La gourgandine ( 9 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La gourgandine ( 9 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La gourgandine ( 9 )
9-----Mes parents ont fermé le Café pour 3 semaines et sont partis en vacances. Pour ma part je n’ai pas de vacances puisque pendant l’été je travaille comme caissière, jusqu’au début septembre. Mes horaires décalés me laissent des après midi libre, j’en profite pour aller au cinoche sur les grands boulevards. Carole s’est trouvée un nouveau petit copain. Il paraît qu’il n’est pas mal, contrairement à l’ancien il prend son temps pour la baiser et arrive même à la faire grimper aux rideaux. Cette semaine je suis du matin. On est lundi, jour de repos de ma copine. Il est 3h1/2, je m’ennuie, lui téléphone, on ne sait jamais, on pourrait aller se balader :
- Tu es seule, je m’ennuie, je peux passer te voir ?
- Pas de problème, je m’ennuie moi aussi, je n’attends personne, on peut aller au cinéma !
- D’accord !
Je suis à ½ h de chez elle par les transports. Il fait chaud, je suis en jupe et tee-shirt, je saisie mon mini sac à dos, me voilà partie. J’arrive devant sa porte, frappe. Aucun bruit, aucune réponse. Au moment où j’allais repartir, la porte s’ouvre.
- Ah c’est toi, entre tu vas faire la connaissance de Fred.
- Je te croyais seule, je ne veux pas vous déranger.
- Tu ne nous déranges pas, rien de changé au programme, on va au cinéma !
J’entre, elle me présente le copain. C’est un mec dans les 23/24, d’environ 1m70/72 max, 60/65 kg, pas mal, allure sportive, cheveux courts, tenue décontract. Elle m’offre une bière, on discute un peu. Il a un boulot, une piaule, est actuellement en vacances. Je lui dis que je travaille en horaires décalés, que je suis toujours chez mes parents, lesquels sont en vacances. Carole s’impatiente, nous dit :
- On y va ?.
On prend les transports, je les regarde tous les deux, ils se tiennent par la main, j’ai l’impression d’être de trop. On s’installe au fond de la salle, il n’y a pas grand monde, on est en semaine et c’est la période des vacances. Fred se place entre nous deux. Le film commence, je me sens seule. Au bout d’un moment, je jette un regard du côté de Carole. Son copain a passé le bras au-dessus de ses épaules, sa main lui emprisonne le sein gauche. Elle a la tête penchée sur lui, frotte sa main sur le bas ventre de son mec. Ca fait plus d’1/2 h que la projection est commencée, je suis absorbée par le film. Soudain quelque chose me dérange, jusque là je n’y ai pas prêté attention. Le mec effleure ma cuisse, remonte doucement sa main sous ma jupe. Il est gonflé quand même. D’un côté il pelote ma copine, de l’autre il me caresse la cuisse. Je ne bouge pas, le laisse faire, j’ai envie de savoir jusqu’où il va oser. Il la fait remonter lentement jusqu’à ma culotte, essaie d’écarter le bord. Je regarde ma copine, elle a ouvert la braguette et sorti la queue, le branle tout en regardant le film. J’enlève la main de son copain d’un geste brusque, rabats ma jupe. Je continue à m’intéresser au film. Je jète un œil sur ma copine. Elle est complètement inclinée sur son mec, a pris sa bite en bouche, le suce. Mine de rien, au bout d’un moment, alors que je ne fais plus du tout attention à lui, il revient à la charge. Tout cela va très vite. Il met sa main sur le haut de ma jupe, la passe sans vergogne entre la ceinture et la peau. Elle s’introduit dans ma culotte, descend sur ma toison. Surprise par cette attaque, je resserre brusquement les cuisses, essaie de sortir sa main. Sans hésiter, il force mon entrejambes, emprisonne ma moule, ses doigts s’insinuent à l’intérieur de ma fente, s’occupent de mon clito. Je n’en reviens pas ! J’ai chaud, il me fait mouiller le salaud ! Je regarde de nouveau ma copine. Alors qu’il a ses doigts dans ma fente, son autre main appuie sur la tête de Carole. Celle ci, trop occupée à lui tailler une pipe, ne se rend pas compte qu’il est en train de m’introduire un doigt à l’entrée du vagin.. Cette fois je remue sur mon siège, ne tiens plus en place, il va trop loin. Je prends son bras, tire, l’oblige à sortir sa main de ma culotte. Il n’insiste pas, sort sa patte, se tourne vers Carole, appuie des 2 mains sur sa tête. Il se cambre, a quelques soubresauts, décharge dans sa bouche, elle déglutit. Elle se redresse, prend un Kleenex dans son sac, s’essuie la bouche, regarde l’écran. Tout en regardant le film, je pense à ce mec. À sa façon de se comporter, j’en déduis qu’il a envie de moi, ma copine ne lui suffit pas. Pourquoi après tout ne pas en profiter ? En ce moment personne me monte, je suis en manque. Je lui ai bien prêté mon mec, elle peut bien me passer le sien. J’ouvre mon sac, prends mon agenda, griffonne mon téléphone, arrache la page, la plie en 4. Je prends sa main, lui glisse discrètement le papier. Le film terminé, on sort de la salle, je les quitte, rentre chez moi
Deux jours après, je paresse au lit, somnole. Il est 9 h, le téléphone sonne, je réponds
- Salut, c’est Fred ! T’es au boulot ce matin ?
- Tu m’as réveillé, qu’est ce que tu veux ?
- J’ai envie de toi !
- Carole n’te suffit pas ?
- Tu m’donnes ton adresse ?
- Ok ! Tu veux m’baiser, j’t’attends !
Je lui donne mon adresse, lui demande où il crèche. Il a plus d’une demi-heure de trajet. Je me lève, prends ma douche, descends à la cuisine, avale mon petit dej, je dois prendre des forces. Je pense à ce mec. Il vient pour me la rentrer, je trouve ça osé de sa part. Je n’aurais pas du lui donner mon téléphone, j’ai fait une connerie. Il est 10h 1/4, on sonne à la porte. Je suis nue sous ma robe de chambre. Sans me presser, je vais ouvrir.
- T’as trouvé facilement ?
- Non, j’connais pas le quartier !
- Entre, t’es venu pour me sauter ?
- Ben oui !
- Allons-y, j’ai pas plus d’une demi-heure à te consacrer, j’ai encore plein de choses à faire !
Je l’emmène dans ma chambre, j’ai décidé de prendre les choses en main, de le brusquer. Après tout, hier au cinoche, il n’a pas demandé mon avis pour m’introduire son doigt à l’entrée du vagin. Il est au milieu de la chambre, inspecte les lieux. Je lui lance :
- Aller, fous-toi à poil, grouille-toi !
Il a l’air totalement ahuri, ne s’attendais sûrement pas à un accueil de ce genre. Il reste figé sur place.
- Alors, tu la sorts cette bite ?
Il dégrafe son pantalon, ouvre la braguette, le fait tomber à ses pieds.
- Approche-toi que j’te branle !
Je glisse la main dans le slip, prends la queue. Il enlève sa chemise, je descends le slip, le voilà à poil. Je regarde la bite, elle est petite, au jugé 3 cm de diamètre et 8 cm de long.. Elle me rappelle celle du mec qui a voulu me violer dans une salle de cours lorsque j’étais en seconde au lycée ( j’avais 16 ans). Lui s’en est mal sorti. Je lui ai serré les couilles tellement fort qu’il en a perdu connaissance. Je prends la bite en main, la relève, tire sur la peau, m’attarde sur le gland, soupèse les valseuses. Il réagit, commence à bander, sa bite se redresse lentement, grossit, devient rouge, j’en ai rarement vu d’aussi petite ! Il regarde ma main s’occuper de sa bricole, je lui dis :
- Qu’est ce que tu veux que je foute de ça, dis-moi ?
Je comprends pourquoi Carole l’absorbait jusqu’aux couilles ! Elle a pourtant l’air de s’en contenter, reste à savoir comment il baise. Il fait tomber ma robe de chambre, je suis nue. Il met sa main direct dans mon entrejambes, enserre ma vulve, glisse un doigt dans ma fente
- Dis donc, tu mouilles déjà !
- J’ai pas de temps à perdre avec toi !
Je continue à le branler sérieux. Sous mon action, la queue se redresse vite, durcit, je m’accroupis, la prend en bouche. Celle là je peux l’absorber en entier. J’y vais dard- dard, il émet de drôles de petits bruits de satisfaction. Il me prend la tête, me l’enfonce jusqu’en fond de gorge, je salive, il la sort, recommence, j’en bave. Ca y est, elle est raide, 3,5 x 12 cm, ( peut être 13 cm ) petit gland moins gros que la tige, pointu, tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Je soupèse les balloches, les prends ensemble en bouche, les aspire, les suce, absorbe le gland, l’entoure de ma langue, titille le méat.
- Arrête, tu vas me faire gicler !
Je prends une capote dans mon sac, la déroule sur sa queue. Je m’allonge sur le lit, remonte les jambes, écarte les cuisses. Avec deux doigts de chaque main, j’ouvre mes lèvres, le fond rose de ma fente apparaît, je tire sur mes nymphes, dégage mon clito, enfonce un doigt dans mon trou.
- Aller, bouffe-moi la chatte !
Il est debout auprès du lit, me regarde, éberlué, tient sa queue raide dans la main, il ne s’attendait pas à ce que je m’offre à lui de cette façon.
- Qu’est c’que t’attends ?
Il se décide, grimpe sur le lit, met sa tête entre mes cuisses, passe sa langue sur mon clito, la glisse au fond de ma fente, aspire ma mouille, la rentre dans mon trou, c’est bon, j’aime. Je me redresse sur les coudes, le regarde. Sa bite est droite, rouge, je l’attrape, la place devant mon orifice.
- Vas-y rentre la dedans !
Il s’allonge au-dessus de moi, me suce les tétons, pétrit mes seins et en même temps, sans crier gare, m’enfile direct sa queue dans le vagin. Vu les dimensions de l’engin elle entre facilement, butte au fond de moi, il commence ses va et vient, me pilonne rapide. Il est au-dessus de moi, me tient aux épaules, se démène, s’acharne dans ma gaine, entre, sort, fait des han han à chaque coup de bite qu’il me donne. Je l’accompagne, me cambre, contracte mon vagin pour bien le sentir, sa bougie enflamme mon corps, je couine de plus en plus fort, je sens que je viens, ça y est, je suis partie, décolle, le ciel est bleu, la voie est libre. Il se vide par a-coups dans la capote, c’est bon, c’est chaud, je jouis en même temps que lui.
- Ouiiiiiiiiiii !
Je viens d’avoir un orgasme, bref il est vrai, mais intense. Il s’est effondré sur moi, ne bouge plus. La queue diminue rapidement, sort de mon vagin, retombe, molle, inerte. Je le repousse, il s’assoie au bord du lit, vire la capote, me la donne. Je vais la jeter dans les toilettes, revient dans la chambre. Il est 11h, je lui dis :
- Bon, t’as eu c’que t’es venu chercher, rhabille-toi, j’ai plus le temps, je bosse c’t’aprème.
Il se lève, remet ses vêtements. Je reste à poil, le reconduis à la porte, lui dis.
- Finalement c’était pas mal, malgré ta petite quéquette, tu m’as fais jouir.
- Je peux revenir demain matin, si tu veux ?
- Pourquoi pas, ramène-toi à 10h au plus tard !
- Tu dis rien à Carole ?
- T’inquiète, je sais être discrète !
Finalement ce mec en a une petite mais vigoureuse qui fait bien mon affaire. Je l’ai bien senti, il ramone sérieux, m’a fait jouir. Y a mieux, mais faut savoir se contenter de ce qu’on trouve sur le marché. Je me demande quelle sera la réaction de Carole quand elle s’apercevra que son mec me saute !
À suivre

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