Les rêves de Lancer. 1ière partie - histoire érotique

<p>Lancer se balance sur son rocking chair en fixant le bois qui crépite dans la cheminée.
Bercer par la vision du feu, il plonge dans un profond sommeil, fait de rêves les plus
insensés.
Il organise une soirée dans une immense , toute blanche, meublée de tables, de chaises,
et de canapé. Une épaisse moquette recouvre le sol. C'est un décor paradisiaque.
Lancer est le maitre de cérémonie.
Les invités de cette soirée, sont pour la plus part, des personnages issues de son imagination.
Les acteurs doivent s'attendre à une soirée érotique, perverse, faite d'humiliation, de
domination, de soumission même.
Les tenues vestimentaires sont réduites aux strict minimum, voire inexistante.

La première image de Lancer, est celle d'Aurore avec sa tante Mireille. Et ce qui rodait
depuis quelque temps, était en train de se réaliser. Mireille est en train de prendre un fessée.
Aurore est assise sur un banc, Mireille à quatre pattes devant elle, jambes écartées, reins bien cambrés, fesse en l'air.
- Je suis passé fois cette semaine, tu n'y étais pas, gronde Aurore. Tu sais que je veux
que tu m'avertisse de tout tes faits et gestes. Compris?
- Oui, ma chérie, je te demande pardon, répond Mireille. Fesse moi, je le mérite, çà se
produira plus.
De temps en temps, Aurore passe sa main entre les cuisses de sa tante, et joue avec
sa chatte et son clitoris. Heureusement, elle s'est épilée.
- En plus, tu te régales, dit Aurore, tu mouille, petite salope. Et ton petit trou qui me nargue.
Aurore doigte sa tante de plus en plus fort.
- Je sais que je suis une pute, pleure Mireille, vas-y. Si j'ai pas été sage, puni moi. Oh, ce
doigt sur mon bouton, putain que c'est bon, ha..hou..hou.. oui...oui je joui.
- Viens t'asseoir à côté de moi, ordonne Aurore.
Elle passe une jambe par dessus les cuisses de sa tante, pour bien écarter ses jambes.
Elle appuie sa tête sur l'épaule de Mireille.
- Vas-y, chienne, caresse moi, chatte moi comme j'aime, fait toi pardonner. Regarde, mon
clitoris est déjà sorti. Amuse toi avec ta nièce.
Mireille plonge sa main entre les cuisses d'Aurore.
- Tu es bien vicieuse ce soir, dit Mireille, çà te démange. Mais tata va te calmer ma chérie.
Tu vas voir comme je vais te faire couler. Allez, crache, vas- y, allez, petite catin.
- Moi aussi je suis une pute, hurle Aurore, une pute qui joui, hou...hou...oui, t'arrête pas,
c'est toi qui me domine maintenant. Vas-y, branle, encule, fais ce que tu veux.
Aurore prend sa tante à pleine bouche, et l'embrasse.
- Tu as profité de mon délire, sourit Aurore. On va reprendre nos relations. Comme avant.
- Mais je sais, ma chérie, répond Mireille, c'est toi ma maitresse.
Aurore se tourne sur le côté, et pouffe de rire.
- Tu as vu la scène en face? dit Aurore Regarde cet homme comme il a un petit oiseau.
Quelle honte. En plus, écoute .

En effet, en face d'elles, Mich est assis sur les genoux de Guy, une main derrière son cou.
Les deux hommes sont nus.
- Pourquoi ces femmes en face rient-elles, demande Mich.
- Ben, c'est de voir ce que je te fais, répond Guy. Tu sens tes petits testicules qui sautent
dans ma main. Et ta petite queue, comme elle est raide.
- Salaud, la tienne aussi est raide, poursuit Mich, quel morceau.
La queue de Guy est en érection, dressée contre son ventre, entièrement décalottée.
- Tu veux pas gratter mon petit gland? Demande Mich, s'il te plait mon chéri, tu sais que
j'aime çà.
Guy saisit le prépuce de Mich, et après l'avoir fait rouler entre se doigts, le fait coulisser le
gland.
- Voilà, dit Guy, tu es content, ton petit bout est tout nu maintenant. Tu veux que je te le fasse
pleurer?
- Oh oui, chéri, régale moi, supplie Mich. France, regarde comme il joue avec mon petit titi,
que c'est bon, oui... oui... ha...ha... Encule moi, s'il te plait. Tu es prêt, regarde ta queue
comme elle est grosse.
Guy fait asseoir Mich dos à lui, et le pénètre doucement, tout en lui tenant ses petits attributs. Mich ne bande plus. C'est donc un petit bout ridicule qui pend entre ses jambes.
Le corps de Mich coulisse sur la queue de Guy. Ses jambes sont à l'équerre. D'une main,
Guy lui gratte les couillettes, faisant dépasser le petit gland entre ses doigts.
- Tu sens comme tu te fais sodomiser par ton pire ennemi, çà te fais rien? demande Guy.
- Au contraire, gémit Mich, c'est bon de savoir que c'est mon pire ennemi qui m'encule, et
qu'il joue avec ma femme, çà m'excite. Surtout qu'il est bien monté. Oh, mon chéri, je
recommence à bander. Ecarte tes doigts que ma petite queue puisse passer. Et mon cul,
il prend un sacré coup de queue.
- Petit pédé, tu me fais cracher connard, je joui. Tiens, tu sens ce que je t'envoie. Ouais
tu es un bon vide couille, comme ta pute de femme.
- France, hurle Mich, ton amant, il m'a encore enculé. Que c'est bon, une queue pareille
dans le ventre. Je vais bien te nettoyer ton gros gland après, mon chéri.

Gérard est allongé sur le dos, et a obligé France à s'empaler sur sa queue toute raide.
Leurs lèvres se touchent. On voit leur langue se taquiner. Les fesses de France sont
cambrées au maximum.
- Et moi , gémit France, qu'est-ce-qu'on me fait. Regarde la chatte de ta femme comme
elle se fait enfiler par la grosse queue de ton copain. Oh, Gérard, tu vas voir quand je
vais te choper les couilles.
- Chut, répond Gérard, remue toi, salope.. tu te régale là, hein? tu mouille comme une
bordille.
- Je veux faire la pute ce soir, soupire France. Guy, mon chéri, regarde comme je suis.
Mon petit trou a besoin de se faire prendre, encule moi, s'il te plait, comme au bon
vieux temps. Tu me doit bien çà.
Guy se vautre sur le dos de France, et la pénètre.
- Mich, viens voir hurle France. Regarde les deux bites qu'ils m'ont mises comparés à
ta petite queue de bébé. Caresse leur les couilles, allez, obéit, petite lopette.
Mich obéit, il passe une main entre leur jambes, et, un coup en haut, un coup en bas, il leur caresse les testicules.
" France a raison, se dit-il, comparés a mes deux petites olives"
- Je veux t'enculer moi aussi, demande Gérard.
- Après mon chéri, soupire France, laisse finir mon amant. Quel salaud, comme il me
fouille, hou..hou..hou je viens espèces de polissons, oui...oui...comme je me fais biter.
Guy et Gérard éjaculent en même temps dans un bruit de tempête.
- La prochaine fois, dit Guy, c'est ton copain que je sodomise. Tu vas voir comme je vais
l'humilier devant tout le monde.
- J'aimerai bien voir çà, répond Gérard en ricanant.
- Tu es le seul que j'ai pas niquer. Je vais me régaler de te prendre, de t'entendre me
supplier de te lâcher les couilles. Je veux t'entendre couiner.
Guy se retourne vers Mich, et le prend par l'oreille.
- Cà m'a ouvert l'appétit, dit Guy. Je vais te prendre en levrette, petit pédé. La position
préférée de ta femme. Qu'est-ce-qu'elle a pu crié mon nom quand je la prenais comme çà
France tiens sa promesse. Elle se fait prendre son petit trou par Gérard.
- C'est çà qui me faire ton copain, dit Gérard, mais il est fou. Pour qui il se prend.
- Ne le sous estime pas , prévient France, il est vicieux. S'il t'attrape par les couilles, il va
faire de toi ce qu'il veut. et tu seras obligé de te soumettre. Oh, mais çà te coupe l'envie,
mon salaud, comme tu te vide, je te sens couler dans ma chatte.
Epuisée, France tombe sur le côté, et se trouve à un mètre d'une belle jeune fille, les yeux
mi-clos, bouche ouverte.

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