Honoraires

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Honoraires Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Honoraires
J'ai affaire avec une avocate qui s'occupe depuis quelques temps d'une affaire compliquée. Le seul problème, et je ne lui en ai pas parlé après lui avoir versé une provision c'est que je suis complètement fauché. Cette professionnelle est particulièrement belle, jeune, la trentaine tout juste, et surtout un parfum de sensualité émane d'elle. Vêtue assez court, on peut voir très haut ses cuisses parfaites. Ses seins semblent vouloir faire éclater son corsage. Et sa bouche, ô, sa bouche aux lèvres sensuelles donne envie de l'embrasser.
D'après ce qu'on dit d'elle, c'est une excellente avocate qui gagne pratiquement tous ses procès. Sa réputation de femme est aussi très bonne: elle n'a pas d'amant, voire de femme dans sa vie. Elle exerce dans un cabinet où elle emploie une seule secrétaire qui ressemble, elle à un gendarme du 19° siècle, peut-être en plus aimable.
Je suis aujourd'hui à son cabinet et se pose la question délicate des honoraires. Après avoir ergoté je lui avoue que je ne peut pas la payer, tout au moins de suite. Elle a l'air ennuyé, réfléchi et me détaille. Son examen terminé elle de demande de m'approcher d'elle. Elle se lève et vient contre moi, à me toucher et m'embrasse à pleine bouche. Surpris je répond et sa langue vient dans ma bouche et s'y insinue. Elle se colle contre moi, décroche le téléphone et demande à sa secrétaire de répondre à qui a demandera qu'elle n'est pas là. Elle me reprend contre elle et recommence à m'embrasser. Jusqu'à présent elle ne m'a rien dit. Je pense qu'elle veux se payer sur la bête et que mon corps remplacera les euros que je lui doit.
Elle pose sa main sur mon sexe et le fait bien bander. Elle sort ma bite de sa place et commence à me branler avec beaucoup de virtuosité. Brusquement elle arrête et se déshabille complètement: c'est à dite une jupe et un corsage et rien d'autre que les bas qu'elle garde. Elle s'approche et me déshabille aussi. D'avance je sens que je vais passer un bon moment de baise avec une telle femme.
- Tu ne peux me payer, dit-elle, alors je vais de faire cracher autrement ce que tu me dois. Et d'abord je m'appelle Florence et toi tu n'est rien face à moi qui suis ta maîtresse: tu dois obéir, c'est tout.
Elle s'assoit à son fauteuil devant le bureau et me demande de venir lui enlever, sans les abîmer, ses bas et de lui embrasser les pieds. J'arrive péniblement à lui enlever les bas quand à lui embrasser les pieds j'ai plus de peine, je n'aime pas ça. pourtant elle répète embrasse moi les pieds, j'en ai envie, obéis.
Je m'exécute et lui baise les pieds en insistant sur les orteils et particulièrement le gros: elle en est satisfaite et regarde ma bite toujours en érection.
- Tu as droit à une récompense, mais petite récompense. Mets moi ta bite dans ma bouche: je vais te sucer un petit peu.
Elle ouvre sa bouche et j'y mets l'extrémité de ma bite entre ses lèvres. Elle enferme mon gland dans sa bouche et ses lèvres vont et viennent. Elle va me faire jouir.
Elle arrête avant que je jouisse et m'ordonne de la faire jouis en la suçant comme elle me le dira. Elle écarte ses cuisses et enfin je peux voir son con en entier. Il est entièrement rasé, propre et attirant. je pose ma tête entre ses cuisses et suivant ses ordres je remonte vers son bouton. Mais il faut que je lui lèche en montant l'intérieur des cuisses. Ma bite me fait mal à force de bander et de ne pas jouir. je monte encore et bientôt arrive vers son con. Elle me retient un instant:
- Attends un peu que je me prépare à recevoir une langue sale qui vient de me sucer les pieds: tu n'as pas honte ? Enfin viens et suce moi pour que je jouisse comme il faut, et même si je jouis ne t'arrête pas, continue. Et réponds quand je te parle !
- Oui j'ai bien compris.
- Oui qui?
- Oui maitresse.
- Alors suce moi vite.
J'obéis sans plus discuter et ma langue vient contre le clitoris qui a un goût très attirant. Je le prends entre mes lèvres pendant qu'elle le sort de sa protection. Elle ferme les yeux sous ma caresse. J'en profite pour commencer à me branler. elle s'en aperçoit:
- Qui t'a dit de te masturber ? hein, pas moi, alors arrête de suite. Et ne recommence pas: tu n'as pas le droit de jouir sans que je te le dise.
Bien sur j'arrête de me faire du bien et ma bite en est encore plus douloureuse. je m'applique au cunnilingus et elle jouit plusieurs fois dans ma bouche. Son jus est agréable et je profite au moins de ça.
Elle me demande de cesser pour l'instant. Je dois maintenant lui passer la langue sur son cul et y rentrer un peu. Je ne suis spécialiste de la chose et je commence par lui passer la langue sur le périnée avant d'arriver sur son cul. je le caresse superficiellement juste avec le bout.
- Je t'ai demandé de me rentrer la langue dans le cul. Fais le immédiatement.
- Oui, maitresse.
Je force un peu et le bout de ma langue arrive à rentrer un peu dans son cul. Il doit être habitué à ce genre de caresse: je peut facilement m'y introduire.
- Plus loin ta langue.
Je force un peu plus et arrive à rentrer la moitie de ma langue. Ce n'est pas désagréable et sans qu'elle me le demande je rentre et sort d'elle sans arrêt. Brusquement je sens qu'elle jouit. Je reste immobile un moment et quand je sens que son orgasme est terminé je recommence mon, manège reprend. Je commence à avoir la bonne façon de lui sucer le cul. Elle jouit encore. Finalement j'arrête.
- Mon cul a bon gout j'espère qu'il ta plus. Si tu es sage tout à l'heure tu pourra peut être y fourrer ton pieu. Tu m'a bien faite jouir. C'est très bien, je suis contente de toi.
Elle se lève et se rhabille.
- Fais comme moi. Tu n'a pas vu l'heure: il faut partir. Nous allons au restaurant.
- Oui maitresse.
Un fois habillé je la suis et elle m'emmène dans un restaurant le plus sélect de la ville certainement. Il me semble qu'elle est fière de m'exhiber.Elle choisi une table excentrée pour que nous y soyons un peu isolés. Je me doute bien qu'elle va me demander des choses impossibles à faire en public. La table où nous sommes a une très longue nappe qui recouvre largement nos jambes. Nous déjeunons et pendant tout le temps, elle le demande de lui mettre un pied sur son con et de l'agiter comme pour la branler. Je la branle comme je peux avec mon pied droit et je la vois souvent fermer le yeux. Elle murmure à chaque fois que je la fait jouir. A un moment elle pose un pied sur la bite qui bande toujours et la presse contre mon ventre en cadence. Je vais presque jouir quand elle arrête encore une fois. Elle se lève et me demande de la suivre aux toilettes.
- Nous venons ici pour que tu continue à me faire jouir: tu sais que je n'ai pas eu d'homme depuis plus de cinq ans alors je veux en profiter: j'en ai assez de me branler toute seule, aussi je vais le faire maintenant devant toi et si tu veux tu peux en faire autant.
Elle s'installe sur la cuvette et écarte ses jambes en relevant la jupe. Elle pose sa main droite sur son con, écarte avec l'autre main les lèvres de son con et commence une caresse qui l'emmène au bord de la jouissance. Elle arrête et me regarde faire: j'ai sorti ma bite et je la prends en l'enserrant dans ma main droite et je descends et monte le long de ma colonne. Je vais de plus en plus vite à cause de mon manque de jouissance dans la matinée très érotique. Elle me surveille et regarde avec attention ma façon de faire et voyant que je me crispe elle sait que je vais enfin jouir. Elle ouvre sa bouche et reçoit mon jus dans sa bouche. Elle avale le tout en me disant à la fin que mon sperme est très bon.
Nous revenons à nos places et finissons notre repas. Revenus à l'étude elle donne congé pour l'après midi à sa secrétaire.
- Reprenons là où nous en étions. Déshabilles toi. Immédiatement et viens me mettre toute nue, y compris les bas.. Dépêches toi.
- Oui maitresse.
- Plus vite: tu traine.
- Oui maitresse
Dès que je suis nu je recommence à bander. Je bande encore plus en lui ôtant ses vêtements.
- Viens contre moi et serre moi contre toi que je sente ta pine contre mon ventre.
- Oui maitresse.
Je la prend dans les bras et le serre contre moi, comme elle le veut. Elle remue son ventre contre ma bite. Je suis prêt encore à jouir: je n'ai jouis qu'une seule fois depuis ce matin et encore en me branlant devant elle.
- Remets moi ta langue dans le cul: j'aime bien comme tu me le fais
Enfin un mot de satisfaction: il y a du progrès. Elle se met la poitrine couchée sur son bureau et écarte ses fesses: elle me donne son cul. J'ai un moment d'hésitation: et si j'y rentrer autre chose que ma langue.
Je crains ses réactions qui risquent d'être violentes. Je me résigne et pose ma bouche près de son cul et sort ma langue pour aller la lui mettre encore une fois ans son anus. Je la promène d'abord autour du cul et ce n'est qu'au bout d'un long moment que je darde ma langue en pointe pour lui donner le plaisir demandé. Elle jouit enfin.
- Tu m'a bien sucé le cul, merci. Maintenant je ne suis plus Maitresse, mais tout simplement Florence.
- Bien tu est Florence et je t'ai fait jouir beaucoup depuis ce matin. Toi tu ne m'a pas fait jouir une seule fois.
- Ne t'en fait pas je suis là pour te donner tous les plaisirs que tu voudra me demander, même les plus ignobles. Tu a payé mes honoraires ce matin et je te promet de gagner ton procès. Maintenant baises moi, s'il te plait.
- Je vais de baiser, et de faire des choses bizarre mais pas ignoble comme tu dis. Je ne vais pas te demander de te prostituer pour moi. Tu le ferait si je te le demandais.
- Bien sur pourquoi pas. Je suis prête à tout.
- En attendant je ne veux que te baiser ou d'enculer, comme tu veux.
- Oui baises moi.
Elle m'emmène dans la salle d'attente où les sièges proches forment une sorte de lit si on les rapproche. Toujours nue elle arrange notre couche et se jette dans mes bras, sa langue en avant : je sort la mienne et nos langues, hors de nos bouches se caressent voluptueusement. Ce moment devient carrément porno. Je lui caresse un sein et pose une main sur son bas ventre. elle m'a pris la bite en main et la branle doucement. Elle m'entraine sur le "lit" et se couche en écartant les jambes,
- Vite j'ai envie de toi: prends moi.
Je viens sur elle et elle me guide vers son puits d'amour: elle mouille et je rentre très facilement dans son con. Elle gémit doucement tout le temps. Elle jouit plus vite que moi. Je sens ses crispations le long de mon chibre. j'arrête le temps de sa jouissance et reprends aussitôt. Cette fois nous jouissons ensemble. Nous sommes fatigués, surtout Florence qui a un réel coup de barre. Je lui demande d'arrêter si elle veut au moins une heure pour qu'elle reprenne son souffle.
Elle ferme l'étude pour la soirée et m'emmene chez elle pour recommencer à faire l'amour jusqu'à ce que nous n'en pouvions plus ni elle ni moi.
Nous partons, la nuit tombe et elle en profite pour se serrer contre moi. Je l'enlace et lui passe un bras autour de la taille. Comme de jeune tourtereaux nous baguenaudons. A peine arrivés chez elle elle se déshabille et me demande d'en faire autant. Elle me dit qu'elle vit nue chez elle. Elle prépare deux cafés et nous les buvons en écoutant une symphonie de Mozart. Nous avons les même gouts musicaux. Nous restons l'un contre l'autre. Jusqu'au moment où la musique s'arrête. Elle remet un autre disque le Boléro de Ravel, musique ultra rythmé pour baiser, avec sa cadence qui va de plus en plus vite. Je prend Florence contre moi à nouveau et l'embrasse à fond. Elle prend encore ma bite en main et ne la branle pas: elle se contente de l'avoir en main. Pour le moment c'est assez excitant. Je pose ma main sur son con et écartant les lèvres je trouve le clitoris que je me mets à branler encore une fois. Elle écarte les cuisses et jouit encore.
Maintenant elle demande une chose que j'aime bien faire et que je n'osais pas lui proposer: faire un 69. Elle m'a dit aux toilette du restaurant qu'elle trouvait que mon sperme avait bon gout, alors que je me branlais. Cette fois je jouirais directement dans sa bouche, au moins j'aurais ses lèvres autour de ma bite. Elle me couche par terre et m'enjambe en m'offrant son con qu'elle pose sur ma bouche. je sens ses seins contre mon ventre et elle ouvre en grand sa bouche. Sa langue commence à presque s'enrouler autour de mon gland et elle rentre ma bite au fond de sa bouche à la limite de sa glotte. C'est la musique qui cadence nos ébats. Nous n'arrivons pas à la fin du morceau: elle jouis dans ma bouche et moi dans la sienne. Nous nous relevons et nous embrassons à nouveau: nous trouvons dans nos bouches le gout de nos sexes. C'est délicieusement dégoutant.
Nous allons nous coucher et elle me montre les jouets dont elle se sert pour ses masturbations.Elle veux même me montrer comment elle s'en sert et y renonce trop fatiguée. Ce n'est que le lendemain, au réveil qu'elle se branle devant moi avec un énorme godemiché. elle me demande , en me voyant bander, de l'enculer pendant qu'elle se baise. Florence est un salope et je n'hésite pas à le lui dire. C'est vrai je suis une salope mais une salope bien élevée. Sous ses apparences d'avocate BCBG elle cache un tempérament de feu. Nous baisons maintenant tous les jours depuis que nous vivons ensemble, liés par un mariage.
PS: j'oubliais de dire que Florence a gagné mon procès.

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Texte coquin : Honoraires
Histoire sexe : Une rose rouge
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