j'ai baisé et sodomisé la dame de ménage

- Par l'auteur HDS Rosebud -
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Auteur homme.
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Récit libertin : j'ai baisé et sodomisé la dame de ménage Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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j'ai baisé et sodomisé la dame de ménage
Depuis environ cinq ans, nous employons à la maison une aide ménagère. Pour plus de simplicité nous passons par l’intermédiaire d’une association d’insertion qui nous envoie les personnes et s’occupe de l’administratif. Plusieurs dames se sont succédées , de la jeune femme seule avec enfant, ou de la dame d’un certain âge… La vie ne les avait pas gâtées, côtés physique non plus ! Petite maigrichonne sans charme ou forte matrone, aucune n’était à même de satisfaire mon fantasme, certes commun, de baiser la femme de ménage !
Vous me direz, elles auraient été des bombes sexuelles, elles n’auraient pas fait le ménage…
Il y a quelques semaines la dernière en date, (une du genre vieille et grosse) s’est blessée. L’organisme nous a donc envoyé une remplaçante qui pour une fois avait un physique moins disgracieux. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’elle était belle…. Une petite quarantaine quand même, de taille moyenne, mince mais pas chétive, un visage quelconque, une poitrine menue. Mais de belles fesses bien rondes ; surtout moulées dans un pantalon en lycra noir, si répandu… Je l’ai tout de suite remarqué quand elle s’est retournée. Petit détail amusant, comme elle était venue en vtt sans garde boue, les projections lui avaient dessinée une ligne dans la raie des fesses. Je n’avais pu m’empêcher de penser que je lui aurait bien mis une giclée à la place !
Ma femme lui ayant donnée les indications avant de partir travailler, elle se mit à la tâche. Comme je ne travaillais pas à l’extérieur ce matin là, je montais dans le bureau.
Mon épouse avait fait la grippe la semaine précédente. Encore bien affaiblie, je ne la sentais pas encore disposée à reprendre une activité sexuelle. Je commençais donc à être sérieusement en manque et venait me soulager sur cet excellent site , en lisant quelques histoires ou en visionnant une vidéo. C’est ce que je finis par faire au bout de deux heures devant l’ ordi…
C’était la vidéo d’une femme mure d’une cinquantaine d’années, avec de bons gros seins et un fessier bien large, mais avec ce je ne sais quoi qui la rendait toujours excitante, malgré son âge. Il s’agissait d’un casting amateur dans lequel le mari fatigué offrait sa femme à deux jeunes types pour qu’elle retrouve la jouissance. Et pour jouir, elle était servie ! Elle dégustait cette bonne mature avec ces deux belles bites bien raides. La mienne aussi était bien raide. J’adore ces vidéos amateurs avec des femmes, mères de famille sans histoire, que l’on pourrait croiser au coin de la rue et qui s’éclatent comme des folles sur une queue !
D’ailleurs, celle-ci criait bien en se faisant prendre par les deux orifices ! Au point que j’avais mis le casque audio, car ça m’excite bien aussi ces râles de plaisir, mais je craignais que la dame n’entende depuis le bas de la maison. De ce fait, c’est moi qui n’ai pas entendu qu’elle montait pour me dire qu’elle avait fini son travail, tellement absorbé par le film, que j’étais resté sourd à ses appels. Quand elle arriva derrière moi face à l’écran, elle s’arrêta net dans sa phrase. C’est alors que je fis pivoter mon fauteuil de bureau, la bite bien bandée toujours à la main. Les yeux rivés sur ma queue, elle termina sa phrase machinalement, comme si elle était ailleurs : « est-ce que je peux encore faire quelque chose ? » Je me suis dis qu’il valait mieux tenter le tout pour le tout et lui répondit aussi vite, j’ai bien une petite idée , lui montrant mon sexe d’un mouvement de tête, qu’est-ce que vous en pensez ? Ne lui laissant pas le temps de répondre, je m’avançais vers elle, lui prenant une main pour la poser sur ma queue, tout en commençant à l’embrasser tendrement dans le coup. Elle protesta, essaya de se dégager de mon étreinte, mais je la tenait fermement dans le dos, tandis que de l’autre main, je faisais aller et venir la sienne sur mon sexe. Toujours en l’embrassant, je lui murmurais à l’oreille que ce n’était pas grave, que j’allais bien la faire jouir, qu’on passerait un bon moment et que personne n’en saurait rien. Tu n’as pas envie d’une bonne queue bien dure ? Tu ne la trouves pas attirante ? En même temps, je caressais ses fesses si rondes et je la sentis frémir. J’appuyais alors mon sexe au niveau du sien et commençais à me frotter sur elle tout léchant ses lèvres de ma langue, j’essayais de m’introduire dans sa bouche pour commencer, mais elle était toujours figée. Tu m’excites tu sais, c’est toi qui m’a donné envie depuis que tu es arrivée. J’ai envie de voir tes belles fesses rebondirent à chacun de mes coups de queue. Je suis sûr que tu vas adorer. Je sentais qu’elle se détendait quelque peu et c’est alors que ses lèvres cédèrent et que nos langues se mêlèrent. Je compris que c’était gagné. Sans cesser de l’embrasser, je l’entraînais lentement vers ma chambre en face du bureau et la renversait doucement le lit. Je l’embrassais encore quelques instants puis glissait vers le bas pour lui ôter son pantalon que j’avais dégrafé en chemin. Toujours un peu crispée, je me décidais à tenir ma promesse et à ne pas la prendre à la hussarde. Je lui écartais les jambes et entrepris de lui lécher la chatte et le clitoris pour l’exciter complètement. L’effet escompté ne tarda pas et c’est d’elle même qu’elle remonta les pieds sur le bord du lit, afin de bien s’écarter. Ce qu’elle fit mieux encore avec les mains, en maintenant ouverte les lèvres de son sexe, tandis que ses gémissements se faisaient plus sonores. Quand je sentis que les deux doigts introduits dans sa chatte glissaient facilement sous l’effet de sa mouille, que chaque passage de ma langue sur son clito lui déclenchait des petits cris, je décidais de voir jusqu’où je pourrai aller, en écartant un peu plus ses deux globes de chair, pour lui lécher la rondelle. A chaque fois que j’ essayais d’introduire ma langue dans son petit trou, je la sentais se contracter. Je n’insistais pas et me redressais. J’avais quelque peu débandé pendant ce cunilungus. Je lui relevais le haut pour lui lécher un peu les tétons tout en me branlant pour me remettre en forme. Tu la veux maintenant ma queue ! Tu veux que je te prenne, hein ? Oh oui ! fais moi jouir, vas-y baisse moi ! Ces quelques paroles remontèrent mon excitation au maximum et je m’enfonçais d’un trait dans son con. Elle poussa un râle puissant. Je commençais à bien la limer, avec de temps à autres une bon coup un peu plus fort qui lui déclenchait des oh oui ! c’est bon ! c’est bon ! Je lui remontais les cuisses au maximum vers la poitrine pour lui mettre bien profond, ce qu’elle appréciait visiblement. Pour calmer un peu le jeu, car à se rythme là, je sentais que je ne tiendrais plus longtemps, je fis en sorte que l’on se retourne. Elle continua les vas et viens sur ma queue, mais plus lentement. Maintenant, c’était sa langue qui venait chercher la mienne. La sentant bien partie, je prenais ses fesses à pleines mains, les écartais, l’accompagnait dans ses vas et viens. J’enduis un doigt de sa mouille et lui caressais à nouveau l’anus. A la faveur d’un mouvement plus appuyé, je sentis son petit trou s’ouvrir et mon doigt s’y introduire. T’as envie de me la mettre dans le cul, mon salaud ! Tu veux me posséder par tous les trous, faire de moi une salope jusqu’au bout, c’est ça ? A ces mots crus, j’étais près à exploser. Je me retirais rapidement et glissait hors du lit. Oui, je veux ton cul, reste en levrette, je veux voir ton beau cul bouger sous mes coups de bite. Avant de me mettre derrière elle, j’attrapais un tube de lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. Tout en lui bourrant bien la chatte, d’un doigt , puis deux je lui dilatais l’anus, bien décider à la sodomiser. Ses premières réticences semblaient évanouies. Appuyez sur un coude, le visage presqu’enfouit dans la couette étouffant ses cris, je sentais qu’elle se masturbait pendant que je la prenais. Elle attrapait aussi mes couilles pour se caresser le clito, lorsque je ralentissais mes mouvements. Je retirais ma queue luisante de son vagin, la fit avancer au milieu du lit, montais derrière elle et m’accroupis au dessus de son cul. D’une main j’écartais ses fesses, de l’autre je tenais mon sexe et l’ appuyais doucement sur son petit trou. Mon gland fut facilement absorbé. Immédiatement je sentis la chaleur et la pression des muscles de ce conduit étroit. Je poursuivais ma lente pénétration, tandis qu’elle se masturbait de plus belle. Mes vas-et-viens ne courraient que sur la moitié de mon sexe. Je préférais sortir et entrer de son cul plusieurs fois de suite, tant la sensation de la pénétration est agréable sur le gland. Elle finit par se faire jouir, ce qui eut pour effet de me faire exploser en elle peu après. Quelques instants plus tard, commençant à retrouver mes esprits après cet orgasme violent, je me retirais de son cul. Avec mon sexe, une partie de mon sperme ressorti et s’écoula le long de sa fente. Assis derrière elle, je regardais ce spectacle avec délectation. Elle finit par s’affaisser sur le ventre.
Après un peu de repos, il était temps qu’elle parte. En la quittant, je lui dit que même si la titulaire du poste revenait, elle savait où me trouver si le cœur lui disait.

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