Premières soumissions suite

- Par l'auteur HDS Probus -
Récit érotique écrit par Probus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Premières soumissions    suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Premières soumissions suite
<p>Premières soumissions suite

Dimanche treize heure, je suis dans la grange impatient, je me met nu, ouvre un battant de la porte. Il est trop tôt, mais j'attache le poids à mes couilles, je fouille dans les tiroirs et les caisses. Être nu, un poids aux testicules m'excite, je suis en érection. Les minutes s'écoulent, treize heures trente. Je lubrifie mon cul et le gode, que j'enfonce dans l'anus, il est vraiment gros j'ai des difficulté à le faire entrer entièrement, j'insiste, ça y est il est en moi. J'avance sur le chemin les jambes écartées, pour éviter le poids qui cogne sur mes tibias, je suis à l'endroit ou j'étais hier, je met la cagoule, ferme les menottes sur mes poignets.
J'attends, c'est long, j'entends des pas, quelqu'un me bouche les oreilles, je suis dans un silence total. On tire sur mes couilles, j'avance je ne sais pas vers quoi. Je suis complètement coupé du monde, Quelque chose me pique les jambes le ventre le sexe les fesses, je suis dans les orties, le poids est lâché brusquement, mes testicules balancent entraînées par le poids. Je n'ose pas bouger si j'avance je me pique, quelqu'un me saisie un bras, m'aide à sortir des orties, j'ai tout le bas du corps jusqu'au milieu du ventre qui me pique. Mes mains sont détachées, Je suis poussé, pour me faire mettre à quatre pattes, on me place un collier et une laisse, quelqu'un tire pour me faire avancer, quelques coups de baguette sur les fesses et les couilles, m'obligent à aller plus vite, quelqu'un monte à califourchon sur mon dos me donne quelques coups sur les fesses avec le plat de la main. On me fait asseoir, sur l'herbe, les jambes allongées et écartées. Le gode s'enfonce à fond en moi, mon sexe et soulevé, par une traction sur la corde, qui supporte le poids. Un objet froid est placé sous mon sexe (certainement une pierre plate) puis il est piétiné, la corde est maintenue tendue, pour empêcher mes couilles de s'échapper. Un pied nu s'appuie dessus, mes testicules sont comprimés. Ces humiliations durent un long moment. Enfin on me met debout, j'ai les main attachées en hauteur, une de mes jambes est soulevé et la cheville est attachée à hauteur de ma tête, la deuxième jambe subit le même sort. J'imagine le spectacle que je donne devant des inconnus. Un poids aux testicules l'anus distendu par un gode. Quelqu’un me palpe les couilles, le poids est remplacé par un plus lourd. Le gode est retiré brusquement, je me sens ouvert. Emilie vient de me retirer la cagoule, mais pas les bouchons dans les oreilles. Trois jeunes filles du même âge qu'Emilie, sont devant moi et m'observent. A cette vue j'ai une érection, Une des filles s'avance, prend mon sexe et me masturbe, lentement. Emilie enfile un gant de chirurgien, enfonce un doigt dans mon anus, palpe l'intérieur à la recherche de la prostate, la fille qui me masturbe lâche mon sexe, Emilie trouve et commence un massage de la prostate, quelques instants plus tard, elle passe le relais à une autre fille. Un plaisir diffus m'envahit, je suis surpris de voir mon sperme s'écouler sans orgasme. Cela coule lentement sans saccade. Emilie prend mon sexe à la base, serre et fait coulisser sa main, le long de mon sexe, le reste de sperme sort, elle me trait comme elle le ferait avec le pie d'une vache.
J'ai éjaculé sans véritable plaisir physique. L'humiliation est totale, devant ces quatre jeunes femmes, habillées, QUEL PLAISIR, mais où ont elles appris cela ? Elles discutent, je n'entends rien de ce quelles disent. Je les voie partir, me laissant seul, oreilles bouchées, suspendu sur la charpente de la grange, avec la porte grande ouverte. Le temps passe, je commence à douter de les voir revenir, mes couilles pendent à plusieurs centimètres sous moi, elles me font mal, j'aimerais enlever le poids, les mouvements que je fais pour me détacher les mains, ne font que le faire balancer. Je tourne la tête vers la porte, Marie apparaît dans l'encadrement, elle me parle, je n’entends rien. Elle débouche mes oreilles, enfin j'entends

Marie -- Comment trouves tu les copines de ma fille, elle sont belles, tu as eu de la chance Emilie les avait invitées pour deux jours. Malheureusement Martine devait être rentré pour dix huit heures, et elles ont une heure de route. Tu as aimé le massage de
ta prostate, c'est moi qui leur ai expliqué comment faire.

Moi -- S'il vous plaît, détachez moi, mes couilles font mal...
Marie -- Emilie dit au revoir à ses copines, elle revient on va attendre un peu, je voie que ton cul est libre, je vais remédier à cela.

Elle met un gant, enfonce deux doigts, va et vient, met ses doigt en forme de cône, et enfonce, lentement, avec un mouvement de recul, avant chaque progression, Emilie arrive, au moment ou la main de Marie entre entièrement.

Marie -- tu es longue, tes copines, vont être en retard.
Emilie -- Sabine n'en revenait pas de l'avoir vu éjaculer de cette façon, simplement en lui caressant l'intérieur du cul, elles sont partante pour une autre séance.
Marie la main toujours enfoncée en moi se retourne et dit :
-- Si Paul veut bien on peut organiser une autre séance, mais pas Dimanche prochain, j'ai d'autres projets.
Emilie -- Tu as réussis a enfoncer la main entièrement, je peut essayer ?

Marie retire sa main, Emilie met un gant et commence l'intromission, sa main entre aupremier essais. Il est vrai que maintenant je suis grand ouvert.

Marie -- Il a osé me demander de retirer le poids de ses couilles, cela mérite une punition, Emilie as tu une idée ?
Emilie -- Si on lui donne des coups de baguette, sur sa verge et ses couilles, dans la position où il est, ça va être facile.

Emilie sort sa main de mon cul, prend la baguette que j'ai coupée hier, et commence à frapper mes couilles distendues, et mon sexe qui pend lamentablement, ce qui provoque le balancement du poids, cela devient insupportable. J’aimerais arrêter, mais
je n'ose rien dire car cela aurait pour conséquence de prolonger mon supplice

Marie -- Tu peut arrêter (Et s'adressant à moi) Pour la fin de semaine prochaine j'ai invité quelques copines, c'était prévu de longue date, je n'imaginais pas te rencontrer, je vais profiter de toi pour leur faire une surprise, est tu d'accord ?

Pressé d'être détaché, je dit oui, elle vient vers moi, elle va me détacher. Non, elle relance le poids, et part rassembler ses affaires, ferme son sac, revient vers moi, me détache une jambe, puis la seconde, ouf j'ai les pieds qui posent sur le sol. Elle va s'asseoir dans la paille près d'Emilie et dit :

-- Tu penses qu'il plaira à mes copines ? J'aurai préféré qu'il soit plus jeune,.
Emilie -- Il est pas mal, il a un gros sexe, et il aime être humilié.
Marie -- Il bande dur et avec une petite pilule il tiendra deux fois une journée.

Elle font exprès de faire durer le plaisir (pour elles) Leur conversation est humiliante, plus que me faire enculer en public, en attendant j'ai les couilles qui supportent quatre kilos. Elles s'avancent toutes les deux, elles me détachent les bras. Mes mains se dirigent vers mon bas ventre.

Marie -- Non, attends que nous soyons partis, samedi mes copines arrivent vers seize heures, soit là une heure avant pour te préparer, tu es bon bricoleur, fait moi plaisir, fabrique quelques objets de torture à utiliser sur toi.

Elles sont parties, je libère enfin mes testicules, et je pense déjà à samedi, j'ai une semaine pour essayer de résoudre mes problèmes, et fabriquer les objets demandés.
Le lundi soir je trouve dans ma boite aux lettres, un mot de Marie, il est écrit : <fabrique une planche destinée à emprisonner ton sexe, pour faciliter son piétinement, des anneaux pour distendre tes testicules, avec une vis ce serait bien, pour le reste tu as le choix. Avec moi et Emilie nous serons neuf femmes, imagine les humiliations, à samedi je viens te chercher à quinze heures>



A suivre


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