La gourgandine ( 10 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La gourgandine ( 10 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La gourgandine ( 10 )
10--- Le lendemain matin je ne prends pas de douche en me levant, je fais juste une toilette intime, il vaut mieux que je la prenne après la baise puisqu’il est prévu qu’il vienne me la mettre ! Je suis dans la cuisine en train de déjeuner. On sonne à la porte. Je suis en robe de chambre, vais ouvrir
- Te voilà déjà, t’es pas en retard, il est 9h1/2.
- J’ai pensé à toi toute la nuit.
Je le fais entrer dans la cuisine, lui propose un café, termine mon petit dèj. Ce matin je suis en forme. Je regarde son jean, à mon avis il bande déjà.
- T’as vu Carole hier ?
- Non, j’la vois pas en semaine, elle finit trop tard !
- Elle travaille pas le lundi !
- Je sais, j’en profite ce jour là !
- Tu pourrais la voir le week-end ! Passer la nuit avec elle !
Bizarre, il ne répond pas à cette suggestion, je me demande pourquoi ? Je fais la vaisselle, la range. Il est debout à côté de moi, me regarde. Je le repousse et en même temps plaque ma main sur son bas ventre, serre la bosse. J’ouvre la braguette, saisie sa queue dans le slip, il bande
- Aller, on y va, t’es venu pour ça ?
On monte dans ma chambre, le lit est encore ouvert, mes habits sont en vrac au pied du lit, ma culotte traîne par terre. Il s’approche, se colle à moi, cherche ma bouche, je détourne la tête, je ne veux pas qu’il fourre sa langue dedans. Il ouvre ma robe de chambre, plaque sa main sur ma toison, la passe entre mes jambes, glisse son doigt dans ma fente.
- Tu mouilles déjà !
- Attends, j’suis pas prête !
- J’tiens plus, j’veux t’la rentrer !
Je le repousse, mon lit est ouvert, je mets un peu d’ordre dans la chambre, range mes habits, prends mon temps, je veux lui montrer que c’est moi qui décide du moment où je me fais sauter. Il tourne autour de moi, m’attrape, se colle derrière moi, je sens sa bite dans le bas du dos, il n’a pas refermé sa braguette. Comme il se débrouille pour être toujours derrière moi et qu’il m’embrasse dans le cou, me tripote sur tout le corps, je n’ai pas vu qu’il a sorti sa bite hors de son slip. Alors que je me baisse pour ramasser ma culotte qui traîne, il me pousse en avant, je perds l’équilibre, pique du nez. Je me retrouve les épaules sur le lit, les pieds au sol. Il relève la robe de chambre sur mon dos, appuie sa queue à l’arrière de ma fente, le gland m’ouvre sans difficulté, le voilà au fond de moi. Je donne un coup de cul pour me dégager, me redresse, me tourne face à lui, furieuse, lui dis :
- J’baise pas sans capote !
- Donne m’en une !
Je prends mon sac, lui en passe une, lui dis sèchement :
- Aller, enfile ça !
Il se déshabille tranquillement, met ses habits sur la chaise, équipe sa bite, se rapproche, fait tomber ma robe de chambre. Je la ramasse, la mets sur le dossier de la chaise. Il me dit :
- Présente-moi ton cul !
Je mets un genou sur le lit, l’autre pied reste au sol, me penche en avant, m’appuie sur le lit. Il me tient aux hanches, m’enfile sa queue, mon cul suit la cadence, il me burine dur, à chaque coup de bite je fais des ho- ah- ho- hi- h-haaia, lui me répond par des han han, quel concert. Il va au fond de moi, me ramone terrible, je sens que je viens, ça y est je décolle,
Waahooo
Je suis partie trop vite, viens de prendre mon pied, il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir, je m’écroule sur le lit, insatisfaite. Il est sorti de moi quand j’ai joui, c’est pas normal, il n’aurait pas dû !.Je me redresse, m’assoie au bord du lit, le regarde, il est debout, à poil devant moi, a l’air tout penaud, sa bite est retombée au repos, pas possible, il a débandé trop vite, n’a pas vidé ses couilles ! Je dois faire quelque chose. Je lui dis.
- Tu tiens pas la distance ! Approche toi !
Je lui enlève la capote, prends sa bite en bouche, l’absorbe en entier, m’applique, il se laisse faire, me l’enfourne en fond de gorge, ressort, il a l’air d’apprécier ma prestation. Sa queue se redresse doucement, durcit, se cabre, ça va être bon, il va pouvoir me la rentrer de nouveau. Je lui dis :
- Allonge toi sur le lit, je vais te grimper dessus !
Il s’exécute, s’allonge sur le dos, je prends une nouvelle capote, équipe son dard. Il le tient droit, je m’accroupis au-dessus de la bite, pieds sur le lit, me penche en avant, mets mes mains sur sa poitrine, me laisse descendre doucement. Sa gaule s’enfonce jusqu’à la garde, je la fais aller et venir dans moi, je serre mon vagin pour bien la sentir. Je pivote sur cet axe, lui tourne le dos, une vraie chevauchée s’engage, il m’accompagne par des coups de rein. J’ai chaud, gémis de plus en plus fort. Il se redresse, met ses mains sous mes fesses, me repousse, je pique du nez, me retrouve recroquevillée genoux sous moi contre mes seins, épaules sur le lit, croupe en l’air. Il s’est mis à genoux derrière moi, ouvre ma fente, enfile sa queue dans mon trou, me prend aux hanches, tire, me ramone sauvage. Il fait varier la cadence, entre, sort, m’emmanche de nouveau, se bloque au fond. Il a repris de l’énergie, me lime acharné pendant une dizaine de minutes, je l’accompagne par des coups de cul pendant qu’il me burine. Je sens qu’il va m’avoir, j’ai chaud, je lui livre mon corps, l’abandonne à ses coups de bite, respire de plus en plus vite, ça y est je suis partie de nouveau, halète, décolle, cambre mes reins pour bien l’encastrer, il est au fond, jecrie ma jouissance.
- Ahaaa Oho ouiiiiiiiiiiiiii.
Je me déplie, m’écroule sur le ventre, cuisses ouvertes, croupe remontée. Il ne me laisse pas souffler, me retourne, me met sur le dos, m’écarte les cuisses en grand, remonte mes jambes sur ses avant-bras, m’enfile de nouveau son petit cigare. Je suis lessivée, je le laisse s’acharner dans mon bas ventre, j’ ai à peine la force de l’accompagner en cambrant les reins. Il va de plus en plus vite, se bloque au fond de moi, la bite gonfle, je la sens se cabrer. Des soubresauts animent sa queue à l’intérieur de mon vagin, je le contracte, je sens ses jets de foutre remplir la capote, c’est chaud, c’est bon. Il s’effondre sur moi, ne bouge plus, laisse sa queue ressortir doucement. Je suis bien sous lui, je suis totalement anéantie, ma respiration est encore saccadée, il faut que je refasse surface, mais je n’ai pas joui en même temps que lui, dommage. Je regarde ma montre, il est 11 h 1/4. Pas possible, ça fait plus d’une heure qu’on baise, je me suis donnée à fond, pas étonnant que je sois crevée. Je le repousse, il se lève, vire le préservatif, je lui dis :
- Qu’est ce que tu m’as mis !
- T’as aimé ?
- Tu m’as crevée !
- T’as joui ?
- Oui, deux fois, la seconde fois c’était vraiment fort, merci !
- On remet ça ? Je peux encore !
- J’ai plus le temps, rhabille-toi en vitesse, rentre chez toi, je dois encore prendre ma douche
- J’en prendrais bien une moi aussi, j’en ai besoin !
- Non, c’est fini pour aujourd’hui ! J’ai besoin d’être seule !
Il se rhabille, je suis toujours à poil, assise au bord du lit. Je passe ma robe de chambre, le raccompagne à la porte. Avant de me quitter il me demande :
- On se voit demain ?
- Non, je dois avoir mes règles,
- Alors pourquoi tu m’as mis une capote, j’aurais pu jouir te remplir ?
- Pas question, je baise pas sans !
- On se revoit après, j’aime ton cul, j’ai encore envie de le fourrer !
- Mes parents rentrent samedi. La semaine prochaine je travaille jusqu’à 15 h, ensuite je suis libre. Pas question de baiser ici, si tu veux encore me sauter, et j’suis pas contre, trouves un endroit !
- J’ai encore une semaine de vacances, viens chez moi..
- Je ne sais pas, je vais y réfléchir, appelle-moi. Salut !
Je file dans la salle de bain, prends ma douche. Je me regarde dans le miroir, j’ai la tête de quelqu’un qui a passé une nuit blanche. Un peu de maquillage répare les dégâts, mais j’ai quand même de sacrés cernent sous les yeux. Je retourne dans ma chambre, refait le lit, m’habille. Il faut encore que je prépare mon déjeuner, j’ai une faim de loup ! Il me reste encore 1h avant de partir au boulot, faut que j’me grouille !

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