soldes a troyes
Récit érotique écrit par Sof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2005 dans la catégorie Plus on est
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soldes a troyes
SOLDES A TROYES
Je voulais me rhabiller et comme j avais déjà eu un aperçu des magasins de Troyes, j’ai demandé a mon homme de m’y emmener de nouveau. Nous avons pris la Rn 19 dans la direction de la capitale de la maille et pour remercier mon homme de sa gentillesse, j’avais pris l’initiative de me vêtir comme il aime… talons, mini et j avais pour l’occasion mis un petit chemisier en maille de couleur noire largement échancré. Jusque là rien d’extraordinaire. Mais une fois arrivée, je me suis aperçue de l’effet que cela produisait. En effet de nombreux hommes étaient venus accompagner leurs épouses et s’ennuyaient copieusement en attendant qu elles fassent leurs emplettes. Ils en profitaient pour mater les femmes présentent dans cette cohue. Il y avait beaucoup de monde et nous étions trous serrés dans ces magasins d’usine. Nous marchions tous les uns contre les autres.
Alors que je me penchais pour regarder quelques articles, ces messieurs pouvaient tout à loisir mater mes beaux nichons, que j’avais laissés libres. Mon homme qui restait à l’écart s’amusait de la situation. J’étais étudiée de la tête aux pieds. A un moment nous avons assisté à une scène de ménage assez cocasse, l’homme qui accompagnait madame était chargé de paquets et son épouse lui râlait dessus parce qu il n’avançait pas assez vite et que nous venions de passer devant. Nous nous sommes excusés mais par son attitude arrogante et les mots « fleuris » qu elle avait employés, nous avons vite compris que nous avions affaire à une garce qui malgré son port de tête très haut ne devait pas être commode à manœuvrer.
Mon homme me fit alors la confidence que ce dernier n’avait pas avancé car il était trop occupé à me lorgner. Enervée par le comportement de son épouse, je lui demandais de bien regarder ce qui allait se passer. Je pris les devant et au magasin suivant je me suis glissée a ses cotés, nous étions serrés et le pauvre homme, me regarda avec un sourire triste tout en s’excusant pour le comportement de son épouse qui se tenait un peu plus loin. En s’adressant à moi, je m’aperçu que son regard était plongé dans mon décolleté. Lorsqu il leva la tête il rougit, je lui sourit a nouveau et je me serrait contre lui. « nous sommes serrés dans ses magasins ». Je profitais de la bousculade pour lui passer la main sur le pantalon. Il réagit aussitôt et se colla contre moi tandis que je lui tournais le dos. Il passa sa main sur ma croupe et je le laissais faire…. J allais ferrer un nouveau poison devant sa femme . Je pris la main qui se trouvait sur mes fesses et je l’emmenai vers les cabines d’essayage. Il me suivit sans problème. A peine le rideau tiré, je le gratifia d’un long baisé. Il laissa tomber ses paquets. Je me susi très vite retrouvée nue. J’ai dégagé une verge déjà fortement gonflée que j’ai de suite engloutie. Il était aux anges et je prenais beaucoup de plaisir a me venger de sa mégère. Je sentais que l’artiste n’allait pas tenir longtemps. Je lui ai offert un préservatif et je lui ai offert une vue imprenable sur mon sexe. J’était a l’étroit dans cette cabine. Je me tenais appuyée sur le petite tabouret, les fesses tournées vers l inconnu qui pouvait voir mes lèvres déjà reluisantes. Il s’introduisit sans problème. Pris mes seins dans ses mains et joua avec mes mamelons tout en continuant ses assauts. Un vigil qui nous avait vu rentrer tout deux s’approcha et commença a regarder par le coté du rideau. Nous pouvions le voir nous regarder. Mon partenaire lui fit signe de partir alors que je lui demandais de rester. Il ne se fit pas prier. Je subissais les derniers coups de queue du pauvre homme et j’étais matée par un fier gaillard d’origine africaine et qui devait être bien monte fut la bosse qui se formait dans son pantalon. Il ne tarda pas a jouir. J’ai également joui. Nous avons tous deux quitter la petite cabine qui avait dissimulé nos ébats, j ai retrouve mon homme qui était hilare – la femme avait quitté le magasin en furie – vu le peuple présent ils n’allaient pas se retrouver de si tôt mais il garderait sûrement un bon souvenir de sa journée aux soldes. Le vigil était ravi d’avoir eu également une telle distraction et mon homme heureux d’avoir une femme si coquine m’offrit ce que je voulais en lingerie….. qui c est la gagnante ?
Je voulais me rhabiller et comme j avais déjà eu un aperçu des magasins de Troyes, j’ai demandé a mon homme de m’y emmener de nouveau. Nous avons pris la Rn 19 dans la direction de la capitale de la maille et pour remercier mon homme de sa gentillesse, j’avais pris l’initiative de me vêtir comme il aime… talons, mini et j avais pour l’occasion mis un petit chemisier en maille de couleur noire largement échancré. Jusque là rien d’extraordinaire. Mais une fois arrivée, je me suis aperçue de l’effet que cela produisait. En effet de nombreux hommes étaient venus accompagner leurs épouses et s’ennuyaient copieusement en attendant qu elles fassent leurs emplettes. Ils en profitaient pour mater les femmes présentent dans cette cohue. Il y avait beaucoup de monde et nous étions trous serrés dans ces magasins d’usine. Nous marchions tous les uns contre les autres.
Alors que je me penchais pour regarder quelques articles, ces messieurs pouvaient tout à loisir mater mes beaux nichons, que j’avais laissés libres. Mon homme qui restait à l’écart s’amusait de la situation. J’étais étudiée de la tête aux pieds. A un moment nous avons assisté à une scène de ménage assez cocasse, l’homme qui accompagnait madame était chargé de paquets et son épouse lui râlait dessus parce qu il n’avançait pas assez vite et que nous venions de passer devant. Nous nous sommes excusés mais par son attitude arrogante et les mots « fleuris » qu elle avait employés, nous avons vite compris que nous avions affaire à une garce qui malgré son port de tête très haut ne devait pas être commode à manœuvrer.
Mon homme me fit alors la confidence que ce dernier n’avait pas avancé car il était trop occupé à me lorgner. Enervée par le comportement de son épouse, je lui demandais de bien regarder ce qui allait se passer. Je pris les devant et au magasin suivant je me suis glissée a ses cotés, nous étions serrés et le pauvre homme, me regarda avec un sourire triste tout en s’excusant pour le comportement de son épouse qui se tenait un peu plus loin. En s’adressant à moi, je m’aperçu que son regard était plongé dans mon décolleté. Lorsqu il leva la tête il rougit, je lui sourit a nouveau et je me serrait contre lui. « nous sommes serrés dans ses magasins ». Je profitais de la bousculade pour lui passer la main sur le pantalon. Il réagit aussitôt et se colla contre moi tandis que je lui tournais le dos. Il passa sa main sur ma croupe et je le laissais faire…. J allais ferrer un nouveau poison devant sa femme . Je pris la main qui se trouvait sur mes fesses et je l’emmenai vers les cabines d’essayage. Il me suivit sans problème. A peine le rideau tiré, je le gratifia d’un long baisé. Il laissa tomber ses paquets. Je me susi très vite retrouvée nue. J’ai dégagé une verge déjà fortement gonflée que j’ai de suite engloutie. Il était aux anges et je prenais beaucoup de plaisir a me venger de sa mégère. Je sentais que l’artiste n’allait pas tenir longtemps. Je lui ai offert un préservatif et je lui ai offert une vue imprenable sur mon sexe. J’était a l’étroit dans cette cabine. Je me tenais appuyée sur le petite tabouret, les fesses tournées vers l inconnu qui pouvait voir mes lèvres déjà reluisantes. Il s’introduisit sans problème. Pris mes seins dans ses mains et joua avec mes mamelons tout en continuant ses assauts. Un vigil qui nous avait vu rentrer tout deux s’approcha et commença a regarder par le coté du rideau. Nous pouvions le voir nous regarder. Mon partenaire lui fit signe de partir alors que je lui demandais de rester. Il ne se fit pas prier. Je subissais les derniers coups de queue du pauvre homme et j’étais matée par un fier gaillard d’origine africaine et qui devait être bien monte fut la bosse qui se formait dans son pantalon. Il ne tarda pas a jouir. J’ai également joui. Nous avons tous deux quitter la petite cabine qui avait dissimulé nos ébats, j ai retrouve mon homme qui était hilare – la femme avait quitté le magasin en furie – vu le peuple présent ils n’allaient pas se retrouver de si tôt mais il garderait sûrement un bon souvenir de sa journée aux soldes. Le vigil était ravi d’avoir eu également une telle distraction et mon homme heureux d’avoir une femme si coquine m’offrit ce que je voulais en lingerie….. qui c est la gagnante ?
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