Titre de l'histoire érotique : leslie, transexuelle chapitre 21

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : leslie, transexuelle chapitre 21 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : leslie, transexuelle chapitre 21
CHAPITRE 21 – De bons souvenirs.

Roxanne, une rencontre imprévue.
Vendredi, fin de semaine et par cette belle journée ensoleillée je suis partie me baladée en ville, histoire de me changée les idées avant de rentrer, je n’ai rien de prévu ce week-end sinon que de profiter au mieux de mon temps.
Avant de quitter le travail, j’ai changée quelque peu mon apparence, une retouche de maquillage et j’ai enlevée ma culotte, ainsi habillée d’une robe ample sans rien dessous je profite de cette fin de journée printanière, je suis excitée me sachant nue sous ma robe tandis que je croise les badauds, ah s’ils savaient que mes désirs sont là présents au creux de mon ventre, je me sens prête à faire les folies que mon corps réclame.

La nuit commence à tomber et je me dis qu’il est temps de rentrée, c’est à cet instant que je tombe nez à nez avec Roxanne, une ancienne connaissance lesbienne avec qui j’ai vécue une belle aventure.
- Oh, Leslie, cela fait si longtemps, me dit-elle.
- Roxanne, comment vas-tu.
- Bien, bien mais que fais-tu ?
- Rien, vois tu, je me ballade tranquillement.
- Tu sais, me dit-elle, je ne t’ai pas oubliée et les instants passés avec toi son de merveilleux souvenirs.

Elle prend ma main et me tire contre elle, plaquant mon corps contre le sien, puis posant ses lèvres sur les miennes, je sens sa main se poser sur mon sexe et l’enserrer au travers de ma robe.
Si tu n’as rien à faire, Leslie, viens chez moi.
Roxanne m’entraine et je me laisse aller, en direction de chez elle, main dans la main, nous parlons comme deux vielles amies, elle habite non loin de là, dans un appartement au dernier étage d'un vieil immeuble.
Nous grimpons les étages et la suivant j'en profite pour regarder son joli petit cul.
Arriver devant sa porte, elle ouvre et me dit :
- Allez entres.
Je la suis dans son appartement et elle me fait asseoir dans son salon.
- Tu veux boire quelque chose.
- Oui s'il te plaît, un whisky, tu habites seule.
- Oui, dit-elle en s'asseyant à côté de moi.
- Et tu ramènes souvent tes conquêtes féminines ici.
- Le whisky me donne un peu chaud et Roxanne s’en aperçoit et me dit :
- Viens, suis-moi.
Elle se lève et je la suis jusqu'à sa chambre, dont les murs sont tapissés de miroirs qui nous renvoient nos images.
- Tu vois, me dit-elle, ainsi je ne perds rien des ébats que j’ai avec des filles dans ma chambre.
Puis, elle se plante face à moi et se déshabille, me demandant de me déshabiller aussi, nous sommes toutes les deux nues quand elle me prend par la main et me tire jusqu'au lit.
Roxanne s'allonge sur le lit et écarte les jambes, et me dit :
- Viens, prends-moi.
Je me place sur elle entre ses cuisses et pointe mon sexe à l’entrée de son vagin, Roxanne frémit, et d’un coup de rein je la pénètre jusqu'à la garde et je lui fais l’amour, elle serre ses jambes autour de ma taille, la faisant s’ouvrir encore plus à mes assauts, en imprimant des pressions dans le dos avec ses jambes pour que je rentre à chaque fois bien au fond.
Je sens le plaisir monter en moi et, aux soupirs qu'elle pousse elle ne doit pas être très loin de jouir.
Au bout d'un moment, je me retire et lui demande de se retourner, s'accroupit et me présente son cul, elle cambre son dos et me regarde faire au travers des miroirs de la chambre alors que je lui pénètre la chatte complètement.
Longtemps je l’ai ainsi possédée, jusqu’au moment ou criant sa jouissance je me répands en elle en g gémissant de plaisir.

Quelques instants après avoir jouis, je m'allonge sur le dos à côté d'elle, elle pose sa tête sur mon ventre et me dit :
- C'était très bon, j'ai adorée.
Tout en parlant, elle caresse ma queue qui retrouve, sous la caresse, de la vigueur, elle descend la tête vers mon pubis et me prend dans sa bouche, peu de temps après sentant mon sexe en érection elle me dit :
- Tu en as encore envie.
- Avec toi, j’ai toujours envie, lui dis-je.
- Alors ne perdons pas de temps.
Elle ouvre le tiroir du chevet et sort un gode et un tube de lubrifiant, puis se met à quatre pattes devant moi et me tend le tube et le gode.
- Vas-y, n'hésites pas à lubrifier, me dit-elle, avant de me mettre le gode dans le cul.
- Tu veux te faire sodomiser.
- Oui, la dernière fois j’ai adorée et ton sexe me remplit tellement bien, mais prépares moi avec le gode avant.
Comme quoi il faut bien un début à tout.
Je mets du gel sur mon index et l'étale sur son petit orifice et petit à petit, je rentre le doigt dans son anus, apparemment c’est ce qu’elle attend et éprouve du plaisir, je prends alors le gode et excite son clito avec, sa réaction est immédiate et elle soupire aussitôt de plaisir, Roxanne est complètement mouillée, et le gode rentre tout seul au fond de son vagin, tandis que son cul s’ouvre sous mon doigt.
Après l’avoir bien préparée sous ses râles incessants je sens que son anus est prêt.
Elle me tourne le dos toujours à quatre-pattes, le cul bien relevé, elle écarte les cuisses pour me faire la place et je m’installe derrière elle et place mon sexe à l'entrée de son cul
Mon gland appuyé sur son anus je la laisse ainsi sans la pénétrer, attendant qu’elle réclame cette sodomie qu’elle désire, au moment de ma pénétration, elle pousse un soupir où se mêlaient plaisir, douleur et surprise, mais il en faut plus que cela pour dissuader Roxanne.
- Vas-y, encules ma chérie.
- Tu n'as pas mal.
- Une fois que tu seras en moi cela va aller, me dit-elle, c'est normal que j'aie un peu mal au début tant que ce n'est pas assez dilaté et puis ton sexe est vraiment gros par rapport au gode.
Je la prends fermement par les hanches et commence mes pénétrations, je sens mon sexe rentrer plus profondément en elle, les muscles de sont cul se contractent autour de ma queue, Roxanne est serrée et, à l'entendre gémir, elle semble se régaler de cette sodomie.
- Alors, ça te plaît.
- Oh oui. C'est trop bon de me faire prendre en levrette.
Pendant que je l'encule elle se masturbe le clitoris augmentant ainsi ses sensations et se met rapidement à gémir de plus en plus fort, au moment de jouir elle cria sa jouissance de tout son corps, faisant resserrer son anus autour de mon sexe, me faisant éjaculer au fond de son ventre, dans un grand râle de plaisir.
Elle garde le trou ouvert indécent, lorsque je retire ma bite de son cul, se retourne et se m’enlace, nous nous allongeons et nous nous endormons ainsi enlacées.

Je viens de me réveillée et Roxanne n’est plus dans le lit, après un séjour dans la salle de bain revient dans la chambre, elle est nue et s’approche du lit, elle est harnachée d’un double-gode ceinture, très réaliste et elle a introduit une des extrémités du double-gode ceinture dans sa chatte, l’autre est dressée prête pour le combat, je sens que Roxanne n’un qu’un désir à ce moment, me sodomiser et chaque assaut de son bassin entre mes reins va se répercuter dans son vagin.
Elle s'approche et mon visage se retrouve à quelques centimètres du gode, elle se positionne en 69 en poussant le gode entre mes lèvres et elle enfourne mon sexe dans sa bouche, sans plus de préliminaires et tout en me suçant elle explore mon anus d’un doigt, celui ci s'ouvre sans difficulté.
Elle m'abandonne pour se positionner à genoux entre mes jambes après m’avoir mise sur le ventre.
Elle prend le gode dans sa main et l'approche de mon anus, puis le pose sur la corolle de mon cul et appuie doucement, je sens mon œillet qui cède sous la poussée de Roxanne et l'engin pénètre de quelques millimètres.
Elle attend un instant, puis pousse tandis que je me cambre pour mieux m'offrir, jusqu’à me pénétrer complètement, et s’arrête à nouveau pour me laisser m'habituer à la présence du gode dans mon cul
Puis entame alors de lents mouvements des hanches, je gémis doucement tandis qu'elle me chevauche et donne le rythme, pendant que Roxanne continue inlassablement ses mouvements de va-et-vient dans mon anus, je sens qu’il s'ouvre de plus en plus facilement.
Je me sens écartelée par la puissance de ses pénétrations, je glisse une main sous mon ventre et entreprends de me caresser la queue qui est en érection, puis sens le plaisir qui monte dans mon sexe, je me cambre pour lui permettre de me pénétrer encore plus profondément, et elle augmente la vitesse de ses pénétrations et mon sexe se déverse entre mes doigts crispés sur les draps du lit.
Elle continue et me malmène les fesses, elle me possède profondément jusqu’au moment ou elle jouie bruyamment, les ongles plantés dans mes hanches.
Nous restons alors étrangement enlacées, le double gode toujours fiché en nous.
Nous roulons sur le côté, le double-gode toujours fiché en nous, puis nous nous rendormons.
Roxanne est partie en fin de matinée, et j’ai le vide au fond du ventre.

L’olisbos d’ivoire.
Je dois vous avouer que j’ai toujours fantasmée de posséder un bel objet pour mes petites besoins personnels, et bien que possède maintenant un certains nombre d’objets pour mes petits plaisirs solitaires ou en couple, avec mes amants ou mes amantes, tel que des plugs ou des godes de différentes tailles et de différentes formes, je désire depuis longtemps avoir un olisbos, non précieux pour désigner un gode, mais celui que je désire, je le veux en ivoire, un objet qui dans mon sac à main, sera mon compagnon de solitude.

Un jour faisant du lèche-vitrine je me retrouve plantée devant une boutique pleine d'objets aussi insolites qu’hétéroclites, une sorte de boutique d’antiquités du plaisir et du sexe, la vitrine joliment décorée d’estampes libertines et de petites statuettes et de vieux bouquins érotiques, me donne l’envie de rentrer à l’intérieur, me disant que peut-être je vais trouver l’objet de ma recherche insolite.

A l’intérieur, la boutique est remplie d’objets, fait soit pour le plaisir des yeux ou pour le plaisir plus physique, la vitrine est sage par rapport à ce que je vois dans la boutique.
Il y règne une atmosphère spéciale, très feutrée comme dans un boudoir où les amants et amantes se rendent pour échanger des caresses ou faire l’amour, étrange endroit, mais si attirant par le choix des objets que je vois en ce moment.
Je commence donc ma recherche et me laisse guider par mon instinct, je passe devant les estampes et les tableaux représentant des personnages accouplés dans des plaisirs saphiques ou des deux sexes, puis devant des godemichés qui en leur temps ont certainement servis aux plaisirs de femmes et d’hommes en quête à un certain plaisir.
Ce n’est qu’au fond de la boutique, dans une vitrine fermée, que je tombe devant un bel olisbos, qui à première vue est en ivoire, il est lisse et de belle taille, la couleur rouge pourpre de son écrin fait ressortir la couleur blanc cassé de l’ivoire.

Sortie de l'arrière-boutique, je vois venir vers moi une jeune femme brune d'environ 25 ans, un chemisier blanc faisait ressortir son teint halé et ses jolis yeux verts, un petit pantalon à pinces moule ses hanches étroites, sur son corsage unes petite étiquette est accrochée avec son prénom : « Lise ».
- Que puis-je pour vous ?, me demande t’elle.
- Heu, dis-je en montrant l’olisbos, je suis intéressée par cet objet.
- Vous voulez le voir de plus prêt ?
- Oui, certainement.
Elle me regarde et semble intéressée par mon futur achat.
- Un bel objet en effet que vous désirez acquérir, me dit-elle, certainement de facture japonaise, c’est pour votre usage personnel ?
Mes joues sont en feu suite à la question de cette vendeuse curieuse.
- Non pas que pour moi si occasion se présente, lui dis-je.
C’est à son tour de piquer son fard, elle va vers la caisse et prend une clé, puis revient et ouvre la vitrine, elle plonge alors les mains pour se saisir du coffret et le dépose sur la vitrine après avoir refermée celle-ci.

Elle prend alors en main l’objet et me le présente. Dans sa petite main aux doigts très fins et aux ongles vernis de rouge, ce joli sexe factice, de 6 cm de diamètre environ et d’au moins 25 cm de long, semble énorme.
Me fixant elle effleure l’olisbos du bout de ses doigts pour en appréhender la douceur.
- Très doux et très réaliste, dit-elle, en me montrant le détail du gland, dont le sculpteur a même reproduit le méat.
- De très belle facture, je lui réponds avec un sourire.
Effectivement, me dit-elle, un bel objet par rapport à ce que l'on produit aujourd'hui, pas sophistiqué mais certainement très efficace et agréable avec un bon maniement.
Elle soulève alors le fond du coffret et en sort des sangles, et me montre les fentes faites à la base de l'olisbos pour permettre le passage de ces courroies, en me disant :
- Complément indispensable pour les jeux saphiques, ou d’autres qui sait, mais certainement qu’harnachée avec un si bel engin il faut s’aider d'une main pour de merveilleuses pénétrations.
Je la regarde étonnée par tant de naturel de sa part et pour toute réponse elle affiche un large sourire complice, en rajoutant :
D’autant que le poids de l’objet n’est pas négligeable et que ses dimensions sont hors de la moyenne, à mon avis cet objet à certainement tourné la tête à plus d’une femme.
A cet instant, les propos que tient la vendeuse et de la situation dans laquelle nous sommes, amène en moi une grande excitation, et je sens monter en moi le désir, profitant de mon trouble Lise fait glisser ses doigts tout le long du sexe d’ivoire, dans un geste érotique et suggestif.
Elle me regarde avec insistance, observant ma réaction à chacun de ses propos et me demande :
- Qu’en pensez-vous ?
- Je ne peux encore me prononcer, lui dis-je, mais je vous promets de revenir vous en parler dès que possible.
- Sautant sur l’occasion ses yeux dans les miens, elle rétorque :
- Essayons-le dès ce soir sans plus attendre.
Cette petite m’épate, elle vient ouvertement de me proposer une partie fine avec elle, et je ne sais quoi répondre, mais Lise à encore de la répartie et me tutoyant elle me dit :
- J’ai le petit frère de ce merveilleux objet dans l’arrière boutique et si tu veux je vais le chercher, bien qu’à mon avis il soit réservé pour un usage anal.
N’attendant pas ma réponse, elle me plante là et se dirige vers l’arrière boutique, d’où elle revient aussitôt avec un petit coffret du même genre que le précédent.
- Voila, me dit-elle, qu’en penses-tu ?
C’est la réplique exacte du précédent objet mais avec une légère différence, il est plus court et plus fin que le premier et, certainement comme me l’a affirmée Laure, réservé à des usages anaux.
A sa base un léger renflement permet de le retenir pour ne pas qu’il s’enfonce trop loin, comme un plug moderne, et une petite courroie, fixée à cette base, doit servir à l’extraire du conduit ou il à été fiché.
- Merveilleux, je prends les deux, dis-je.

Nous nous dirigeons vers la caisse et pendant que je règle mes achats, Lise revient à la charge sur sa proposition :
- Il est 19 heures et ma journée est terminée, si tu le désires, je t’emmène chez moi, tu feras ainsi connaissance avec Laure ma compagne et nous essaierons tes olisbos.
- Tu es lesbienne ? Je lui demande.
- Oui, mais je vais avec les hommes aussi, tu n’es pas choquée au moins ?
- Non pas le moins du monde, mais j’ai une surprise moi aussi.
- Comme j’aime les surprises cela va être parfait, me dit-elle, deux secondes et je suis à toi.
Peu de temps après, nous voila marchant l’une contre l’autre en direction de chez Lise, me tenant par le bras elle se serre contre moi en me posant des questions :
- Comment t’appelles-tu, ma chérie.
- Leslie.
- Tu veux me parler de ta surprise Leslie.
- Non pas pour l’instant, mais soit patiente.
- Bon comme tu veux.
Arrivées devant son immeuble, elle me fait entrer dans le hall et me précède dans l'escalier, les deux étages à gravir ne sont que pure formalité, d’autant que j’ai les yeux rivés sur ses petites fesses, puis la porte de son appartement franchie, je fais aussitôt la connaissance de Lise, sa compagne, juste vêtue d'une nuisette qui ne cache rien de son anatomie.
Laure ayant fait les présentations, met au courant sa compagne de l’objet de ma présence ma présence chez elles, Lise est ravie de ma visite et je m’installe dans le canapé pendant que Sophie va prendre une douche et se mettre à l'aise.
Lise, me propose un verre tout en préparant deux verres pour elle et Laure, puis elle me demande de lui montrer les olisbos en attendant le retour de Laure.
Lise, est une jeune fille blonde d’à peine vingt ans, moins grande mais aussi mince que Laure, sa courte nuisette cache avec peine sa nudité, sa petite poitrine est arrogante et son pubis est intégralement épilé.
Lise prend les deux olisbos dans ses mains, elle les effleure délicatement et les prend entre ses lèvres pour en appréhender la grosseur, puis elle me dit :
Ils sont vraiment très réalistes, celui ci est vraiment gros, alors que celui-ci doit servir à pour des pénétrations plus spécifiques.
Dans les yeux de Lise, je peux voir des lueurs de désir et d’envie.
Puis Laure sort de la salle de bains, vêtue d'une tunique chinoise très échancrée sur sa poitrine menue.

Laure me propose d'aller prendre une douche, j’accepte volontiers. La douche me remet de mes émotions passées et détend mon corps, je suis juste entrain de me sécher quand Laure entre dans la salle de bains, avec un :
- Oh pardon, excuses moi ma chérie.
Mais Laure est figée sur le pas de la porte, elle est là devant moi la tunique grande ouverte qui ne dissimule rien de son anatomie, certainement qu’avec Lise elles ne m’ont pas attendues pour s’échanger des caresses, je suis nue face à Laure, avec ma virilité tendue à son regard.
Il y a un instant de silence, puis Laure me dit :
- Pour une surprise, c’est une surprise, mais bien agréable tout de même, tu es jolie transexuelle, nous allons bien nous amuser toutes les trois.
Puis remise de sa surprise Laure dit :
- Lise vient nous voir, nous avons une surprise à partager.
Aussitôt Lise vient nous rejoindre dans le plus simple apparat de sa nudité, et dit en me découvrant :
- Chouette un homme femme pour nous deux, le pied, puis me prenant toutes les deux par la main, elles m’entraînent, nue, dans la chambre.
Laure enlève sa tunique et nue, elle me dit :
- Tu sais Leslie, il faut nous laisser un peu de temps, alors installe toi et laisse nous faire.

Elle dit donc à Laure de s'allonger sur le lit, les cuisses grandes ouvertes et ainsi de lui offrir son sexe à sa bouche, Lise ne se fait pas prier trop contente à l’idée de se faire lécher la vulve par sa compagne et de s’offrir en spectacle.
Tandis que je m’installe dans le fauteuil, lise s’allonge sur le lit, sur le dos et Laure pose sa tête entre les cuisses grandes ouvertes de son amante, pose ses lèvres sur l’intimité de Lise qui commence à soupirer.
Laure ne ménage pas sa tâche sous les petits cris de Lise, puis se munissant d’une main le plus petit olisbos, elle le plante dans les reins de sa compagne qui s’abandonne aux caresses buccales de sa compagne, en poussant un petit :
- Oh, de surprise.
Le petit trou de Lise doit avoir l’habitude de se genre de pénétration, car il ne montre aucune résistance pour accueillir le gode en ivoire.
Puis c’est au tour du plus important olisbos d’investir la vulve de Lise, qui déclare :
- Oh, ma Laure, comme c’est bon et comme il est gros.
Après quelque temps, ainsi occupées, elles cédèrent l'une et l'autre au plaisir de cet instant, Lise succombant aux caresses de sa compagne et Laure prenant plaisir de faire jouir Lise.
Elles restèrent ainsi à se donner du plaisir, Laure se positionnant en 69 pour offrir sa vulve aux lèvres de Lise, puis Laure me demande de lui présenter mon sexe à sa bouche.

Une douce sensation monte en moi, quand je sens les lèvres de Laure entourées mon sexe, puis sa langue caresser mon gland, tout en serrant d’une main la base de mon sexe. Laure suce merveilleusement mais je me retire assez vite sa bouche, et après avoir retirée l’olisbos du cul de Lise, je présente mon sexe devant son anus.
Laure alors me dit :
- Doucement Leslie, Lise n’a pas l’habitude de se faire sodomiser par un vrai membre, elle est quelque peu novice en la matière, mais adore se faire prendre le petit trou par mon petit gode.
Doucement je pénètre l'anus de Lise sous les yeux gourmands de Laure.
L'excitation de Lise est telle que son anus, entrouvert par la pénétration de l’olisbos, m’accueille sans problème, se dilatant doucement sous ma profonde pénétration et sous ses feulements de plaisir.
Lise s’abandonne à mes coups de reins concentrée sur son plaisir, tandis que Laure lui retire le deuxième olisbos de la vulve et commence à l’équiper des lanières, puis s’en harnachant, elle vient se placer derrière moi avec le désir de me sodomiser.
Lise se retourne sur le ventre pour m’offrir à nouveau son petit trou que je pénètre une nouvelle fois, puis je me cambre au maximum afin d'offrir mes fesses au sexe factice dont Laure vient d’équiper son bas ventre pendant que j'encule Lise. Je sens à mon tour mon anus s’ouvrir sous la pression de Laure, c’est vrai qu’il est gros, j'ai l'impression d’être fendue en deux, comme pour éviter d’être plus loin pénétrée par Laure, je m’avance vers Lise et je m'enfonce un peu plus dans son trou, mais vite bloquée je sens l’olisbos me pénétrer encore et encore. Très vite Laure me possède entièrement et la sensation froide de l’ivoire mêlée à la douceur lisse de l’olisbos déclenche en moi le plaisir attendu.
Je suis mise à onduler du cul et quand je jouis au fond des reins de Lise, je sens l’anneau de Lise se resserrer sur mon sexe tandis que le mien autour de l’olisbos qui me perfore l’anus.

Laissant de côté le plus petit des olisbos, qui à nos avis ne sert que pour les novices, à préparer, ou pour les plaisirs solitaires, nous avons changées et variées les accouplements.
Ce fut au tour de Lise, harnacher du gode ceinture, d’enculer sa compagne tandis que je la sodomise, puis Lise tint à me sodomiser à son tour, nos corps en sueur ne cherchent que le plaisir ultime.
Puis Laure dit :
- Et moi, vous ne vous occupées pas de moi ?
J’installe Laure en levrette sur le lit et me place derrière elle, tandis que Lise s’installe dans le fauteuil pour regarder, en se caressant le clitoris et s’investir l’œillet du petit olisbos.
Je présente mon sexe devant l’anus de Laure et quand je pousse je sens qu’il résiste un peu, mais à cet instant l’envie est trop grande, je donne un coup de reins et entre en Laure qui émet un long cri, de voir son œillet distendu par mon membre m’excite et multiplia mon ardeur, je commence à ramoner le cul de Laure offert pendant un longtemps moment, ce qui ne laisse pas indifférent Laure qui se laisse aller en criant sa jouissance.
Laure remuant les hanches se cambe encore plus, s’ouvre sous mes assauts en attendant ma jouissance, son petit cul étroit m’aspire en elle et me serre le sexe, Je n’en peu plus et me répands au fond de ses entrailles.
Après ces ébats, ou chacune de nous avons jouis, nous prîmes un verre. Lise et Laure n’ayant plus de secret pour moi, nous reposions ainsi, nues, reprenant nos esprits. Le reste de la nuit se déroula changeant les positions dans nos accouplements, les olisbos honorant tous les trous au gré de nos fantaisies sexuelles, ce n’est qu’au petit matin que nous nous sommes endormies toutes les trois, blotties tendrement entre nous.
Avant de nous quitter, je pense avoir entendue Lise dire à Laure :
- Tu sais ma chérie, pour agrémenter nos jeux, il faut absolument que nous ayons de tels objets.

A suivre……

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