DANS LA VOITURE DANS UN PARKING
Récit érotique écrit par STEVE [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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DANS LA VOITURE DANS UN PARKING
Dans une voiture sur le parking d'un super marché.
J’avais donné rdv à Marianne une femme mariée, rencontrée lors d'un voyage en crête.
Jolie, blonde cheveux courts à la recherche d'une aventure.
Les clients allaient et venaient autour de la voiture et nous commençons à nous embrasser, je glissais doucement ma main sous son pull et lui dégrafait son soutien gorge ; je lui caressais ses seins, petits, mais fermes. Je lui suçais les mamelons et les roulais entre mes doigts, je sentais son désir monter car elle écarta les jambes et commença à onduler des hanches .Une voiture vint stationner prés de notre véhicule. Elle me dit sa peur qu'on la reconnaisse et qu'on nous surprenne, je la rassurais et je senti sa main posée sur ma cuisse monter timidement vers ma braguette, je bandais et elle me dit : veux tu que je te caresse ? Tu bandes mon chéri ! Je vais te branler mais je ne te sucerais pas, je n'ai jamais sucé même pas mon mari…
Ses petits doigts cherchaient doucement à ouvrir ma braguette, elle trouva facilement mon sexe gorgé de sang, elle l'entoura avec douceur et le sorti de mon pantalon en pratiquant un va et vient régulier.
Ma main s'aventura entre ses cuisses, elle écarta les jambes, mes doigts touchaient doucement sa petite culotte elle était mouillée, j’écartais délicatement le tissu et cherchais son clito, je me baissais et le lui léchait en le mordillant…
L’odeur de sa mouille me donna l'envie de gouter à sa liqueur vaginale.
Ma langue dans sa petite chatte la faisait gémir de plaisir et ses mains cherchaient à libérer mon sexe et mes couilles. Dans ces moments de jouissances, le regard des passants nous importait peu ; Marianne me pelotait les boules je sentais le désir monter et me retenait de jouir voulant profiter le plus longtemps de ces moments délicieux...
Marianne avait baissé mon slip à mes pieds et avait quitté sa culotte qui gisait sur le plancher de la voiture. La pudeur avait disparue, en revanche notre excitation fut telle que nous cherchions à nous allonger dans la voiture j’actionnais le siège au maximum et attirais Marianne sur moi.
Je lui demandais à nouveau si elle voulait me sucer, elle hocha négativement la tête ; sa main qui me massait les couilles pris mon gland et l'enfonça dans sa chatte d'un coup de rein je la baisais au plus profond, ses petits cris me firent bander et elle me répondit en serrant son vagin sur mon gland.
"Va y jouis va y baises-moi défonces- moi la chatte je te veux mon amour, je mouille comme une salope ! Elle me prit les couilles et je lâchais un jet de sperme, ses doigts me labouraient les fesses, en gémissant de plaisir d'un seul coup elle se déroba sous moi et quelle fut ma surprise… Me tenant le sexe qui débandait après avoir giclé trois fois de le porter à ses lèvres et de le lécher en le branlant, ce geste me redonna la vigueur qu’elle espérait et forçait ses lèvres mais sa bouche resta fermée… Je déchargeais sur ses lèvres et une giclée blanche coula sur son visage, elle étala ma semence sur joues rougies en souriant....
J’avais donné rdv à Marianne une femme mariée, rencontrée lors d'un voyage en crête.
Jolie, blonde cheveux courts à la recherche d'une aventure.
Les clients allaient et venaient autour de la voiture et nous commençons à nous embrasser, je glissais doucement ma main sous son pull et lui dégrafait son soutien gorge ; je lui caressais ses seins, petits, mais fermes. Je lui suçais les mamelons et les roulais entre mes doigts, je sentais son désir monter car elle écarta les jambes et commença à onduler des hanches .Une voiture vint stationner prés de notre véhicule. Elle me dit sa peur qu'on la reconnaisse et qu'on nous surprenne, je la rassurais et je senti sa main posée sur ma cuisse monter timidement vers ma braguette, je bandais et elle me dit : veux tu que je te caresse ? Tu bandes mon chéri ! Je vais te branler mais je ne te sucerais pas, je n'ai jamais sucé même pas mon mari…
Ses petits doigts cherchaient doucement à ouvrir ma braguette, elle trouva facilement mon sexe gorgé de sang, elle l'entoura avec douceur et le sorti de mon pantalon en pratiquant un va et vient régulier.
Ma main s'aventura entre ses cuisses, elle écarta les jambes, mes doigts touchaient doucement sa petite culotte elle était mouillée, j’écartais délicatement le tissu et cherchais son clito, je me baissais et le lui léchait en le mordillant…
L’odeur de sa mouille me donna l'envie de gouter à sa liqueur vaginale.
Ma langue dans sa petite chatte la faisait gémir de plaisir et ses mains cherchaient à libérer mon sexe et mes couilles. Dans ces moments de jouissances, le regard des passants nous importait peu ; Marianne me pelotait les boules je sentais le désir monter et me retenait de jouir voulant profiter le plus longtemps de ces moments délicieux...
Marianne avait baissé mon slip à mes pieds et avait quitté sa culotte qui gisait sur le plancher de la voiture. La pudeur avait disparue, en revanche notre excitation fut telle que nous cherchions à nous allonger dans la voiture j’actionnais le siège au maximum et attirais Marianne sur moi.
Je lui demandais à nouveau si elle voulait me sucer, elle hocha négativement la tête ; sa main qui me massait les couilles pris mon gland et l'enfonça dans sa chatte d'un coup de rein je la baisais au plus profond, ses petits cris me firent bander et elle me répondit en serrant son vagin sur mon gland.
"Va y jouis va y baises-moi défonces- moi la chatte je te veux mon amour, je mouille comme une salope ! Elle me prit les couilles et je lâchais un jet de sperme, ses doigts me labouraient les fesses, en gémissant de plaisir d'un seul coup elle se déroba sous moi et quelle fut ma surprise… Me tenant le sexe qui débandait après avoir giclé trois fois de le porter à ses lèvres et de le lécher en le branlant, ce geste me redonna la vigueur qu’elle espérait et forçait ses lèvres mais sa bouche resta fermée… Je déchargeais sur ses lèvres et une giclée blanche coula sur son visage, elle étala ma semence sur joues rougies en souriant....
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