Mon prof d'histoire...

- Par l'auteur HDS Fabulae -
Récit érotique écrit par Fabulae [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon prof d'histoire... Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2008 dans la catégorie
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Mon prof d'histoire...
C'était en octobre, j'étais nouvelle dans mon lycée.
Tout juste 18 ans, mais loin d'être innocente...

Je me suis vite fait des amies, et aussi des amis. Les garçons louchaient sur mon décolleté, je ne me privais pas d'exhiber ce que la nature m'a si généreusement offert...
Bien souvent, je ne rentrais pas chez moi le soir, faire la fête m'attirais bien plus que me retrouver seule dans mon lit.

Une nuit, des amies m'ont emmenée dans un endroit "branché".
Après quelques heures, j'avais bu un peu, suffisament pour me rendre euphorique, mais cependant pas assez pour me donner le tournis. Je m'ennuyais, j'avais envie de m'amuser, de passer la nuit dans les bras d'un homme...Mais tous ceux que je voyais me paraissaient soit ivres morts, soient franchement bêtes.

Je m'étais assise quelques minutes, lorsque mon regard a accroché une personne qu'il me semblait connaitre.
J'ai reconnu mon prof d'histoire, celui sur lequel je craquais depuis mon arrivée...
L'alcool aidant, j'ai eu le courage de m'approcher de lui, et de lui proposer de danser. Il a eu l'air surpris, mais n'a pas refusé, et nous avons commencé a danser.
J'ai été étonnée, il était plutot bon danseur, je n'imaginait pas, en le voyant assis a son bureau durant les cours...

Ce soir là, j'avais choisi de m'habiller d'une manière très provocative, j'avais une envie folle de faire l'amour, donc je me suis habillée de manière a ne pas laisser les hommes indifférents.
Je dois dire que j'avais réussi...ma jupe courte fendue sur le coté, et mon décolleté qui en révelait plus qu'il n'en cachait avaient vite attiré le regard des hommes présents, qui profitaient des danses pour voir et toucher tout ce qu'ils pouvaient.

C'est donc assez excitée, que j'ai commencé a danser avec lui. Je le voyait regarder ma poitrine, puis détourner le regard, confus, dès qu'il croisait le mien. J'en ai rajouté un peu plus, me collant contre lui de plus en plus, lascive, provocante, aguichante...

Je su que mon petit manège avait porté ses fruits lorsque, me collant a lui, je sentis une bosse bien dure contre mon ventre... Je lui proposa alors d'aller prendre un petit verre au bar, ce qu'il accepta volontier.
Nous avons discuté quelques minutes, je jouais avec mon verre, passant ma langue sur mes mes lèvres, desquelles il n'arrivait plus a détourner le regard...
Finalement, il est sorti fumer une cigarette, je pense pour essayer de se calmer. Je n'avais pas l'intention de le laisser filer, tous ces efforts m'avaient vraiment excitée. Je suis sortie avec lui, il était assis sur un banc, et je me suis assise près de lui.

Très vite, je me suis rapprochée de plus en plus, me collant a nouveau a lui. Pretextant devoir réajuster la bride de mes talons, je me suis largement penchée en avant, le troublant encore plus. Lorsque ma main s'est posée sur sa cuisse, comme pour prendre appuie, il ne l'a pas enlevé, j'ai senti que le tissu de son pantalon était tendu a bloc. J'étais fière de moi, excitée a la limite du supportable...
J'ai tenté le tout pour le tout, et j'ai remonté ma main, plus haut, sur cette excroissance visible sous le tissu. Au lieu de me repousser il a attrapé ma main et l'a maintenue appuyée là. Je savais que j'avais gagné. Au plaisir de la conquête s'ajoutait maintenant une envie palpitante, un besoin impérieux... Un regard, nous nous sommes compris.

On s'est retrouvés chez lui, dans sa chambre. Le désir vibrait dans la pièce, tendait nos corps comme on tend un arc...
Il m'a attirée contre lui, plaquant ses lèvres contre les miennes, dans un baiser presque violent, et je lui repondis avec la même ardeur; sa main descendit, baissant la fermeture de ma jupre, qui tomba a mes pieds, puis remonta emportant mon petit haut. De mon côté, je m'attaquais a sa chemise, qui vola a travers la pièce, puis à son pantalon, que je reussit enfin a enlever. En sous vetements, on a roulé sur le lit, sans cesser de se dévorer de baisers, de caresses, nos corps brulants se pressant l'un contre l'autre.

La nuit fut intense, torride.
C'était un amant merveilleux, doux, ferme, energique...Il nous a amené maintes fois a la jouissance complète, jouant avec mon corps comme personne ne l'avait fait, me rendant folle de plaisir.

Nous avons recommencé plusieurs fois, chaque fois encore meilleure que la précédente.
Et puis mon année s'est terminée, je suis partie en Fac, et on ne s'est jamais revus. J'ai fini par passer à autre chose, avec d'autres aventures, mais je sais que cette année restera à jamais gravée dans ma mémoire.

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