Titre de l'histoire érotique : Vacances hors norme

- Par l'auteur HDS Janine -
Récit érotique écrit par Janine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Vacances hors norme Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Vacances hors norme
Voici comment depuis mon départ à la retraite il y a 3 ans, je m’offre chaque année 2 semaines de luxure.
Cela fait aujourd’hui 14 ans que je suis divorcé, que je vis donc seule, et ne croyez pas que j’en sois malheureuse.
J’ai bien eu quelques histoires sans lendemain ni saveur, mais finalement la solitude me convenait très bien et mon entourage mis un certain temps avant de s’en rendre compte.
Je ne me rappelle même plus le nombre de sorties où l’on voulait impérativement me présenter un homme célibataire.
Pour mon départ en retraite, mes collègues m’ont offert un séjour de 2 semaines au Maroc.
Ce fut la première fois que je pris l’avion et que sortais des frontières de l’Europe.
On était à la fin septembre, mais il faisait encore très chaud.
J’avais pour l’occasion acheter un maillot 2 pièces, cela faisait bien 10 ans que je n’en avais pas porté.
Il faut dire qu’à 59 ans, quand on fait 1m72 pour 84 kilos, on a plus vraiment le physique à en porter et quand on l’achète sans l’essayer, on s’expose à des surprises.
Effectivement, j’avais surement vu un peu court sur la taille, bilan, un slip qui vous rentre dans les fesses et un soutien gorge qui vous oppresse et qui ne cache au plus que les tétons.
A la piscine de l’hôtel je me sentais ridicule et c’est pour cela que je préférais la plage à l’écart des autres où je pouvais me débarrasser de ce foutu haut.
Je n’avais encore jamais osé bronzer ainsi en public et si je n’étais pas très à l’aise au début, au fil des heures je trouvais très agréable le regard des hommes qui se détournaient sur moi en passant.
Il faut toutefois rajouter que j’étais tellement éloigné, qu’il n’y avait que moi à regarder.
En fin d’après midi, un vendeur de plage à fait l’écart jusqu’à moi et pendant prés de 20 minutes il a tenté de me vendre une djellaba, or n’ayant pas le moindre argent sur moi et le trouvant tellement mignon, je lui proposais de revenir le lendemain pour que je la prenne.
J’avais tellement apprécié de bronzer ainsi, qu’à la boutique de l’hôtel, je m’étais offerte un minuscule maillot string qui m’obligeât à me raser le pubis tellement il dépassait du tissu.
Le lendemain en tout début d’après midi, je vis le retour de mon jeune vendeur, tout heureux de me retrouver là.
Il me fit essayer le vêtement et alors qu’il était en train de me l’ajuster, je senti une bosse bien dur contre mes reins.
J’étais partagé entre deux sentiments contradictoires, la fierté de faire bander ce gamin à mon âge et la peur de me retrouver seule avec lui.
La peur s’estompa, quand il s’excusa en tentant de cacher son érection, il parlait assez mal le français et moi j’étais honnêtement très surprise de le mettre dans cet état.
J’ai poussé le crime en passant ma main contre son sexe, j’avais envie de le voir mais je ne savais pas trop comment le lui demander.
Et puis, j’étais en vacances, personne ne me connaissait, pourquoi pas après tout.
Je lui ai directement demandé de me la montrer et sans la moindre fioriture je me la suis mise en bouche.
Cela me semblait une éternité que je n’avais pas sucé une jeune queue bien dure et je faisais tout pour faire durer le plaisir en lui enserrant bien fort la base du sexe.
Quand j’ai relâché la pression, il m’a inondé la gorge de son sperme tout chaud dont je n’ai pas laissé échapper la moindre goutte.
J’aurais voulu pousser plus loin ce rapport, mais aucun de nous n’avait de préservatif et c’est avec d’énormes regrets que je lui demandais de partir.
Alors qu’il s’éloignait, je le rappeler pour lui demander s’il voulait revenir le soir avec des capotes.
Quel bonheur, il était d’accord et le rendez fut pris pour 23 heures au même endroit.
Le soir je devais être sur la plage, avec une bonne demi heure d’avance, il faisait nuit noire rendant la situation plus excitante.
On aurait cru une pucelle à son premier rendez vous, pleine d’envie et d’appréhension.
Je n’avais rien mis sous la djellaba, mais personne n’aurait pu le remarquer, ce qui est très agréable avec ce type de vêtement.
Il est arrivé peu de temps après moi et je ne l’ai reconnu qu’au son de sa voix, car il faisait trop sombre pour pouvoir distinguer clairement son physique.
Il arborait fièrement à la main une boîte de capotes et moi j’envoyais rapidement le seul vêtement que je portais loin de moi.
Cette obscurité finalement me rassurait et m’excitait vraiment, quand il m’a embrassé à pleine bouche en me tenant les fesses à pleine main, je me sentais avec quarante ans de moins.
Qu’est ce que c’était bon, je l’ai allongé sur le sable, lui ai retiré son short, avant de lui enfiler son capuchon pour le chevaucher comme une furie.
Il était dur comme le bois et ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu un beau corps ferme comme ça contre moi.
Il a éjaculé assez vite car je l’ai senti se raidir, mais il n’a pas débandé, me permettant d’atteindre aussi l’orgasme quelques minutes après lui.
Alors que d’ordinaire les hommes que j’avais connus jusqu’alors se seraient autorisés une pause, lui me bascula sur le dos pour me ravager l’entrecuisse, me soulevant puissamment les reins pour me pilonner profondément.
Quand il s’est enfin immobilisé pour prendre son plaisir, je devais au moins en être à mon troisième orgasme.
Je ne savais pas s’il était encore capable de m’en donner, je me suis alors mise à quatre pattes afin de lui faire comprendre que j’aimerai qu’il recommence.
Il a rapidement comprit, mais son interprétation de la position fût un peu différente de celle auquel je pensais, et je le réalisais très vite quand j’ai senti sa langue investir mon anus.
Ca faisait plus de 20 ans que l’on été pas venu me visiter la porte arrière et les premières douleurs de l’assaut confirmèrent bien la longue absence de la pratique.
Est-ce la particularité de la situation ou un certain talent de mon amant, encore est t-il que le plaisir pris rapidement le pas sur les premiers désagréments.
J’entendais son bas ventre claquer contre mes fesses et je sentais ce membre qui coulissait avec arrogance dans mon fondement, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais.
J’appréciais moyennement cette pratique par le passé, mais là j’ai connu mon premier orgasme anal.
C’est moins violent qu’un orgasme vaginal, mais ça dure beaucoup plus longtemps, avec l’anus qui se contracte plusieurs minutes sur le sexe qui est en vous et encore sur lui-même quand il est sorti.
Je suis resté couché un long moment nue sur le sable avant d’aller me rincer dans l’eau de mer, dont la fraîcheur me ramena à la réalité.
Mon amant avait disparu dans la nuit et je me retrouvé seule pour rentrer à l’hôtel quelque peu perturbé.
Je venais de me faire sauter par un gamin en pleine nature et j’avais adoré ça.
Le lendemain, je suis retourné sur la plage où je n’ai pas revu mon petit vendeur, par contre un autre jeune en short et torse nu s’est approché de moi en me montrant clairement une boîte de préservatif.
Je réalisais que mon petit vendeur avait surement renseigné son ami sur l’aubaine qu’il avait eu la veille.
Je ne savais pas trop quoi faire et pour me trouver le temps de la réflexion, je lui fixais rendez vous le soir, me disant en moi-même que si je ne voulais pas, il me suffisait de ne pas venir.
L’effet fût inverse, je regrettais de ne pas avoir accepté aussitôt ses avances et c’était moi qui se retrouvais dans la crainte de ne pas le voir venir.
Contrairement à la nuit précédente je m’étais déjà déshabillé avant son arrivé, je me suis allongé et j’ai fermé les yeux.
J’ai toutefois sursauté quand une main s’est posé sur mon sein, je le l’avais pas entendu arriver.
C’était bien le jeune de l’après midi qui lui aussi était nu et déjà prés à entrer en action.
Il m’a longuement caressé les seins avant de faire coulisser son sexe entre mes 2 globes, amenant son gland juste sous mon menton.
Je l’ai laissé faire moment avant de me saisir de sa jeune tige pour l’amener à mes lèvres est rapidement l’engloutir.
Je n’ai pas étais suffisamment attentive et il s’est répandu très vite dans ma bouche.
Il bandait toujours, mais avant de me pénétrer comme je l’espérais, il a commencé à faire rouler mon clitoris entre ses doigts puis il l’abandonna juste au moment ou j’allais jouir.
Il recommença cela plusieurs fois et ça me rendait folle, il m’a enfin laissé jouir avec sa langue.
J’avais le vagin qui se contractait, il fallait qu’il me pénètre.
Il le fit, mais seulement avec 2 doigts qu’il faisait glisser l’un contre l’autre.
Comment arrivait t-il à garder son contrôle, moi je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne en moi.
Il le fit enfin sans prévenir, m’introduisant toute la longueur de son sexe d’un seul coup et j’ai joui au premier va et vient, mais lui a continué ses lentes pénétrations profondes pendant plusieurs minutes avant de se raidir enfin.
En 2 jours, j’avais davantage joui qu’en 10 ans.
Mais ce n’en était pas fini, lui aussi en voulais à mon cul et je ne pouvais honnêtement pas le lui refuser après le pied qu’il m’avait donné.
Lui avait un réel talent de préparation, la langue, le doigt tout en massant le clitoris et hop, comme dans du beurre, pas la moindre douleur, mais pas non plus l’orgasme anal de la veille.
Malgré leurs manières différentes de me prendre, mes 2 amants de passage m’ont bien fait grimper aux rideaux.
Mais c’est 2 soirées ne furent ce que j’appellerai des préliminaires ou tout du moins les prémices de rapports comme qui dirait plus étoffés.
Effectivement, le troisième jours le scénario se reproduisit avec comme modeste différence la présence de 3 hommes au rendez vous.
Comme je me trouvais déjà toute nue à leur arrivé, je n’eu d’autre solution que d’accepter la situation, qui pour une première fût une expérience éprouvante certes mais au combien délicieuse.
J’ai découvert ainsi la double pénétration et surtout l’immense plaisir de satisfaire plusieurs hommes en même temps et d’en retirer une satisfaction et de multiples jouissances.
On tire souvent beaucoup de plaisir à se sentir désiré par plusieurs soupirants, mais c’est encore plus extrême quand il s’agit de les voir s’activer pour jouir et vous faire jouir.
Je ne pense pas que ce soit quelque chose de naturel, car rentré en France, l’idée ne m’a même pas traversé l’esprit, mais là, pendant ces vacances c’était devenu une drogue dont je voulais apprécier la saveur jusqu’à la fin de mon séjour.
Jusqu’à la fin de ma première semaine de vacances, on répéta le même scénario à quatre de nuit sur la plage et hormis peut être le coté irritant du sable qui se collait aux préservatifs quand ils intervertissaient les positions, cela me convenait parfaitement.
J’y avais même aux 2 dernières séances, ajouté le port d’un bandeau sur les yeux pour essayer de deviner celui qui se trouvait dans chaque orifice, ce qui me donnait des sensations encore plus enivrantes, surtout à la deuxième où je les ai attendu nue, les yeux bandés et à 4 pattes sur le sable.
Le frisson de ne pas les voir a décuplé le plaisir, mais ce fût aux dépens d’une autre surprise.
Effectivement, le jour suivant je recommençais la même fantaisie, mais à la différence de la fois précédente, j’avais énormément de mal à reconnaître mes partenaires et quand au bout d’un certain temps, je ne les sentais toujours pas faiblir, je me suis mise à douter sur l’identité de mes amants.
Je décidais alors d’ôter le bandeau et quelle ne fût pas ma surprise de voir 2 personnes de plus autour de moi.
Je ne savais pas trop comment réagir dans la position que j’occupais, j’avais comme qui dirait deux sexe dans la prise et je me voyais mal jouer les offusqués.
Un de ceux que je connaissais me demanda s’ils avaient fait quelque chose de mal et pour toute réponse, j’ai fait l’autruche en me remettant le bandeau.
Et la séance est repartie de plus belle, m’excitant bizarrement encore plus, servant simplement de mes mains pour garder le contact avec les 5 queues présentes.
A la fin, alors qu’ils commençaient à baisser pavillon, j’ai voulu les sucer chacun leur tour, mais aucun d’entre eux ne fût capable de jouir une nouvelle fois dans ma bouche.
Contrairement aux autres fois, au lieu de partir juste après, j’ai discuté avec eux ou plutôt surtout avec l’un d’entre eux qui parlait assez bien le français.
On discutât de la date de mon départ, de mon avis sur leurs performances et cela très naturellement.
En d’autre temps, j’aurais trouvé la discutions scabreuse, mais là je ne me sentais pas gêné le moins du monde.
L’un d’eux me prit même au dépourvu en me demandant si je souhaitais quelque chose de particulier ou différent de ce qu’ils m’avaient fait.
Ne sachant quoi leur répondre, je leur retournais la question et l’un d’eux proposât de m’emmener faire ça dans le désert.
J’ai tout de suite eu e tête une image de la scène, perdue au milieu de nulle part.
Sans prendre vraiment le temps de réfléchir, j’acceptais la proposition et ils me demandèrent juste si ils pouvaient amener quelques amis.
Cela par contre m’effraya un petit peu, mais mon désir prit le pas sur ma raison et finalement à défaut d’accepter, je n’émis aucun refus.
Le rendez vous fût prit pour le surlendemain, ce qui me laissa largement le temps de cogiter et finalement de me réjouir de la proposition.
Deux d’entre eux sont venus me chercher dans une espèce de voiture qui en France n’aurait eu aucune chance de passer le contrôle technique et l’on a roulé pendant plus de 2 heures.
Dans ma tête, j’avais imaginé des dunes de sable, mais là le paysage était plus montagneux et caillouteux.
Quand enfin, ils ce sont arrêtés, il y avait une autre voiture avec 4 personnes à bord.
Je me suis dit 6 au lieu de 5, ils ont été raisonnables.
Ils ont étendus 2 grandes toiles sur le sol et m’ont demandé de laisser mes vêtements dans la voiture.
C’était la première fois que je me présentais à eux en plein jour, mais je ne ressenti aucun jugement dans leurs regards sur mon physique.
Le seul préliminaire auquel j’eu droit, fût une palpation en règle de mon corps, mais surtout de mes fesses et mes seins, et une attention particulière de m’embrasser tous à pleine bouche.
J’ai eu toutefois une énorme angoisse car je n’avais vu dans un premier temps aucun d’eux avec un préservatif.
Je les ai tous sucé les uns après les autres, mais avec un gros nœud à l’estomac et ce n’est qu’après que l’un d’entre eux ramena les capuchons tant espérés que là, je me suis vraiment lâché.
Je me suis totalement abandonné à leur désir et au mien, laissant derrière moi toute convenance.
Même si cela peut paraître extrême, j’avais des envies de viol et si au début ils étaient encore relativement prévenant, ils ont vite vu que j’attendais quelque chose de plus viril et ne sont pas privés pour me donner satisfaction, me pénétrant brutalement les 3 orifices, me maintenant fermement la tête, se servant de ma bouche comme d’un véritable sexe.
Ils me martyrisaient les tétons en les pinçant et les étirant et malgré la douleur j’en ressentais des décharges électriques pas désagréable du tout.
La cerise sur le gâteau fût toutefois au d’une bonne heure de ce traitement l’arrivé d’une autre voiture avec 4 nouveaux passagers.
Là, j’ai complètement perdu pied, ils auraient pu me faire tous ce qu’ils voulaient, je n’étais plus en état d’opposer la moindre résistance à quoi que ce soit.
A la fin je ne réagissais même plus, je ne ressentais d’ailleurs plus rien non plus, j’étais dans un état second avec le corps et la cervelle qui avaient disjonctés.
Ils m’aidèrent à remonter en voiture pour me ramener apparemment satisfait de m’avoir épuisé ainsi et me redéposèrent à l’hôtel où je dus faire une sacré impression.
Le lendemain, j’avais bien quelques petits hématomes, mais le plus douloureux fût surtout les coups de soleil et en particulier un gros sur les fesses et sur l’arrière des cuisses.
Je suis resté 2 jours à l’ombre et à la biafine avant de ressortir.
Il ne me restait plus qu’une nuit a passé avant de repartir et aussi bête que cela puisse paraître, je voulais recommencer une dernière fois.
Je me suis rendu sur la plage en fin d’après midi et une bonne heure après je vis l’un de mes amants de vacances qui vint prendre de mes nouvelles et m’avouais que c’était la première fois qu’il voyait une femme comme moi.
Je voulais me défendre, lui dire que c’était bien la première fois que je me comporté de la sorte, mais il avait l’air tellement impressionné que je n’en fis rien.
Au contraire, je lui demandais si tous ses amis voulaient venir me retrouver le soir pour recommencer.
Faire une telle proposition, c’était reconnaître que j’avais vraiment aimé ça, ce qui était vrai après tout, mais c’était aussi la porte ouverte à tout et intérieurement, c’était ce qui m’excitait le plus, je voulais un bouquet final.
Quand je me suis rendu au lieu de rencontre convenu, j’étais dans un état ambigu, un curieux mélange de désir et d’appréhension, 2 sentiments qui s’auto amplifié entre eux.
Ils étaient 3 sur la plage à m’attendre, mais ils étaient là pour m’emmener ailleurs.
Je les ai suivi docilement jusqu’à une espèce de cabane en bois à plus de 500 mètres à l’intérieur des terres.
Là une petite dizaine de personnes nous attendaient, on me déshabilla avant de me faire entrer et on me prévint que l’on profiterait de moi jusqu’au levé du jour.
L’intérieur de la pièce était spartiate et il était difficile de faire rentrer plus de 3 personnes à fois.
Ils ont commencé ainsi à me prendre ainsi 3 par 3 et je trouvais cela jouissif pendant une petite heure, mais alors que je ressentais un orgasme plus puissant que les autres, je pris la décision complètement folle de sortir pour en avoir encore plus.
Et là je suis resté bouche bée, il devait y avoir un groupe d’au moins 20 personnes.
J’ai fait soudain un pas en arrière, pour retourner à l’intérieur, mais c’était plus fort que moi, il a fallu que je ressorte.
Je me vois encore avancer vers eux sans baisser les yeux, aussi provocante que j’aurais pu l’être.
Ils se sont alors approché de moi dans une certaine bousculade où j’ai cru mourir étouffé.
Cette sensation de foule au milieu de vous est impressionnante, bien qu’elle fût de courte durée car à tous vouloir m’approcher en même, finalement aucun ne pouvais entreprendre quoi que ce soit.
Ils ont enfin réussi à se coordonner pour m’investir les orifices.
Encore une fois le plaisir fût très intense mais finalement de courte durée car mon corps se retrouva vite anesthésié et je crois que c’est pour cette raison qu’ils ont réussi à m’investir la chatte et l’anus à 2 en même temps.
Je suis incapable de dire si c’est plaisant ou pas, car je n’ai rien ressenti ni en bien, ni en mal.
J’avais des nausées tellement j’avais avalé de sperme et je crois que j’ai même du m’évanouir car à un moment alors que j’avais l’impression d’avoir fermé les yeux quelques instants, je les ai ré ouvert pour m’apercevoir qu’ils n’étaient plus que 4 et qu’il faisait jour.
Aujourd’hui je sais qu’il y a des limites que l’on ne peut pas dépasser, car je suis rentré dans un état physique déplorable.
J’ai dormi 14 heures de rang, j’ai ressenti des courbatures pendant plus d’une semaine et j’ai l’anus et le sexe irrités pendant plusieurs jours aussi.
De retour en France, il m’a fallu plusieurs semaines pour accepter seulement l’idée de ce que j’avais fait, et encore plusieurs autres pour déculpabiliser.
Enfin, l’esprit fait automatiquement le tri pour ne se souvenir que du meilleur et quelques mois plus tard, je me suis mise de nouveau d’abord à fantasmer, puis enfin ne penser qu’à recommencer.
Vous me prendrez peut être pour une vieille folle, mais cette année, ce sera la quatrième fois que je recommencerais avec comme différence fondamentale, le fait que depuis, je réside là bas chez l’habitant, et que cette année j’hésite encore à y rester un mois entier.
J’assume aujourd’hui pleinement cette folie et tant que mon physique et ma santé me le permettront, je continuerai, car j’y ai trouvé un équilibre et que le restant de l’année je n’ai aucun rapport sexuel.

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