Aventure d'une Lycéenne

- Par l'auteur HDS Misskenji -
Récit érotique écrit par Misskenji [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Aventure d'une Lycéenne Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Aventure d'une Lycéenne
Cette histoire s’est passée quand j’avais 17 ans. Je m’appelle Pauline. J’étais au lycée, et je faisais un stage de 1 mois en entreprise près de Lille en hôtellerie. J’étais avec deux garçons Olivier et Arnaud. Arnaud était en salle, Olivier en cuisine, et moi hôtesse d’accueil. Huit jours se sont passés sans rien de particulier ne se passent.
Début de la deuxième semaine. Le service était terminé. Olivier finissait de nettoyer la cuisine tandis qu’Arnaud et moi discutions avec le veilleur de nuit à l’accueil. Très vite la discussion a tourné sur le sexe. Je parlais de ce que je faisais comme position avec mon mec. Arnaud participait que très peu dans la discussion, car à 18 ans il était encore puceau. Il était gêné dans nos dialogues, et ça se voyait sur son visage.
A un moment je me suis retournée vers lui, et j’ai dis :
« Qu’es-ce que t’en pense Arnaud ? En parlant de mon copain.
-Euh oui…Tu as raison ! A- t-il bafouillé, terriblement confus.
-Tu n’es pas très branché sexe ! Ai-je répliqué.
-Si si
-Je suis sûr que si je baisse ton pantalon, il y a ton sexe qui va se lever ! Allez viens avec moi dans la chambre » en lui tendant la main pour lui faire signe de me suivre. Il m’a suivi comme un zombie, incapable de s’arrêter. Dans l’ascenseur qui nous amenaient dans la chambre, je lui ai demandais si il était puceau, et il a répondu timidement et très gêné par l’affirmative. Je lui ai sourit en lui disant que ça serait meilleur pour lui.
On n’est rentré dans sa chambre. Et là je me suis jetée à son cou et je l’ai embrassé. Ma langue forçait le passage pour atteindre la sienne. On s’est embrassés pendant 5 bonnes minutes, en nous caressant à travers nos vêtements. Ses mains ont commencé à caresser mes cheveux doux, puis mes seins fermes, pour finir il a commencé à glisser timidement ses mains sur mes fesses rebondies en les passant sous ma jupe.
Je me suis écartée, puis agenouillé devant lui. Et là j’ai ouvert sa braguette de son jean et j’ai sorti sa queue de son caleçon. Je l’ai sucé en massant ses couilles toutes dures. J’ai délicieusement tété son gland avant de faire aller et venir mes lèvres serrées et douces le long de sa tige. Ses mains sur mes cheveux, il maintenait instinctivement ma tête pour que je continue à le sucer. « Oh oui ! C’est bon ! Je…. » Ai-t-il murmuré en agitant son ventre d’avant en arrière. Plus capable de se retenir, il a lâché de copieuses giclées dans ma gorge. Son excitation était telle qu’il sorti de ma bouche, et son sperme coula un peu sur mon cou et mon chemiser… j’ai tout bu avant de lécher avec gourmandise le sperme qui coulait sur mon gland.
Je me suis levé et Je lui ai dit : « Je t’ai donné du bien, tu vas me rendre la pareille ! »
J’ai retiré ma jupe et ma culotte noire en dentelle, et je me suis allongée sur mon lit. Ensuite je lui ai dit : « Fait de moi ce que tu veux. Mais uniquement avec tes mains et ta langue pour le moment ! » Il s’est installé entre mes jambes pour d’abord m’embrasser sur la bouche et mon cou. Ensuite ses mains ont arraché mon chemisier et détaché mon soutien-gorge libérant mes deux magnifiques seins bien fermes. Il les a embrassés, léchés, et il a aussi mordillait mes tétons. Il descendu sa langue sur mon ventre, en passant par mon nombril, pour finir par mon sexe. Sur le bord du lit, il a léché mon sexe en enfonçant bien sa langue sur les replis de mon vagin, mâchant mes petites lèvres et suçant mon clitoris. J’ai passé mes jambes autour de son cou, et avec mes mains, j’ai maintenu sa tête entre mes cuisses pendant 10 minutes environ. Je mouillais copieusement en gémissant la tête à l’envers.
Une fois ma jouissance apaisée, je me suis relevé, et je lui ai ordonné de se déshabiller entièrement, ce qu’il fit très vite.
Je me suis assise sur le bureau, et je l’ai invité à venir m’installer entre mes cuisses repliées.
J’ai pris sa queue pour l’ajuster au bord de mon vagin. Instinctivement, il a essayé de l’enfoncer plus loin. Mais je l’ai retenu en tenant sa verge entre mes doigts, laissant insinuer mes lèvres intimes. L’orgasme m’ayant emportée, j’ai replié mes jambes. «
Maintenant baise-moi ! »Ai-je ordonné. Arnaud s’est enfoncé d’un coup dans mon ventre. Il me tenait par la taille tandis que je passais mes bras autour de son cou et entoura sa taille avec mes jambes pour qu’il reste en moi. Ensuite il m’a porté jusqu’au lit en me portant par les fesses. Il m’a allongé. J’ai passé mes jambes sur ses épaules, et on a continué à faire l’amour. Les spasmes de mon vagin se sont faits plus violents. C’était comme si j’aspirais son sexe pour le garder au fond de mon ventre. Il a fait aller et venir sa verge, d’abord lentement, avant d’accélérer la cadence de son ventre. J’aurais voulu que ça dure plus longtemps, mais pour lui ce n’était plus possible de se retenir. Il lâchait de longues salves dans mon vagin serré. J’ai pressé ses bourses, comme pour les vider entièrement. J’ai joui alors que jaillissaient ses dernières giclées.
Il s’est écroulé sur ma douce poitrine, la queue encore enfouie dans mon sexe. Quand il s’est retiré, je suis restée un instant étendue sur le lit les jambes écartées, avec du sperme qui coulait le long de mes cuisses.
A ce moment là, son copain, Olivier est rentré dans la chambre, et quand il m’a vu entendue à poil sur le lit, il est resté figé sur place pendant dix secondes. Je lui ai dit : « Viens me la mettre, Olivier. J’en ai encore besoin. »
Olivier s’approcha de moi, baisa son pantalon et son slip sur ses chevilles, et il glissa sa queue déjà toute dure dans ma grotte secrète. Il agita son bassin comme un fou, et comme il était puceau lui aussi comme Arnaud, il ne mis pas longtemps à se vider à son tour dans mon sexe.
Après ces coups de bites dévastateurs de leurs parts, je suis sorti de leur chambre en titubant. Une fois rentré dans la mienne, je suis allé m’allonger sur mon lit en fumant une cigarette bien mérité.

Fin de l’épisode 1

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