la femme de ménage (suite)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2008 dans la catégorie Plus on est
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la femme de ménage (suite)
J'avais interdit de baiser l'après midi à mon épouse et à Suzanne, je désirais que l'on ne fasse cela que la nuit ou le dimanche, avec nos amis. Je ne sais pour Suzanne, mais ma femme, elle continuait sa vie sexuelle par ses masturbations fréquentes.
Peut-être quelque fois en mon absence, faisait-elle des petits câlins à la femme de ménage.
Les nuits étaient toujours divines nous baisions ensemble tous les trois, surtout les filles entre elles : elles aimaient se baiser comme j'aimais les prendre l'une ou l'autre selon leur position, pendant un 69, je prenais souvent le premier cul qui se présentait : il n'y avait pas de jaloux, l'un ou l'autre était toujours honoré. Presque chaque fois elles m'enculaient avec leur gode.
Le dimanche nos amis venaient l'après midi pour une partie de baise. Ils venaient déjà depuis plusieurs mois et c'est le mari qui sur l'insistance de sa femme que je connu le plaisir d'être enculé par un homme qui jouissait dans mes entrailles. Pendant ce temps je suçais sa femme qui elle-même suçait la mienne. Bref nous échangions nos partenaires sans problème aucun. Sauf que maintenant une tierce personne était là : Suzanne. Elle avait mis ce jour là un tenue de soubrette, mais était nue dessous, ce qui mettait tous ses avantages en valeur. Lorsque la sonnette tintait, elle savait qui venait et allait ouvrir sans pudeur aucune. Mon épouse à son habitude était nue et je ne portais que le minimum : chemise et pantalon. Nos amis quant à eux étaient vêtus : lui comme moi et elle portait un manteau mais était également nue dessous, puisque celui ci n'était pas fermé.
Après avoir pris un café fort, nous avons présenté Suzanne qui fut attiré par le nouvel homme : comme à son habitude elle allait vers lui l'embrassait profondément et lui posait directement la main sur le pantalon pour lui toucher le sexe et le faire bander.
Le résultat fut immédiat et il se mit à la peloter puisqu'elle ne portait pratiquement rien sur elle. Sa femme se tournait vers moi pour que nous puissions baiser ensemble rapidement, ce qu'elle me demandait toujours. Mon épouse ne pus que se branler devant le spectacle. Mais elle ne perdait rien pour attendre : Tout en branlant le mari, Suzanne venait vers elle et la suçait : ma femme aimait ses façon de lui faire l'amour.
Après ce premier épisode assez chaud les trois femmes se mirent à se sucer plusieurs fois elles jouissaient sans cesse. Au bout d'un moment, nous les hommes étions très en forme : nous bandions tout les deux et puis doucement selon son habitude, l'autre homme se mit à me mettre d'abord un doigt puis plusieurs dans mon cul. Je bandais encore plus. Il mouillait sa bite avec de la salive et me la mit lentement dans le cul. Pendant qu'il allait et venait dans mon cul, il me branlait Nous jouissions pratiquement en même temps. Un temps de repos puis nos forces revenaient et nous nous occupions des cons de ces dames
Qui de toute façon se faisaient plein de bonnes choses sans avoir besoin forcement de nous. Mais maintenant elles avaient besoin de bons gros sexes masculin soit dans leur con, soit dans leur cul. Nous avons baisé lui mon épouses et moi la sienne, pendant que Suzanne devait se contenter d'un ersatz de bite. Mais son tour venu, elle ne le regrettait plus. Elles eu droit à une pine au con, celle de notre ami et une bite au cul, la mienne... Le temps passait il fallait nous séparer en attendant le dimanche suivant pour nous aimer encore une fois tous ensemble et surtout moi me faire enculer.
Peut-être quelque fois en mon absence, faisait-elle des petits câlins à la femme de ménage.
Les nuits étaient toujours divines nous baisions ensemble tous les trois, surtout les filles entre elles : elles aimaient se baiser comme j'aimais les prendre l'une ou l'autre selon leur position, pendant un 69, je prenais souvent le premier cul qui se présentait : il n'y avait pas de jaloux, l'un ou l'autre était toujours honoré. Presque chaque fois elles m'enculaient avec leur gode.
Le dimanche nos amis venaient l'après midi pour une partie de baise. Ils venaient déjà depuis plusieurs mois et c'est le mari qui sur l'insistance de sa femme que je connu le plaisir d'être enculé par un homme qui jouissait dans mes entrailles. Pendant ce temps je suçais sa femme qui elle-même suçait la mienne. Bref nous échangions nos partenaires sans problème aucun. Sauf que maintenant une tierce personne était là : Suzanne. Elle avait mis ce jour là un tenue de soubrette, mais était nue dessous, ce qui mettait tous ses avantages en valeur. Lorsque la sonnette tintait, elle savait qui venait et allait ouvrir sans pudeur aucune. Mon épouse à son habitude était nue et je ne portais que le minimum : chemise et pantalon. Nos amis quant à eux étaient vêtus : lui comme moi et elle portait un manteau mais était également nue dessous, puisque celui ci n'était pas fermé.
Après avoir pris un café fort, nous avons présenté Suzanne qui fut attiré par le nouvel homme : comme à son habitude elle allait vers lui l'embrassait profondément et lui posait directement la main sur le pantalon pour lui toucher le sexe et le faire bander.
Le résultat fut immédiat et il se mit à la peloter puisqu'elle ne portait pratiquement rien sur elle. Sa femme se tournait vers moi pour que nous puissions baiser ensemble rapidement, ce qu'elle me demandait toujours. Mon épouse ne pus que se branler devant le spectacle. Mais elle ne perdait rien pour attendre : Tout en branlant le mari, Suzanne venait vers elle et la suçait : ma femme aimait ses façon de lui faire l'amour.
Après ce premier épisode assez chaud les trois femmes se mirent à se sucer plusieurs fois elles jouissaient sans cesse. Au bout d'un moment, nous les hommes étions très en forme : nous bandions tout les deux et puis doucement selon son habitude, l'autre homme se mit à me mettre d'abord un doigt puis plusieurs dans mon cul. Je bandais encore plus. Il mouillait sa bite avec de la salive et me la mit lentement dans le cul. Pendant qu'il allait et venait dans mon cul, il me branlait Nous jouissions pratiquement en même temps. Un temps de repos puis nos forces revenaient et nous nous occupions des cons de ces dames
Qui de toute façon se faisaient plein de bonnes choses sans avoir besoin forcement de nous. Mais maintenant elles avaient besoin de bons gros sexes masculin soit dans leur con, soit dans leur cul. Nous avons baisé lui mon épouses et moi la sienne, pendant que Suzanne devait se contenter d'un ersatz de bite. Mais son tour venu, elle ne le regrettait plus. Elles eu droit à une pine au con, celle de notre ami et une bite au cul, la mienne... Le temps passait il fallait nous séparer en attendant le dimanche suivant pour nous aimer encore une fois tous ensemble et surtout moi me faire enculer.
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