Les fesses de ma voisine

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les fesses de ma voisine Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les fesses de ma voisine
J'ai une vue directe depuis mon jardin sur celui de ma voisine: une femme d'une quarantaine d'années, toujours élégante lorsqu'elle sort de chez elle. Elégante pais pas très habillée. J'ai pu souvent la voir en mini jupe très courte, avec un chemisier en dentelle à travers lequel on pouvait voir les aréoles de ses seins. Nous nous saluons si nous nous rencontrons, sans plus. J'aimerai assez la connaitre d'avantage pour lui présenter de près mes hommages. Je ne pensais pas la voir de très près, mais nos jardins n'étaient séparés que par une haie plutôt malingre. Un jour, c'était l'été, je prenais le frais sous un arbre et j'entendais un léger bruit dans son propre jardin. Curieux j'eus la surprise de voir ma voisine en petite tenue: un string et un t-shirt léger, la surprise ce n'était pas de la v Il n'était pas besoin de me lever: il suffisait que je tourne la tête pour la voir. Je l'épiais un peu pour voir ce qu'elle faisait: elle s'était assise sur une chaise longue et rêvassait. et soudain elle enlevait ce qu'elle portait et elle se caressait les seins. Elle levait la tête et me voyant, me souriait sans cesser son manège. Elle portait une main sur son bas ventre, écartais ses jambes largement en entamais une masturbation magistrale, toujours en me regardant. Je bandais fortement: la vue d'une femme qui se donne du plaisir est pour moi une source inépuisable d'excitation.
Elle continuait de se branler et je la voyait se caresser le clitoris et mettre son autre main sur son cul. A présent elle se doigtait le con et avait deux doigts dans le cul. Son regard ne quittait pas le mien. Je n'y tenait plus et je commençais à me branler, sans me cacher. Maintenant nous nous regardions nous branler. Et je la voyait soudain se tendre: elle jouissant. J'accélérais ma cadence et jouissais également.
Je pensais toujours que j'aimerais bien l'avoir entre mes mains pour lui faire subir les derniers outrages. Je ne sais trop pourquoi, mais je m'approchais de la haie pour la voir de plus près. Elle en faisait autant. Elle avait la poitrine d'une jeune femme de 20 ans, un ventre légèrement bombé, des jambes parfaite et un sexe modérément poilu. Elle me regardait en détail mon sexe était mi bandé. J'osais enfin lui parler pour lui dire que je regrettais qu'il y eu une haie entre nous. Elle répondait que j'attende à ma porte d'entrée et qu'elle venait chez moi.
J'en était bouleversé parce que cette femme m'attirait sexuellement. En effet mois de 5 minutes après, elle sonnait à ma porte. J'allais ouvrir complètement nu et elle rentrait chez moi. Elle ne portait qu'une blouse ouverte qui laissait voir tous ses trésors. La porte fermée nous sommes tombé dans les bras l'un de l'autre. Nous échangions un baiser très long: nos langues fouillaient la bouche de l'autre et pendant ce temps nous cherchions l'intimité de l'autre: elle empoignait à pleine main ma bite la faisait bander complètement et la branlait avec une science de la chose qui était rare chez une femme. J'avais mis ma main sur son clitoris et le caressais très lentement. Elle tendait son bas ventre vers moi pour profiter de mon contact sur son bouton. Elle jouissait rapidement et aussitôt après son orgasme elle venait sucer ma pine. Je sentais ses lèvres sur mon gland et sa langue caresser mon dard. Elle me donnait un plaisir rare: c'était une déesse qui me suçait, ce ne pouvait pas être un être humain. Elle dosait ses caresses pour que mon plaisir n'aille pas en s'apaisant. Elle était la maîtresse de mon orgasme. Brusquement elle décidait de me donner le coup de grâce: elle accélérait ses mouvements et mon sperme jaillissait dans sa bouche.
Nous n'avons parlé qu'après avoir jouit. Elle voulait boire un café, et elle me disait s'être régalée d'avoir avalé mon sperme. Mais le café ce n'était pas pour faire passer le gout de ma semence, simplement elle n'en avait pas pris chez elle. Un nescafé suffit, heureusement pour moi.
Elle enlevait enfin sa blouse et je pouvais la revoir, de près cette fois totalement nue. Elle me plaisait de plus en plus. Je me mettais derrière elle, ma bite pratiquement entre ses fesses et mes main caressant chacune un sein. Elle faisait quelques mouvement pour mieux sentir ma bite sur son postérieur. Je descendais une main vers son con. Elle s'ouvrait devant mes caresses. je pouvais lui doigté le vagin et lui caresser le clitoris. Elle posait sa tête contre la mienne et gémissait doucement. Elle jouissait encore. Nous nous sommes retrouver face à face, nos lèvres soudées. Et elle me disait: Baise moi.
Mais ce qui m'attirait ce n'était pas particulièrement son con, mais son cul. Elle avait des fesses splendides que je me lassait pas de caresser. Je le lui disais et avec un sourire coquine elle me disait que pour elle c'était pareil, l'avoir dans le con ou le cul elle jouissait tout autan. Mais pour qu'elle ait plus de plaisir il fallait qu'elle mouille son cul. Pour celà elle prenant de sa cyprine et s'en barbouillait l'anus. Puis elle se mettait sur le ventre, les cuisses très largement ouvertes. Je me posais entre elles et c'est elle même qui guidait ma bite sur son cul. Je commençais la pénétration lentement. Mais c'est elle qui donnait le coup de rein pour que la bite rentre en elle. Je ne pensais pas qu'une telle femme puisse avoir tant de plaisir à se faire mettre dans le cul.
Elle jouissait deux ou trois fois avant que ma bite décharge. A chacune de ses jouissances, elle se plaignait doucement.
Nous avons repris un café avant de continuer. Elle me racontait ses première fois: sa première masturbation en voyant son frère baiser la bonne, la première fois qu'il avait baisé avec un cousin qui lui avait tout appris ou presque et la première fois avec une copine ce qu'elle avait aimè. Les orgasmes qu'elle avait eu avec son ex mari et ses masturbations actuelles. Je bandais et elle mouillait: nous étions prêt pour une autre baise. Cette fois je voulais la baiser normalement. Elle sur le dos, moi sur elle, ses jambes entourant mes hanches et ma bite dans son con. Notre duo se prêtait merveilleusement bien au délices de l'amour. Nous jouissions sans arrêt. Nos corps s'entendaient à merveille et l'un ou l'aitre nous sentions à l'avance le désir de l'autre. Ainsi je me couchais sur le dos, ma bite verticale: elle venait m'enjamber et s'empaler sur ma pine. J'étais dans son con et je mettais trois doigts dans son cul. Nous étions entièrement tournés vers l'amour , vers un érotisme extrême.
Nous allions prendre un bain ensemble et au lieu de nous laver normalement, nous baisions sans arrêt. Je me demandais comment je pouvais la baiser sans arrêt ou presque. Je crois que c'était un surexcitation qu'elle me donnait.
Elle baisait très bien et savait prendre son plaisir et surtout les rendre. La nuit tombait et elle voulait rester avec moi. mais chez elle cette fois. Je m'habillais d'un simple pantalon et d'un polo. Elle remettait sa blouse et nous avons recommençé nos baises. Nous avion en plus l'aide d'un gros godemiché. Elle tenait à me montrer comment elle se masturbait avec cet engin. Elle se couchait sur le lit, commençait à se caresser le clitoris, se mouillait le cul et s'enculait elle même. je lui demandais qui l'avait initié au plaisir de la sodomie. Ce n'étais pas difficile: son ex mari, ce n'était que le seule chose qu'il restait de lui. Je lui proposait de tenter la double pénétration, ne serait-ce que pour savoir si ça lui plairait ou non. Vicieuse elle acceptait et je me couchait sur le dos, elle venait prendre ma pine dans son con. C'est moi qui manipulais le gode vers son cul. Je le posais sur l'anus et quand elle était prête, elle me demandait de le lui fourrer dans le cul. Je m'attendais à une réaction, mais pas à celle: elle poussait un cri de plaisir: mets moi la à fond. Oui, encule et baise moi ensemble, c'est extraordinaire. Fous moi en encore.
Une fois calmée, elle me racontait qu'elle avait eu le ventre plein de plaisir comme jamais. J'aimerai recommencer bientôt, enfin dessuite. Cette fois elle se mettait en levrette: le godemiché dans le con et moi qui l'enculait. Elle eu les mêmes réactions.
Enfin rassasiés l'un et l'autre, nous avons cessé de baiser.
La fin de l'histoire est que nous avons ouvert un portillon entre nos jardins et que nous baisons soit dehors, soit à l'intérieur, chez moi ou chez elle, mais toujours autan. Nous pensons avoir bientôt une maîtresse commune. Mais le choix sera très difficile puisqu'il faudra qu'elle soir aussi dépravée que nous

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