La première fois en public

- Par l'auteur HDS Capsule -
Récit érotique écrit par Capsule [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La première fois en public Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La première fois en public
C’est la première fois que je rentrais dans un établissement de ce genre, l’idée même de m’y rendre ne m’était jamais venue. Mon mari m’avait invitée au restaurant où nous avions mangé et bu plus que d’habitude. Pour l’occasion, j’avais mis une jupe mi-longue et un chemisier légèrement transparent afin qu’il puisse deviner mes tétons dressant à travers les bonnets de mon soutien gorge, modifiés pour cet usage, sous ma jupe, un collant ouvert et un string. Je pensais qu’en sortant, il me proposerait d’aller danser quelque part, comme nous le faisons souvent.
En montant dans la voiture, il me dit : « Que dirais-tu d’aller dans un club pour changer ? », prise de court et un peu émoustillée, je ne pus répondre que : « Pourquoi pas ! ». Chemin faisant, je me demandais ce que nous allions découvrir et voir là-bas, une certaine chaleur dans mon ventre trahissait l’excitation qui me gagnait. Arrivés au parking, mon mari fit le tour de la voiture pour fermer les portes de mon coté, et me pris par la main, comme s’il craignait que je ne change d’avis, ce qui n’était pas loin d’être le cas. N’ayant plus le choix, je me laissais guider jusqu’à la porte, et nous entrâmes.
L’éclairage tamisé était accueillant et intimiste, nous nous sommes débarrassé de nos manteaux au vestiaire et nous nous dirigeâmes vers une salle où trône une piste de danse, un Rock y était diffusé, nous nous sommes aussitôt mis à danser, nous continuâmes sur divers airs et rythmes. Un passage de Tangos que nous ne dansons pas, nous laissa un répit qui nous permit de chercher un endroit où nous asseoir. C’est là que je me rendis compte qu’une partie de la salle, dans la pénombre, était équipée de banquettes et de tables basses, dont certaines étaient déjà occupées. Nous en trouvâmes une nous convenant, une fois assis, on ne pouvait deviner que nos voisins immédiats.
Mon mari s’approcha alors de moi et m’embrassa fougueusement. Tandis que sa langue titillait la mienne, sa main flattant mon ventre remonta jusqu’à ma poitrine et commença à caresser mes seins à travers mon chemisier. Mes tétons durcirent rapidement, c’est alors que mon mari défit quelques boutons de mon chemisier et sa main se glissa sous le tissu, il fit alors rouler les pointes excitées entre ces doigts. J’aime particulièrement les caresses sur mes seins, aussi je me sentais de plus en plus excitée. Pendant ce temps, l’autre main de mon mari était passée dans mon dos et je fus surprise quand celle-ci libéra l’agrafe de mon soutien-gorge à travers mon chemisier, permettant ainsi à l’autre main de pétrir pleinement mes globes mammaires.
Mon mari abandonna alors ma bouche, il ouvrit un peu plus mon chemisier et commença à me titiller la pointe du sein gauche du bout de la langue, tandis que sa main continuait caresser mon sein droit. Cette caresse m’excite énormément et mon mari le sait. Sa langue abandonnant mon sein gauche, procure les mêmes stimuli au sein droit, tandis que sa main droite prend le relais sur le sein gauche. Le désir devient de plus en plus vif, sa main gauche, libérée, glisse jusqu’à mes genoux et remonte, petit à petit, en me caressant l’intérieur de la cuisse, entraînant le bas de ma jupe dans son mouvement, m’obligeant à ouvrir un peu les cuisses que je tenais l’une contre l’autre. C’est quand ses doigts arrivèrent en contact avec le tissu de mon string et appuyèrent sur ma fente qu’une piqûre de désir me fit frémir et que je réalisais que l’on pouvait voir le haut de mes cuisses et mes seins.
Je regardais autour de moi et à la table voisine je pus distinguer qu’un couple était occupé, une brune aux cheveux courts, le torse à l’air, était courbée sur le bas ventre de son partenaire, les mouvements de va et vient de sa tête ne laissant aucun doute sur la nature de son activité. La surprise de ce spectacle laissa à mon mari le loisir de me faire écarter un peu plus les cuisses, permettant à ces doigts de se glisser par le coté de mon string jusqu’à ma fente plus qu’humide. Mon mari se mit à faire glisser ses doigts de ma fente à mon clitoris, cette caresse me fit fondre et j’écartais encore un peu plus les cuisses. Ma voisine continuait à aller et venir sur le bas ventre de son partenaire, mais je pouvais maintenant voir ces fesses blanches mises à nu entre temps. Je voulu savoir dans quel état était mon mari, aussi je descendis la main vers sa braguette, mais surprise, j’entrais directement en contact avec sa queue dressée pointant hors de son pantalon.
Je souhaitais imiter ma voisine et le sucer, je repoussais mon mari et mettais son sexe dans ma bouche, lui, ne pouvant plus me caresser l’entrecuisse, me titilla encore la pointe des seins. Puis se dégageant, mon mari vint se mettre à genou face à moi, ces deux mains passant sous ma jupe retroussée à mi-cuisse, attrapèrent les deux cotés de mon string. Je comprenais bien où il voulait en venir, le couple à coté étant toujours aussi occupé et n’y tenant plus, je soulevais les fesses et mon mari fit glisser le maigre carré de tissu qui cachait mon intimité jusqu’à mes pieds, puis il mit mon string dans sa poche. Je me glissais au plus près du bord du divan, mon mari toujours à genou entre mes cuisses largement écartées maintenant, j’étais trop excitée, j’avais trop envie de sentir sa langue sur ma fente pour me soucier de ma pudeur. Mon mari remonta ma jupe jusqu’à la taille, mettant mon intimité offerte à nue et commença à me titiller le clitoris de la pointe de la langue tout en m’excitant la pointe des seins avec les doigts. Je me voyais offerte dans la pénombre et j’ai jouis, giclant mon liquide dans la bouche de mon mari, essayant de contenir mes râles. Celui-ci ramena une main entre mes cuisses et introduisit deux doigts dans mon vagin, leurs donnant un mouvement de va et vient, tout en continuant de me lécher le clitoris, je jouis à nouveau dans un bruit de clapotis, libérant des jets de liquide. Maintenant je voulais qu’il me prenne, qu’il enfonce sa queue au fond de mon ventre, je lui dis : « Viens. ». Il me regarda et dit : « Pas encore, allons danser plutôt. »
Il me fit mettre debout, ma jupe repris sa position décente, je refermais deux boutons de mon chemisier pendant que mon mari rangeait sa queue, il me prit la main pour m’entraîner vers la piste de danse avant que je ne puisse aller plus loin. Un Slow était en train de faire évoluer trois ou quatre couples, mon mari me serra contre lui et nous commençâmes à danser. Je sentais ma mouille me couler le long des cuisses, une de ses mains défit les deux boutons de mon chemisier et titilla à nouveau mes tétons tandis que l’autre appuyait sur mes fesses pour faire plaquer mon ventre sur sa queue que je sentais bien à travers l’étoffe. J’aurais voulu qu’elle soit dans mon ventre, tout à coup, je sens la pression de la ceinture de ma jupe se libérer, et celle-ci descendre un peu plus à chaque pas de danse, je veux la rattraper, mais mon mari m’en empêche, la jupe glisse à mes pieds, je reste pétrifiée, collée à mon mari pour cacher ma nudité. Mon mari m’empêche de récupérer ma jupe au sol et m’oblige à faire quelques pas en arrière, la jupe reste sur place, mon mari la ramasse promptement et la lance sur une banquette bordant la piste. Je suis nue jusqu’à la taille, mon mari se colle à moi et nous reprenons la danse.
Je n’ose regarder autour de moi, pourtant je finis par me rendre compte que je ne suis pas la seule à être peu vêtue, et que personne ne nous a remarqués. La situation, bien qu’en contradiction avec ma pudeur, était très excitante, d’autant que mon mari continuait à me titiller les seins d’une main et à me malaxer les fesses de l’autre, trop excitante, puisqu’il veut que je montre mon cul, il va montrer le sien aussi. Je défais son ceinturon et le bouton de son pantalon, il se laisse faire, je sors sa queue, celle-ci vient se presser contre mon ventre. Ne me reconnaissant pas, je la guide alors sur ma fente trempée, mon mari se colle à moi, sa queue glisse entre mes cuisses, mais ne pénètre pas dans mon sexe, j’en ai pourtant tellement envie. Mon mari fait maintenant glisser mon chemisier sur mes épaules, je le laisse faire, anéantie, il m’enlève mon chemisier et je l’aide pour le soutien-gorge. Je suis complètement nue, à la merci de n’importe quel mâle, et j’ai envie d’être prise, je défais la chemise de mon mari. Tout en dansant, nous nous approchons de la banquette où se trouve ma jupe, là mon mari me dit : « J’aimerais que tous voient ma bite s’enfoncer dans ton ventre, viens, assis-toi dessus ».
Ce disant, il s’assit sur la banquette, me fait pivoter pour lui tourner le dos et me tire en arrière. J’en ai trop envie, je guide sa queue et la fais rentrer dans mon sexe, écartant au maximum les cuisses. Tout le monde peut me voir empalée sur mon mari et plusieurs couples sourient en nous voyant. Au bout de quelques va et vient, je sens mon mari se crisper, je sais qu’il est en train de me remplir de son sperme. J’ai envie de jouir aussi, je me relève, mon mari s’allonge sur la banquette et je le chevauche face à lui, introduisant son sexe encore dur et luisant de nos sécrétions dans le mien. Je me mets alors à frotter mon bas ventre contre le sien pendant que mon mari me titille la pointe des seins. Cette position m’amène rapidement à la jouissance, je ne peux retenir quelques râles lors de la première explosion de plaisir, suivie de près par une seconde encore plus puissante qui m’amène à m’exprimer bruyamment. Je suis comblée et épuisée, et me laisse aller contre mon époux. Reprenant mes esprits, je me vois nue, assise sur le sexe de mon mari, au milieu d’inconnus. Je relève la tête et vois la brune de tout à l’heure, les cuisses largement ouvertes, son compagnon allant et venant dans son intimité. Un peu honteuse, je remets ma jupe et mon chemisier et demande à mon mari de quitter le club. Après avoir mis nos manteaux, pendant le trajet à la voiture, je sens tous les liquides contenus dans mon vagin couler le long de mes cuisses.
Je n’aurais jamais imaginé pouvoir me laisser aller de la sorte en publique, oublier ma pudeur et me conduire comme la pire des traînées.

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