Mes légionnaires

- Par l'auteur HDS QKC -
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes légionnaires Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes légionnaires
J'étais debout au comptoir du bistrot en train de boire un café. Assis à une table, deux légionnaires discutaient en jetant des coups d'oeil discrets dans ma direction. L'un d'eux, la main sous la table, se frottait l'entrejambe. Quand je sortis, ils se levèrent aussi et m'emboîtèrent le pas. Ils avaient l'air quelque peu avinés. Bientôt, ils me rejoignirent et m'attrapèrent par les bras. Aussitôt, une main large et puissante se posa sur mes fesses.
- Avec un cul pareil, c'est dangereux pour toi de sortir la nuit ! dit l'un d'eux. Je suis sûr que t'habites le quartier. Tu vas nous amener chez toi, hein ?
- Mais, ça va pas ! Hurlai-je.
Le deuxième bidasse plaqua sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier.
- Ferme-là ! chuchota-t-il à mon oreille. Tu sais, on peut faire ça ici. Ca nous gênerait pas. Sa main malaxait déjà mon globe fessier.
Soudain, avisant une porte ouverte, ils me poussèrent à l'intérieur. Celui qui me tenait par le bras, le passa sous mes aisselles tandis que l'autre, lâchant mes fesses, déboutonna mon pantalon et le baissa jusqu'aux chevilles. Il se mit a caresser mes fesses et mes cuisses et, relevant son visage vers son complice, il dit :
- Putain, t'avais raison ! Il a la peau douce comme une gonzesse. Et son cul, bordel, moulé pour des mains d'homme.
Il ouvrit sa braguette et un solide braquemart jaillit de son pantalon. Celui qui me tenait par les aisselles, passa son bras autour de ma taille et ses jambes devant les miennes, empêchant tout mouvement de ma part. Son bassin collé à mes fesses, je sentais sa grosse queue frémir contre mon cul. Sa main quitta ma bouche pour se poser sur ma nuque. D'un geste puissant, il me courba en avant, la tête en direction du membre de son accolyte. Aidé de mes mains libres, j'essayai de repousser l'adepte de la pipe. Celui-ci me saisit par les poignets et tira sur mes bras. Le deuxième tira violemment sur mon slip et l'arracha. Avec un doigt, il enfonça le tissu dans mon trou du cul et le brandit devant mes yeux. Il y avait de la merde dessus.
- Tu suces ou je te fous ça dans la bouche ! Eructa-t-il.
Je desserrais les dents et avalais la bite militaire. Une fois dans ma bouche, le bidasse posa mes mains sur ses hanches et une des siennes sur ma nuque. Il appuya fortement pour me faire bouffer sa queue toute entière. A moitié étouffé, mes lèvres se collèrent sur son pubis abondamment poilu.
Le képi blanc, derrière moi, eut un geste de recul et je devinai que lui aussi venait de libérer son bâton d'amour. A ce moment précis, je sentis un filet liquide s'insinuer entre mes fesses. Il venait de cracher. Avec le gland de son sexe, il badigeonna mon petit trou de salive, avant de s'y introduire.
Il m'avait bien semblé tout à l'heure, quand le mec était collé à moi, qu'il avait un gros manche. J'en eus la confirmation quand il essaya de pousser sa queue dans mon cul. Le gland était si gros qu'il eu du mal à pénêtrer. Il maintint ma bouche enfournant la bite de son copain pour m'empêcher de crier et poussa progressivement mais avec puissance. Je sentais le gland progresser millimètre par millimètre. Je transpirais sous la douleur. La bite enfoncée à fond dans ma bouche empêchait le moindre son. Quand enfin le gland dépassa l'anneau étroit de mon anus, la puissance de la poussée projeta les hanches de mon enculeur en avant. Son bassin heurta mes fesses avec tant de force que son pieu s'enfonça en entier entre mes reins et que le gland de la queue que j'avais dans la bouche força l'entrée de mon oesophage, provoquant au passage un début de nausée.
Quand le soldat dans mon cul commença à s'agiter, le gland dans ma gorge irrita mon tube digestif. J'avais hâte qu'ils en finissent. Le membre dans mon cul était si gros que ça me rappelait mon service militaire à moi, quand je nettoyai mon fusil. On introduisait dans le canon, une tige garnie de poils en plastique trés dur appelée écouvillon. Le diamètre de l'instrument était supèrieur à celui du tube afin de bien en frotter les parois. L'écouvillon de chair était énorme. Bientôt, le mec dans ma bouche, inonda mon palais de son sperme et l'autre remplit mon cul. Ce que je n'avais pas prévu, c'était la sortie.Le gland de l'occupant de mon cul avait eu du mal à entrer, la sortie fut plus délicate encore. N'y arrivant pas, il demanda à son corréligionnaire de me tenir par les hanches. Les mains posées sur mon cul, il tira en arrière. Le gland bien plus gros que mon trou était retenu par l'étroitesse de mon anneau culier. Bientôt, sous la force du guerrier enculeur, l'anus céda. Ca me rappelait l'étripage des sardines dans la cuisine de ma mère. J'ai eu l'impression que mes boyaux sortaient avec le sexe. Quand ils me relevèrent, debout face à eux, ils exhibèrent fièrement leurs instruments. L'un était couvert de sang, l'autre de sperme. Ils se rhabillèrent. En sortant, l'un d'eux se retourna et lâcha :
- Si un jour, ou une nuit, dit-il avec un clin d'oeil, tu repasses par ici, fais-nous signe.
Et ils disparurent.
- Salauds ! Pensais-je. Ils ne m'ont même pas demandé si j'avais aimé.
Ils ne se sont même pas aperçus de la grosse tache de sperme sur les carreaux. Vu qu'ils ont éjaculé en moi, ça ne pouvait venir que de moi. Pourtant, quand j'étais face à eux, ils n'ont pas pu rater la formidable érection prouvant ma reconnaissance. Ou alors, ils s'en foutaient.
Je suis repassé plus tard à cet endroit, le temps de transformer en souvenir le plaisir que j'avais pris cette nuit-là, mais, après mon cinquième passage, je me suis dit qu'ils avaient été mutés ou bien déménagé.

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Texte coquin : Mes légionnaires
Histoire sexe : Une rose rouge
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