Quand la mere ne baise plus..... Il reste la fille...
Récit érotique écrit par Harder [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Quand la mere ne baise plus..... Il reste la fille...
Je vis depuis un an avec ma nouvelle copine Karine et sa fille Julie. Si au début la cohabitation se passait bien rapidement le rythme de mes rapports avec Karine diminua jusqu'à ce que l’on ne baise qu’une fois par semaine et exceptionnellement deux.
Déprimé d’imaginer la masturbation devenir mon lot quotidien j’envisageais une rupture quand je me rendis compte que Julie m’excitais plus que sa mère et il y avait de quoi : 18 ans de long cheveux brun une peau très blanche, grande élancée, un beau cul bien galbé et surtout une magnifique paire de loche. Elle m’excitait de plus en plus, je voulais la voir nue en train de se faire baiser, le soir où son copain venait je cachais une camera dans sa chambre.
Le lendemain je pu jouir du spectacle : son mec l’a déshabillé rapidement me laissant voir ses superbes seins blanc et son cul de rêve, sa petite chatte épilée. Je bandais rien qu’à cette vue, malheureusement la suite fut décevante : il l’allongea sur le lit et la prise en missionnaire, éjacula une fois et se coucha. Je plaignais cette pauvre Julie, elle semblait ne pas avoir pris son pied avec lui.
Un soir Karine malade était partie se coucher me laissant seul avec mon fantasme dans une petite chemise de nuit courte. Une des scènes du film qu’on regardait devint très chaude, je tentais ma chance. Ma main se posa sur son genou et caressa doucement sa cuisse en remontant vers son sexe. Elle soupira, les yeux mi clos, j’atteins sa culotte et me mis à la caresser à travers le tissu jusqu'à ce que le tissu s’humidifie. Elle gémissait doucement, je l’attirais alors à moi et l’embrassais. Ma langue se faufila à travers ses lèvres. Ma main allait enfin palper un de ses seins quand j’entendis sa mère ouvrir la porte de ma chambre. La garce ! Ma Julie bondit hors du canapé et fonça dans sa chambre.
Le matin d’une nuit pleine de frustration Karine était partie travailler, je trouvais Julie dans la cuisine qui faisait la vaisselle dans sa petite chemise de nuit je m’approchais discrètement et une fois derrière elle je glissais ma main sur son sexe. Elle sursauta mais ne fit rien, mon autre main glissa sous sa chemise de nuit jusqu'à ses seins, si doux, ses tétons étaient déjà durs. Elle se tourna vers moi et me roula un patin je lui pris la main et l’entraina dans sa chambre.
Elle se déshabilla et il ne me fallu pas longtemps avant d’être nu, mon gourdin prêt à l’usage ! Elle s’allongea sur le dos, je me jetais sur elle pour l’embrasser et téter ses belles loches puis je la mis à 4 pattes et me plantais dans sa chatte toute la frustration accumulée me rendais fou. Je la limais avec violence de plus en plus fort, elle criait de plaisir à chaque coup se tortillait et fini par pousser un long hurlement d’extase heureusement que l’appart est insonorisé. Je vins peu après répandant mon foutre dans son cul puis je la retournais et recommençais à la limer avec ardeur. C’était sublime, son corps de rêve se tordait à chaque coup et ses seins sautillaient sous la brutalité de mes coups.
Elle poussa encore son cri d’extase qui se mêla à mes grognements bestiaux, mon foutre coula encore dans son ventre et elle s’allongea contre moi haletante.
Je crois que je vais rester vivre ici finalement la cohabitation me promet de bien bonnes baises .J’ai hâte de vous raconter la suite…
Déprimé d’imaginer la masturbation devenir mon lot quotidien j’envisageais une rupture quand je me rendis compte que Julie m’excitais plus que sa mère et il y avait de quoi : 18 ans de long cheveux brun une peau très blanche, grande élancée, un beau cul bien galbé et surtout une magnifique paire de loche. Elle m’excitait de plus en plus, je voulais la voir nue en train de se faire baiser, le soir où son copain venait je cachais une camera dans sa chambre.
Le lendemain je pu jouir du spectacle : son mec l’a déshabillé rapidement me laissant voir ses superbes seins blanc et son cul de rêve, sa petite chatte épilée. Je bandais rien qu’à cette vue, malheureusement la suite fut décevante : il l’allongea sur le lit et la prise en missionnaire, éjacula une fois et se coucha. Je plaignais cette pauvre Julie, elle semblait ne pas avoir pris son pied avec lui.
Un soir Karine malade était partie se coucher me laissant seul avec mon fantasme dans une petite chemise de nuit courte. Une des scènes du film qu’on regardait devint très chaude, je tentais ma chance. Ma main se posa sur son genou et caressa doucement sa cuisse en remontant vers son sexe. Elle soupira, les yeux mi clos, j’atteins sa culotte et me mis à la caresser à travers le tissu jusqu'à ce que le tissu s’humidifie. Elle gémissait doucement, je l’attirais alors à moi et l’embrassais. Ma langue se faufila à travers ses lèvres. Ma main allait enfin palper un de ses seins quand j’entendis sa mère ouvrir la porte de ma chambre. La garce ! Ma Julie bondit hors du canapé et fonça dans sa chambre.
Le matin d’une nuit pleine de frustration Karine était partie travailler, je trouvais Julie dans la cuisine qui faisait la vaisselle dans sa petite chemise de nuit je m’approchais discrètement et une fois derrière elle je glissais ma main sur son sexe. Elle sursauta mais ne fit rien, mon autre main glissa sous sa chemise de nuit jusqu'à ses seins, si doux, ses tétons étaient déjà durs. Elle se tourna vers moi et me roula un patin je lui pris la main et l’entraina dans sa chambre.
Elle se déshabilla et il ne me fallu pas longtemps avant d’être nu, mon gourdin prêt à l’usage ! Elle s’allongea sur le dos, je me jetais sur elle pour l’embrasser et téter ses belles loches puis je la mis à 4 pattes et me plantais dans sa chatte toute la frustration accumulée me rendais fou. Je la limais avec violence de plus en plus fort, elle criait de plaisir à chaque coup se tortillait et fini par pousser un long hurlement d’extase heureusement que l’appart est insonorisé. Je vins peu après répandant mon foutre dans son cul puis je la retournais et recommençais à la limer avec ardeur. C’était sublime, son corps de rêve se tordait à chaque coup et ses seins sautillaient sous la brutalité de mes coups.
Elle poussa encore son cri d’extase qui se mêla à mes grognements bestiaux, mon foutre coula encore dans son ventre et elle s’allongea contre moi haletante.
Je crois que je vais rester vivre ici finalement la cohabitation me promet de bien bonnes baises .J’ai hâte de vous raconter la suite…
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