Bureau spécial

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Bureau spécial Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Bureau spécial
Martine travaille depuis 15 jours au bureau de sa nouvelle entreprise. Elle a été choisie pour son allure sexy et ne le sait pas encore. Aujourd'hui donc on lui demande de chercher de vieux dossiers situés en haut des étagères. Il prend l'escabeau y monte, et munie de la liste, elle se met en devoir d'effectuer sa tâche. Ce n'est pas difficile, elle pense en finir rapidement. A moins qu'on ne la dérange. Et justement elle est dérangée par son chef de service qui venant aux nouvelles profite de la position haut perchée de Martine pour venir lui caresser les jambes. Martine ne sait que faire: si elle regimbe elle risque de prendre la porte et si elle se laisse faire, au pire elle risque de passer pour un fille facile. Elle choisit la dernière solution: elle laisse les mains monter le long des jambes qu'elle a fort belles. Les mains arrivent à la limite des bas, presque en haut des cuisses et ne semblent pas vouloir en descendre. Sa patronne sait bien caresser les jambes à tel point que Martine inconsciemment commence à être excitée. Elle écarte un peu les cuisses. La main monte jusqu'à son petit string qui est humide. Cette main en écarte les bords et vient se mettre sur le con. La patronne continue sa progression: elle lui passe la main tout le long de la raie. La main sur le cul et remonte vers le clitoris et le caresse très lentement et avec beaucoup de délicatesse. Cette fois Martine mouille carrément sur la main. Elle se laisse branler et commence à désirer plus qu'une main. Elle jouit
La patronne demande à Martine de descendre de son escabeau. A peine en bas, elle reçoit un baiser très appuyé. C'est la première fois qu'une autre femme l'embrasse sur la bouche: elle est hétérosexuelle et n'est pas attirée par les femmes. Elle s'autorise des masturbations quand elle est en manque, c'est à dire une fois par jour. Aujourd'hui c'est différent. Elle accepte le baiser et le rend. Sa patronne la serre contre elle. Elle l'embrasse dans le cou et remet sa main à nouveau sous la jupe de Martine. Elle se laisse faire et commence à apprécier. A son tour elle veux rendre la caresse et passe sa main sous la robe de sa séductrice. Elle monte doucement en caressant les jambes et elle ne trouve aucune barrière: sa patronne ne porte pas de culotte. Martine en est un peu étonnée: elle ne pensait pas que sa patronne soit aussi peu vêtue. Elle trouve aussitôt le bouton de sa nouvelle compagne. Elle le caresse comme si elle se branlait. C'est justement ce qui était attendu. Elle recommence. Sa patronne lui dit qu'elle la branle comme elle aime. Elle jouit et demande à Martine de se déshabiller, comme elle. Martine ne rechigne pas et nue elle reçoit encore un baiser sur la bouche. Elle est de plus en plus excitée. Sa patronne lui caresse les seins et lui passe les mains sur les hanches avant de les descendre encore sur les fesses. Elle lui met la main entre les fesses et cherche le cul. Martine se laisse faire, elle aime la sodomie. Elle sent qu'un doigt rentre en elle. Il lui branle l'anus. Elle demande à son amante de ne pas arrêter et de la faire jouir.
La jouissance ne lui est pas donnée comme ça: sa patronne s'agenouille devant elle et tout en gardant le doigt dans le cul elle lui prend le clitoris dans sa bouche et le lèche. Cette langue féminine qui la change des langues d'hommes lui ne lui donnent pas autant de plaisir. Elle se raidit et elle jouit. La patronne va s'asseoir sur le siège de Martine et lui demande de venir la sucer. Martine a quelques écoeurements à aller sucer un con féminin: ça lui semble sale. Mais ce n'est plus une prière, c'est un véritable ordre. Finalement Martine va s'agenouiller devant les cuisses écartées et sort sa langue, Elle s'approche lentement très lentement, à tel point que sa patronne s'impatiente et lui prend la tête pour l'approcher et lui faire enfin sucer le con. Enfin Martine a sa bouche sur les lèvres du sexe et elle peut sentir et goûter la cyprine. Ce n'est pas désagréable, au contraire. Elle en est encore excitée. Enfin elle pose sa langue sur le bouton et la lèche lentement. Sa camarade de jeux commence à gémir doucement. Elle jouit encore une fois, mais dans la bouche de Martine.
Martine pris à ce qu'elle fait invente sans vouloir ce que veut sa patronne. Elle lui propose un 69. Elles se couchent sur la moquette et chacune ouvre les jambes au visage de l'autre.
Elles se sucent en se mettant des doigts dans le cul. Elles jouissent plusieurs fois. La patronne demande à Martine d'ouvrir ses jambes en ciseaux, une sous elle et l'autre au dessus. Elle peuvent jouir directement les cons serrés l'un contre l'autre. Au début, seule la patronne bouge son bas ventre contre celui de Martine, et au bout d'un bref instant, Martine accompagne également les mouvements.
Elles jouissent presque ensemble, Martine d'abord et la patronne ensuite.
Elles sont totalement à plat. Elles restent couchées l'une contre l'autre, nues et satisfaites de leur baise. Martine ne pensait pas jouir autant avec une autre femme. Sa patronne lui demande de revenir lendemain, nue sous ses jupes et chemisiers, pour pouvoir recommencer leur baise et de porter si elle en a un godemiché pour s'enfiler ou s'enculer, puisque Martine aime ça. En attendant la patronne confisque le string de Martine: elle le lui rendra quand elle quittera l'entreprise. D'hétérosexuelle elle est devenue bisexuelle. La meilleur des preuves en est qu'elle revoit son petit ami et toujours excitée par ce qu'elle vient de vivre se donne à lui et jouit avec une bite qui l'enfile comme il faut dans son con encore humide des manoeuvre de sa patronne.
La nuit agitée avec la bite de son ami dans le con et le cul ne l'empêche pas du sucer ce sexe masculin pour en goûter le sperme. Elle ne lui a pas parlé de ses plaisirs saphiques. Il ne comprendrait pas. Elle s'habille en oubliant bien sur le string et même le soutien gorge. Elle porte une robe légère qui laisse deviner ses formes: non seulement elle est bisexuelle mais de plus elle devient exhibitionniste.
Dès 9 heures, sa patronne vient la voir et lui demande ce qu'elle pense de la veille. Comme réponse, Martine lève sa robe et montre sa nudité et sort de son sac le godemiché qu'elle a. Un peu surprise son amante part chercher le sien. Quand elle revient, Martine est déjà assise, jambes bien ouvertes: elle se masturbe, nue avec son gode. Pour le moment elle l'a rentré dans son con. Elle ne cesse pas ses mouvements quand sa patronne arrive. C'est cette dernière qui vient poser ses fesses sur le bureau de Martine et tournée vers elle se baise avec son propre godemiché. Chacune regarde l'autre se donner du plaisir et enfin jouir. La journée commence chaudement. L'amante de dévêt également et elles se jettent l'une sur l'autre pour s'embrasser à pleine bouche. Elles se sucent les seins avant de poser leurs mains sur le sexe de l'autre. Elle commencent lentement en se branlant. A ce jeu c'est l'amante qui gagne en rapidité. Martine a une excuse qui vaut ce qu'elle vaut: elle a baisé avec son copain toute la nuit. L'amante lui demande de raconter la nuit et pendant que Martine raconte, l'amante sans pudeur se branle en écartant ses lèvres avec deux doigts de la main gauche pour bien faire sortir son clitoris et le branle avec deux doigts de la main droite. Quand elle jouit, elle ferme son sexe à deux mains pour que le plaisir ne s'échappe pas trop vite.
Il y a du travail et la patronne reprend le dessus. Ce n'est qu'en fin de journée (que Martine a passé nue) qu'elles reprennent leurs étreintes. Elle n'ont plus de secret l'une pour l'autre. L'amante disait même à Martine qu'elle était mariée mais très insatisfaite sur le plan sexuel, elle ne voulait pas avoir d'amant et qu'elle aimait mieux les femmes. Alors elle demandait à Martine de rester son amante longtemps. Elle ne le regretterait pas à cause des bonnes baises qu'elles pourraient faire longtemps ensemble.
Martine lui disait à son amante que si elle le désirai, elle pourrait demander à son ami de venir baiser avec elles. Non elle ne voulait à aucun prix d'une vraie bite dans son con ou son cul. Martine lui faisait bien l'amour, comme aucune femme jusqu'à présent, que les godemichés suffisaient à son bonheur
Les deux femmes reprenaient leur baise et la position jambes écartées con à con leur plaisait particulièrement après un 69. Leur bouche sentait le con de l'autre et le goût des cyprines s'y mélangeait.
Elles aimaient tellement baiser ensemble qu'elles achetaient un godemiché double qui permettait à l'une de baiser l'autre tout en ayant dans son con l'autre partie qui de plus caressait le clitoris.
Elles ne baisaient maintenant qu'en fin de journée pour travailler dur pendant les heures d'ouverture.
Mais l'habitude de la masturbation matinale restait: chacune se branlait devant l'autre

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
il est vrai que dans les bureaux il se passe parfois certaine chose .J'étais responsable d'un service j'avais demandée un document a une
collègue on travaille ensemble depuis plus 15 ans.Ne la voyant pas revenir je passe aux archives et je lui prete la main, nous étions toutes les 2 en jupes en me baissant j'ai écartée les cuisses et ma Françoise
qui se trouvait juste en face a trouvé que j'avais une belle culotte
couleur saumon mais me dit que je devrais me tailler les poiles alors je
lui demande comment elle était sa chatte elle baissa sa culotte et je vis ses lèvres sans duvet bien rose et ouverte avec ma main je me mis
a la masturber Depuis les archives est notre lieu de rendez_vous.

Histoire Libertine
Histoire sympathique,une patronne très salope qui me rappelle une chef
pas terrible qui me demandait souvent de faire du temps supplémentaire
et qui me branlait bien mieux que mon mari.Elle était rondelette un
peu de ventre une grosse poitrine une chatte bien poilue mais elle baisait terrible.Bises à toutes les Filles.



Texte coquin : Bureau spécial
Histoire sexe : Une rose rouge
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