Je vais vous raconter... (1)

- Par l'auteur HDS Jojoesaf -
Récit érotique écrit par Jojoesaf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je vais vous raconter... (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2009 dans la catégorie Plus on est
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Je vais vous raconter... (1)
Je vais vous raconter… (1)

Je vais vous raconter comment ma femme, Laurence, très jolie blonde la quarantaine épanouie, mais surtout très vicieuse à ses heures, s'est faite baiser comme une chienne, par deux blacks distingués.
Mais d’abord, je me dois de vous présenter un peu mon épouse :
Jolie blonde donc, Laurence est d’une nature plutôt sauvage. Son regard bleu vient traduire la féline qu’elle est, inaccessible, sensuelle, et difficile à dompter, ce qui ne l’empêche pas d’avoir un appétit de tigresse à ses heures.
Je résumerai ma description, en vous disant que sur certains aspects, je corresponds à ses attentes.
Nous habitons la région PACA, et il est vrai que malgré nos appétits sexuels respectifs, faute de temps, nous n’avons malheureusement pas beaucoup d’occasions de nous amuser. Plutôt frustrant, lorsque, comme Laurence et moi, on est friands de jeux sexuels et de piment dans la vie.
Un soir d’été, nous avons profité d’un week-end férié, pour sortir dans une discothèque réputée de la région Cannoise, histoire de nous « divertir » un peu.
Grosse ambiance de fête, dans la moiteur d’un mois d’août particulièrement chaud.
Nous étions assis à discuter, attablés dans un des rares endroits plutôt calme de la boite, quand deux hommes, faute de place, se sont installés à nôtre table.
Nous étions un peu surpris et déçus de leur arrivée, car nous étions en pleine conversation « personnelle », et les sujets que nous abordions, chauds et croustillants, ne toléraient aucun dérangement !
Mais très vite le contact s’est fait.
Nos deux compères, étaient en fait très ouverts et sympathiques, et ce qui ne gâte rien, nous faisaient beaucoup rire.
Surtout Laurence.
Je connais suffisamment ma femme pour sentir d’instinct, comme un animal,
lorsqu’elle est chaude et disponible.
Cela m’excite terriblement d’ailleurs, mais j’avoue que la rapidité avec laquelle elle se montra avenante à l’égard des deux intrus d’ébène, me déstabilisa.
Voir mon épouse dans cet état, m’excitait au plus haut point, surtout que manifestement les deux mecs avaient « flairé » eux aussi la « chaleur » qui émanait d’elle.
L’ambiance et l’alcool aidant, ils ne se gênaient plus pour mater le haut des cuisses de ma belle, juste habillées d’une mini jupe mauve, qui laissait entrevoir par légère transparence la finesse de son string.
Laurence s'est très vite retrouvée entre les deux hommes, se laissant aller à une attitude très subjective accompagnée de regards sans équivoque.
Langoureuse et lascive, au rythme de la musique, elle jouait à un des ses jeux préférés : allumer les mecs. Faire bander les mâles.
Les complices, eux, comme pour mieux maitriser la situation, restaient discrets pour lui caresser furtivement les cuisses, et laisser passer leurs mains sur le bout de ses seins.
Juste assez pour que je sois le seul dans la boite, à profiter du spectacle, qui brulait au fer rouge ma jalousie, autant que mon excitation…
Après plusieurs verres, ponctuant ce petit jeu, l’un des deux hommes nous proposa d'aller en boire un dernier chez eux.
Bien sur, nous acceptâmes volontiers, et nous voilà partis en voiture, jusqu'au domicile de nos compagnons de soirée.
Je profitais du trajet pour discuter avec Laurence des moments que nous venions de vivre, et je lui avouais que j’avais été très excité de l'avoir vu assise toute chaude comme ça, entre ces deux beaux hommes de couleur.
Elle me répondit qu'elle aussi avait été très, très très excitée par la situation, et
qu'ils avaient les mains très baladeuses !
Ca, je le savais.
Elle m’avoua même que pendant que je patientais au comptoir pour commander une nouvelle tournée, les deux salauds en avaient profité pour la doigter en toute discrétion, « pour pas que tu t’en aperçoives !», et que très excitée par la situation, s’était laissée faire bien volontiers. Devant et derrière.
Ca, je ne le savais pas.
Je me mis à bander à en avoir mal aux couilles.
J'avais envie qu'ils baisent ma femme devant moi, et je le lui dis.
A peine arrivés chez nos convives, les deux mecs, changèrent d’attitude, et se montrèrent beaucoup plus directs.
Tout de suite, Laurence se retrouva assise entre eux sur le canapé du salon, à se faire caresser et entreprendre sans ménagement.
L’un d’eux, après lui avoir retiré son petit string humide, lui écarta les cuisses et s’apprêtait pour mon plus grand plaisir, à lécher le jus qui perlait déjà, de son abricot mur à éclater, pendant que des mains savantes parcouraient toutes les zones érogènes de son corps.
C’est ce moment là que ma femme choisit pour leur dire:
- « Baisez-moi tout de suite comme une chienne que je suis !
Mon mari veut voir vos grosses bites me besogner, et là, je suis bien prête, bien ouverte à vous ! »
Je n'en revenais pas.
Ni une ni deux elle se retrouva avec les deux énormes membres noirs, à hauteur de son visage.
Je la voyais pomper à fond pratiquement jusqu'aux couilles.
Elle les prenait un par un puis les deux en même temps.
Je savais que Laurence aime sucer, qu’elle adore faire grossir une bonne queue dans sa bouche. Mais là elle était si chaude, si vicieuse…
Plus ils la traitaient de pute, de trou à bites, de chienne, de pisseuse, plus elle gémissait, la voix tremblante de chaleur.
Puis, sans ménagement, ils la disposèrent à quatre pattes sur le tapis, pour la prendre en levrette. Pendant qu’un la pistonnait, elle continuait de sucer l'autre.
Je pouvais la voir jouir, mais ne pouvais l’entendre crier son plaisir, que lorsque sa bouche se libérait.
Les deux compères ont inversé les rôles comme ça, plusieurs fois, avant de la prendre en double pénétration.
Ils la défonçaient l’un devant, l’autre derrière à grand coups. C'était incroyable, ils la baisaient comme une pute et elle, elle leur disait de continuer encore plus fort, elle leur disait qu'elle aimait ça, qu’elle adorait se faire prendre comme une chienne devant son mari.
Pour finir, ils déversèrent leur semence sur ses seins, et se rhabillèrent aussi sec en nous remerciant pour cette soirée.
Mon épouse leur laissa son string mouillé en souvenir, puis nous sommes rentrés chez nous où je l'ai baisé comme on baise une salope, dilatée qu’elle avait été par les deux hommes membrés comme des chevaux.
Dieu que ma femme est belle …

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