Le parc

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le parc Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le parc
J'ai connu une fille dans une boite et je l'ai sortie ensuite dans un parc à coté. C'était une fille qui pour moi valait bien la peine de perdre peut-être un peu de temps, mais qui, si ça marchait, méritait bien un coup de bite. Ce parc possède plusieurs endroits très obscurs et justement à ces endroits sombres étaient placés des bancs fort confortables qui autorisaient toutes les fantaisies. Arlette, c'était le nom de la fille, jolie et sexy avait un air coquin qui autorisait toutes suppositions graveleuses. C'était l'été et mes intentions n'étaient pas très correctes.
A la sortie de la boite, je l'embrassais et elle répondait. Je lui prenais la taille: elle se laissait faire. Je pouvais l'emmener sans risque au parc et je trouvais facilement l'endroit voulu. Nous nous étions assis et je continuais mes embrassades. Elle ouvrait la bouche et je la lui fouillais avec ma langue. Je passais une main sur ses seins et elle se laissait faire. Puis je lui mettais une main sur le genou et remontait en caressant l'intérieur des cuisses: elle ouvrait les jambes. J'étais surpris de ses réactions. Mais quand ma main arrivait à son con, je m'apercevais qu'elle ne portait pas de dessous. Elle était nue volontairement et devait attendre que quelqu'un la drague pour sans doute arriver au point où nous étions. Je trouvais donc sans trop chercher son clitoris et le branlais. Elle venait au devant de ma main. Elle se donnait véritablement. C'était sans doute une fille en manque de sexe. Je la faisais jouir. Nos lèvres étaient toujours soudées. Je continuais un peu à lui caresser le con, mais je lui mettais plusieurs doigts dans le vagin et trouvais le fameux point G. Elle s'ouvrait de plus en plus pour jouir. Elle gémissait et me demandait encore, Je ne cessais donc pas.
Je bandais depuis un moment et je lui prenais une main que je posais sur ma bite que je sortais de mon froc. Elle empoignait mon sexe à pleine main et toujours en nous embrassant, elle me branlait. Elle le faisait avec beaucoup de maestria: elle avait l'habitude de le faire. Elle arrêtait parce que je le lui demandais, sinon elle m'aurait fait jouir.
Pour moi, je lui remontais la robe et la lui enlevais. Elle étais totalement nue et je pouvais, dans l'obscurité voir ses formes qui m'incitais à la prendre. Pourtant je voulais la goûter, enfin lui goûter son con. Je lui demandais de se coucher sur le banc: elle ne savait pas ce que j'allais lui faire, mais elle s'offrait déjà. Je me déshabillais également. Puis je me penchais pour venir poser ma tête entre ses jambes et je léchais le long des cuisses en remontant vers son bouton. Je pouvais bientôt le prendre dans mes lèvres et le lécher, Elle se laissait faire et guidait ma langue là où elle voulait que j'aille. Je trouvais qu'elle sentait bon et qu elle avait un bon goût. Elle jouissait encore, et main y était pour quelque chose: elle me caressait les couilles et le gland et à ce régime là, je ne résiste jamais. Je lui demandais comment elle voulait continuer. Sa réponse fut muette: Elle se mettait en levrette montrant par là l'endroit où elle voulait ma queue. Dans le cul.
Elle se mouillait le petit trou avec sa cyprine. Et ouvrait les fesses largement. Je posait ma bite sur son cul et y rentrais facilement, mon gland passant son sphincter était pour moi un enchantement et pour elle le départ d'une sodomie remarquable. Elle gémissait de plus en plus et je sentais ses jouissances par les crispations de son cul. Je la limais comme dans son con. Elle jouissait encore plus me disait-elle.
Nous nous sommes reposés encore et la lune se levant nous nous voyons très bien. Elle se levait et venait me donner son con pour que je le suce encore: elle écartait ses jambes et se caressait les seins. Elle jouissait encore. Puis elle se penchait sur moi et prenait ma bite dans sa bouche. Elle engamait mon gland, le mordillait en enfin le caressait avec sa langue. Pour finir, elle l'avalait presque complètement, jusqu'au fond de sa bouche. Je jouissais en elle et elle gardait mon sperme.
Nous nous sommes séparés, je ne connais pas son nom seulement son prénom, je ne sais rien d'elle, sinon qu'elle avait envie de baiser.
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Texte coquin : Le parc
Histoire sexe : Une rose rouge
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