La gourgandine ( 15 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La gourgandine ( 15 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La gourgandine ( 15 )
15-----Il commence un ramonage intensif, je mouille, cambre les reins, l’accompagne, pousse des oh hi ooahaaaa à chaque coup de bite. Moi qui rêve de l’avoir en moi depuis des années, aujourd’hui c’est chose faite. Carole est à côté, s’est mise dans la même position que moi, lui ouvre son sexe, entretient sa mouille en glissant ses doigts à l’intérieur, attend qu’il la reprenne. Ca fait bien 5 mn qu’il me lime, Carole s’impatiente :
- Hé là, vous m’avez oubliée !
- Mais non, à ton tour !
Il me quitte brutalement, la pénètre presque sauvagement. Heureusement qu’elle l’a maintenu ouvert, le muscle est assoupli, ça rentre facilement.
- Aïe, Oh là oui oui !
Il recommence à lui ramoner la cheminée, elle gémit. Puis il passe régulièrement de l’une à l’autre, s’acharne à l’intérieur de nous, on a pas le temps de souffler, ni nos vagins de se refermer. Alors qu’il est dans moi, je sens que je viens, mon cœur s’emballe, je décolle, m’envole, tout mon être chavire, se tend. Je crie ma jouissance
- WaaahoooOhouiiiii
Quel orgasme. Je retombe, heureuse, anéantie, reprends pied doucement. Il sort de moi dès qu’il m’a vu jouir, et sans transition enfourne sa bite direct dans le vagin de ma copine, la burine hard, fait des han han, comme quand il était dans moi, entre, sort, la défonce. Elle couine comme pas possible, ses cris, hi hiii, accompagnent ses coups de queue, elle ne tarde pas à jouir, crie aussi fort que moi, que vont penser les voisins s’ils sont chez eux ?
- AhOhawaaaaaaahiiii!
Il doit être au bord de l’explosion, sort subitement d’elle, vire la capote et sans perdre une seconde m’attrape par les cheveux, me redresse et me fourre son gland dans la bouche, y rentre une partie de sa bite, et dans un râle, et en quelques secousses, m’envoie plusieurs giclées d’un foutre chaud et épais.
- Tiens, bouffe ça !
J’avale, dégluti, j’en ai plein la bouche, ma langue est enduite de son sperme. Carole récupère, reste étendue cuisses ouvertes, ventre exposé, pantelante, elle a eu son compte. Il la regarde, sort de ma bouche, me lâche la tête, du foutre coule au coin de mes lèvres, je m’essuie avec le dos de la main. Il passe rapidement au dessus d’elle, appuie le gland sur sa bouche :
- T’en veux toi aussi ?
Elle ouvre la bouche, absorbe le gland, lui tient la grappe alors qu’en quelques soubresauts, dans un grognement, il finit de se vider. Elle aussi en a plein la bouche, déglutit, sort la langue, lèche le méat, suce le gland. Je n’en crois pas mes yeux, bon sang qu’est ce qu’il lui en reste dans les couilles ! Il se remet debout, nous regarde, je pense que cette fois il est vide. On est là, toutes les deux sur le lit, ventre à l’air, cuisses écartées, sexe exposé.
- Bon, j’ai perdu trop de temps avec vous, j’espère que vous êtes satisfaites !
Il range son attirail dans son slip, remonte son pantalon, se prépare à nous quitter. On se lève, Carole rabat sa jupe, j’enfile ma culotte, laisse retomber ma jupe. Nous voilà présentables. Il s’apprête à sortir, se retourne vers moi :
- Surtout motus, tu m’as pas vu !
- J’suis pas dingue ! J’vais pas dire à ma mère que son mari m’a enfilé sa queue jusqu’aux couilles et a déchargé dans ma bouche. Elle risque de nous virer tous les deux ! Tu sais j’ai envie de ta queue depuis qu’on s’est rencontré dans le couloir alors qu’on était tous les deux à poil. J’avais 18 ans. Cette nuit là j’ai très mal dormi, j’ai senti qu’il fallait qu’un jour tu me pénètres. T’as raison de te taper ma copine, elle en vaut la peine.
- Bon, arrête avec ça, ton envie est satisfaite, c’est la première mais aussi la dernière fois que je te baise !
- Pourquoi ? T’aimes pas mon cul ?
- Officiellement t’es ma fille, j’dois pas !
- T’es venu comment ?
- J’ai la voiture, je vais au magasin de bricolage puis au centre commercial !
- Si ça ne te dérange pas, je viens avec toi, tu m’as rencontré là bas, je suis ton alibi pour le temps que tu as passé à nous sauter !
- Oh, tu sais, avec la circulation et les courses que j’ai à faire, je suis pas à une demi-heure près !
Il prend la veste qu’il a déposé sur le dossier de la chaise en arrivant. Je récupère mon blouson, mon sac à dos. On dit au revoir à Carole :
- Merci, à quand vous voulez !
- On verra ça, mais j’aimerais que tu sois seule !
- Elle est là tout à fait par hasard !
Je le suis, on monte dans la voiture, il démarre direction les magasins grandes surfaces. Pendant le trajet je pose une main sur sa cuisse, il n’a pas l’air d’y prêter attention, ne réagit pas. A un arrêt au feu rouge, je la glisse dans l’entrejambes, serre, toujours pas de réaction, il reste silencieux, m’ignore. Pendant qu’il conduit, je pelote doucement l’endroit stratégique. Au second feu rouge, c’est plus fort que moi, j’ouvre la braguette au moment où il redémarre, glisse ma main dans l’entrejambe du slip, touche le bout du gland
- T’es pas possible, tu vas me faire avoir un accident, vire ta patte de là !
Je ne l’écoute pas, saisie la queue. Elle est raide, il bande ! Je le branle doucement, agasse le gland, la queue grossit de plus en plus.
- Bon Dieu ,vire ta patte ou j’te débarque !
On arrive, j’enlève ma main, referme son pantalon. On fait les courses ensemble, il a l’air goguenard, j’ai l’impression que je suis allée trop loin, j’ai gâché toutes mes chances, Il ne voudra plus me sauter. Aujourd’hui j’ai réalisé mon fantasme, le prendre à ma mère au moins une fois ! Depuis le jour où j’ai réussi à le sucer, il y a de cela 3 ou 4 ans, j’ai eu peu d’occasions de me retrouver seule avec lui, et surtout de parler cul ! J’en profite, le sujet n’est plus tabou, il vient de me la rentrer pour la première fois. Pendant le retour à la maison, dans la voiture, je lui raconte :
- Je ne te l’ai jamais dis, j’avais alors 12 ans, un après midi je suis rentrée plus tôt à la maison parce qu’un prof était absent.
La porte de votre chambre était entrouverte. J’ai entendu du bruit, j’ai regardé ce qui se passait. Vous étiez tous les deux à poil sur le lit en train de faire l’amour. Maman était à cheval sur toi, je la voyais de dos. Elle montait et descendait sur ta queue. Puis elle s’est retournée face à moi. Et là j’ai vu ta queue sortir d’elle, elle m’a parue énorme. Lorsqu’elle l’a fait pénétrer de nouveau en elle, je me suis demandé comment un tel engin pouvait entrer aussi facilement dans une femme. C’était la première fois que je voyais une bite en érection, je te jure que ça m’a troublé ! Et quand il y a 3 ans maman m’a dit que tu n’étais pas mon géniteur, ce jour là j’ai repensé à ta queue, je me suis promis de t’avoir un jour en moi. Aujourd’hui c’est chose faite !
- Bon et alors, on va pas épiloguer là dessus!
- Je ne savais pas que tu allais passer chez Carole.
- J’aurais dû la prévenir, c’est de ma faute !
- Elle est ta maîtresse depuis quand ? Elle ne me l’a pas dit !
- Ca ne te regarde pas !
On arrive, il gare la voiture devant le café, je l’aide à rentrer les courses. Ma mère est étonnée de nous voir arriver ensemble. Elle vient nous voir à la cuisine, devant son air interrogateur mon père lui dit
- Je l’ai rencontrée au super-marché, elle traînait dans les rayons !
Je monte dans ma chambre, m’allonge sur mon lit, repense à ce qu’il vient de se passer ! Décidément je préfère les hommes mûrs ! Mais celui là m’est, en théorie, interdit.
Un mois se passe, je vais au boulot, rencontre mes parents le soir, on dîne ensemble, mon père n’a rien changé dans son attitude envers moi. Un soir on est seuls dans le salon, on regarde la télé. Ma mère s’affaire en bas, range, fait un peu de ménage après la fermeture du café. Je lui dis :
- Samedi Carole va chez ses parents. Elle ne rentrera que tard le soir. J’ai sa clé, je vais y aller vers 2 h, elle est au courant !
- Et alors, qu’est ce que tu veux qu’ça m’fasse !
- Je te dis ça à tout hasard !
Pas d’autres commentaires, ma mère vient de nous rejoindre, après le film je les laisse tous les deux, vais me coucher. J’ai encore envie de lui !

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