Il me reçu en sarong
Récit érotique écrit par Jackie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Il me reçu en sarong
Je suis conseiller en équipement habitation et j'avais été appelé par un client dans un quartier banlieue. Je suis débutant, 21 ans, plutôt mignon, blond, mince et j'ai la fibre commerciale...
Je sonne et la porte s'ouvre. Un jeune indonésien, vêtu d'un sarong, m'invite avec un grand sourire d'entrer. Il m'explique qu'il veut refaire sa cuisine. Je lui pose de multiples questions, prends x mesures et m'étant accroupi et en me redressant, je vis une grosse bosse qui déformait le sarong de mon hôte. Je fus troublé et il le vit... La bosse, dont je ne pouvais plus détacher le regard, était disproportionnée par rapport au bonhomme. Son regard noir et brillant me fixait. Moi je fixais la bosse...
Me voyant très excité, d'une main il tira sur son vêtement, qui tomba à ses pieds, laissant découvrir un sexe gros, long et circoncis. Le poids de cet appendice le laissait pendre mais la pointe de son gland arrivait entre la naissance de l'aine jusqu'à mi genou.
Je posais mes documents et mon crayon sur la table et me mis à genou face à mon inconnu... J'entrepris de lui donner quelques coups de langue sur le méat avant de gober son énorme gland dans ma bouche. D'une main je maintenais sa tige, pendant que ma bouche s'invectivait à le sucer. Oh qu'elle était bonne cette queue magnifique et que j'aimais son goût ! ! ! Pas un poil, il était lisse, absolument imberbe. Sa peau était parfumée d'un parfum exotique enivrant. Il avait par contre des testicules assez petites que je triturais entre mes doigts pendant la suce. Je ne pouvais pas mettre plus que le gland dans ma bouche mais je me régalais jouant de mes lèvres et de ma langue. Il me parlait dans sa langue et bien sur je n'y comprenais rien...
Il me demanda de me déshabiller et une fois nu, il me caressa, me faisant bander à me faire mal. Il était vraiment doué et mon excitation maximum. Il me lécha l'anus avec délectation, l'enfonça dans mon ventre puis succéda un doigt, puis deux, puis trois. Mon anus s'écarta peu à peu et je commençais à mouiller. Il me fit pencher sur la table de la cuisine, et lentement entreprit de m'enculer. Son gland franchit la première étape et curieusement je n'ai pas eu mal. Il s'enfonça lentement, puis touchant le fond il commença à limer. Pour contrôler la pénétration j'avais pris son mandrin ente deux doigts et je m'aperçus qu'il y avait, même à fond cinq bons centimètres encore dehors. Il me lima, retirant le maximum de longueur puis s'enfonçant à nouveau pour remettre le maximum dans mon ventre. Vu la taille de ce sexe, je n'aurais jamais cru qu'il pouvait mettre tout ça. Au bout de cinq minutes de va et vient, je sentis son membre se raidir encore et je sentis un flot de sperme chaud inonder mon fond. Il s'immobilisa me tirant par les hanches pour tout mettre au fond.
Sa queue se ramollit et lentement, il se retira. J'étais épuisé par cette enculade et restais un moment courbé, appuyé sur la table.
Je finis par me redresser, et me retournant, je vis mon indonésien, tout sourire qui me demandait de m'asseoir sur la table. Ce que je fis. Il se pencha, et me tailla une pipe magistrale... Il grimpa sur moi à califourchon et s'empala sur ma queue hyper tendue. Avec souplesse, son bassin ondulait, et mon sexe encore tout mouillé glissait bien dans son fond assez serré. Je ne tardais pas à laisser éclater ma jouissance lâchant plusieurs saccades de jus dans son ventre.
Après s'être rhabillés, lui son sarong, moi mon slip et mon pantalon, nous nous quittâmes. Je lui promettais de lui envoyer mon devis avec les plans, et je lui demandais si il serait content que je revienne lui faire une visite. Avec beaucoup de politesse, il me dit qu'il en aurait été très heureux mais que ce serait impossible car sa femme arrivait d'Indonésie avec une multitude d'enfants.
Je sonne et la porte s'ouvre. Un jeune indonésien, vêtu d'un sarong, m'invite avec un grand sourire d'entrer. Il m'explique qu'il veut refaire sa cuisine. Je lui pose de multiples questions, prends x mesures et m'étant accroupi et en me redressant, je vis une grosse bosse qui déformait le sarong de mon hôte. Je fus troublé et il le vit... La bosse, dont je ne pouvais plus détacher le regard, était disproportionnée par rapport au bonhomme. Son regard noir et brillant me fixait. Moi je fixais la bosse...
Me voyant très excité, d'une main il tira sur son vêtement, qui tomba à ses pieds, laissant découvrir un sexe gros, long et circoncis. Le poids de cet appendice le laissait pendre mais la pointe de son gland arrivait entre la naissance de l'aine jusqu'à mi genou.
Je posais mes documents et mon crayon sur la table et me mis à genou face à mon inconnu... J'entrepris de lui donner quelques coups de langue sur le méat avant de gober son énorme gland dans ma bouche. D'une main je maintenais sa tige, pendant que ma bouche s'invectivait à le sucer. Oh qu'elle était bonne cette queue magnifique et que j'aimais son goût ! ! ! Pas un poil, il était lisse, absolument imberbe. Sa peau était parfumée d'un parfum exotique enivrant. Il avait par contre des testicules assez petites que je triturais entre mes doigts pendant la suce. Je ne pouvais pas mettre plus que le gland dans ma bouche mais je me régalais jouant de mes lèvres et de ma langue. Il me parlait dans sa langue et bien sur je n'y comprenais rien...
Il me demanda de me déshabiller et une fois nu, il me caressa, me faisant bander à me faire mal. Il était vraiment doué et mon excitation maximum. Il me lécha l'anus avec délectation, l'enfonça dans mon ventre puis succéda un doigt, puis deux, puis trois. Mon anus s'écarta peu à peu et je commençais à mouiller. Il me fit pencher sur la table de la cuisine, et lentement entreprit de m'enculer. Son gland franchit la première étape et curieusement je n'ai pas eu mal. Il s'enfonça lentement, puis touchant le fond il commença à limer. Pour contrôler la pénétration j'avais pris son mandrin ente deux doigts et je m'aperçus qu'il y avait, même à fond cinq bons centimètres encore dehors. Il me lima, retirant le maximum de longueur puis s'enfonçant à nouveau pour remettre le maximum dans mon ventre. Vu la taille de ce sexe, je n'aurais jamais cru qu'il pouvait mettre tout ça. Au bout de cinq minutes de va et vient, je sentis son membre se raidir encore et je sentis un flot de sperme chaud inonder mon fond. Il s'immobilisa me tirant par les hanches pour tout mettre au fond.
Sa queue se ramollit et lentement, il se retira. J'étais épuisé par cette enculade et restais un moment courbé, appuyé sur la table.
Je finis par me redresser, et me retournant, je vis mon indonésien, tout sourire qui me demandait de m'asseoir sur la table. Ce que je fis. Il se pencha, et me tailla une pipe magistrale... Il grimpa sur moi à califourchon et s'empala sur ma queue hyper tendue. Avec souplesse, son bassin ondulait, et mon sexe encore tout mouillé glissait bien dans son fond assez serré. Je ne tardais pas à laisser éclater ma jouissance lâchant plusieurs saccades de jus dans son ventre.
Après s'être rhabillés, lui son sarong, moi mon slip et mon pantalon, nous nous quittâmes. Je lui promettais de lui envoyer mon devis avec les plans, et je lui demandais si il serait content que je revienne lui faire une visite. Avec beaucoup de politesse, il me dit qu'il en aurait été très heureux mais que ce serait impossible car sa femme arrivait d'Indonésie avec une multitude d'enfants.
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