes par la suite rhabillé et je suis allé le reconduire en voiture à son hôtel du centre-ville de Gatineau (face à Ottawa du côté Québécois de la Rivière des Outaouais). Nous avons échangé nos adresses emails pour pouvoir se parler sur MSN. Il m’a fait le bonheur et le fait encore parfois de se faire des sessions de chat et de webcam assez hot. J’ai encore le bonheur parfois de revoir ses 11 pouces.

Cet hiver je dois me rendre à Mexico pour le visiter et nous prévoyons aller à Cancun pour profiter des plages… et de nos corps…