Mon premier maghrebin - histoire érotique

<p>Vous commencez à me connaître, je suis une femme qui a envie de rattraper le temps perdu. Outre, les noirs je suis également attirée par les hommes de type méditerranéen. J'aime sentir leur regard posé sur mes fesses. J'ai très envie d'être livrée à ces hommes sur un chantier ou dans la cave d'une cité. Patrick trouve cela trop hasardeux. Je partage son avis, mais à chaque fois que je croise un maghrébin qui me déshabille du regard, je me retiens d'aller le voir et de lui dire à quel point j'ai envie qu'il me baise. Donc, au retour d'un séjour chez Patrick, je me retrouve de nouveau seule. Bref, je ne suis pas à la fête, et ce n'est pas nos dialogues coquins au téléphone ou sur le net qui me comblent. C'est très agréable mais un peu frustrant. Je vous raconte tout cela c'est pour vous expliquer la situation et pourquoi j'ai cédé au charme d'Ahmed.
Ahmed…Rien que d'écrire son nom, j'ai des crampes au ventre et ma culotte ne reste pas sèche ! Un matin, on sonne à ma porte. D'habitude je n'ouvre pas, mais ce jour-là il faisait beau, j'étais de bonne humeur. Devant moi se tenait mon fantasme en personne : Ahmed. Un véritable coup de poing au ventre, j'avais le souffle presque coupé. Il m'a tout de suite plu. Je l'ai trouvé beau avec sa peau mate, très élégant. Son regard fier me parcourait des pieds à la tête. Son sourire semblait dire « Toi si je ne te plais pas, je me fais moine ».Il vendait des adoucisseurs d'eau. Sottement, je lui ai répondu que je venais de changer le mien. Décidément, j'allais manquer de réaliser mon fantasme car trop franche. Je ne voulais pas le laisser partir comme ça. Il accepta le rafraichissement que je lui proposais. Nous nous sommes installés dans la cuisine. Je portais une robe, n'avais pas mis de soutien-gorge à cause de la chaleur et il y avait toutes les chances qu'il voit mes seins et ma petite culotte, quand je me tenais devant lui à contre-jour. D'ailleurs, il ne se privait pas de regarder de façon très discrète. Je dois dire que de me retrouver seule dans ma cuisine avec un si beau mec, ça me faisait tout drôle entre les cuisses. Quand il a fait mine de vouloir partir, je lui ai vite servi un autre verre après avoir déboutonné le haut de ma robe, et m'être penchée vers lui pour qu'il puisse bien admirer mes seins. Et quand il a plongé la main dans mon décolleté, j'en suis restée tout bête avec ma bouteille dans les mains. J'ai joué à ma mijaurée. Je lui ai dit non, qu'il ne fallait pas, mais j'avais envie qu'il me fasse bien plus que ça. Et tout à coup, jdécidée à être la bonne salope que l'on dit de moi, mais j'ai posé la bouteille et je me suis mise à genoux devant lui, sans qu'il me le demande. Je lui ai caressé la queue à travers son pantalon, avant de déboutonner sa braguette. J'étais affamée de sa bite qu'il avait longue, grosse. Un bel engin comme nous avons rarement l'occasion de voir. Elle me remplissait toute la bouche. Elle glissait sur ma langue, et cognait en même temps contre mon palais, le fond de ma gorge. Ahmed m'a saisi fermement par les cheveux tout en accélérant mon mouvement. Je levais un regard implorant vers lui, avec l'espoir qu'il continue. Je gémissais en subissant son assaut. Je ne pouvais presque plus respirer, et puis il s'est enfoncé au fond de ma gorge en déchargeant à gros jets épais qui avaient un goût salé. J'en avais jusque sur le bord des lèvres et j'ai passé ma langue, tout en avalant les dernières gouttes de sa précieuse semence. Ahmed ne débandait pas. Il m'a relevée, m'a fait retirer ma petite culotte et m'a assise entre ses jambes sans enlever ma robe, mais en déboutonnant encore plus le haut. Dépoitraillée, j'avais fière allure, j'avais l'impression d'être une pute sur les genoux de son client dans une maison close. Mes seins étaient libres, et Ahmed les malaxaient avec douceur, effleuraient les pointes qui se dressaient sous la caresse. Je n'avais qu'une envie, qu'il me pénètre le plus profondément possible. Je voulais sa bite. Je voulais qu'il me baise, me défonce. Ce salaud faisait durer le plaisir et j'étais complètement trempée. Si bien que lorsque j'ai senti la pointe de son gland se présenter à l'entrée de mes grandes lèvres, je n'ai pas pu m'empêcher de crier de plaisir. Ahmed s'est enfoncé brutalement en moi, et sa grosse queue a rempli complètement mon vagin. Je la sentais vibrer à l'intérieur de ma chatte, et on est restés comme ça quelques minutes sans bouger. J'ai cru que j'allais partir rien qu'en remuant très doucement mon bassin. Ahmed n'en pouvait plus lui non plus, il m'a agrippé les hanches et s'est mis à me secouer de plus en plus vite. Je l'encourageais vulgairement à me défoncer comme la vieille salope que je suis. Il m'encourageait à lui dire des insanités. Je me mis à jouir bruyamment. J'en pouvais plus, mais lui, il bandait toujours et voulait recommencer. Il me demanda de me relever, s'est glissé derrière moi, et j'ai senti une de ses mains relever doucement le tissu de ma robe, tandis que l'autre me pelotait les seins. Je le laissai diriger les opérations. Toujours derrière moi, il m'a penché vers l'avant sur la table et, se glissant à genoux sous moi, il a collé sa langue dans ma fente. Il buvait mon jus comme à la fontaine tellement je mouillais. Puis il s'est relevé, et j'ai senti sa grosse bite me défoncer. Mes seins ballottaient à chaque coup de reins, et Ahmed les malaxait avec force tout en pinçant le bout entre ses doigts. Je me suis mise à jouir sans pouvoir me retenir. On s'est allongés à même le sol. Ahmed bandait toujours, à croire qu'il n'arrêtait jamais! Puis il m'a retourné comme une crêpe, et j'ai senti ses doigts se perdre dans la mouille de mon vagin et remonter jusqu'à l'entrée de mon anus, qu'il fouilla doucement de ses doigts jusqu'à ce que le muscle soit parfaitement souple. Son gland s'est enfoncé tout doucement, je ressentis une petit brûlure suivie d'un étonnement agréable lorsqu'il s'enfonça plus profondément tout au fond de mon anus. Je tortillai des fesses pour mieux sentir ses couilles, et lorsqu'il finit par éjaculer, j'eus en même temps un spasme violent de plaisir . Ahmed ne reviendra pas à la maison à ma demande et par fidélité pour Patrick. Ce dernier trouve ma décision ridicule car je me prive d'un bon coup. Il m'a demandé de garder précieusement la carte professionnelle d'Ahmed.



</p>