Titre de l'histoire érotique : La fille de ma belle mère

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La fille de ma belle mère Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(6.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : La fille de ma belle mère
Mon père remarié après la mort de ma mère a une nouvelle compagne de son âge. Elle a une fille que je ne connais que depuis peu. Elle tient de sa mère: aussi belle et sexy. Dès que nous nous sommes vus nous avons eu un coup de foudre: nous avions envie l'un de l'autre. La première nuit a été difficile tant pour elle que pour moi. Je me suis branlé en pensant à elle: je me voyais entrain de la baiser. J'ai su plus tard qu'elle aussi s'était branlée en pensant à ce que nous pourrions faire.
Le lendemain je l'invitais à venir m'accompagner au cinéma où j'avais rendrez-vous avec des copains. Évidemment elle faisait sensation et mes copains étaient aux petits soins avec elle. Mais une fois assis et le film commencé, je ne pouvais plus me retenir et je posais mes lèvres sur les siennes: l'enfer du sexe arrivait: non seulement elle répondait à mes baisers, mais elle en rajoutait en me caressant la poitrine avec ses mains dans ma chemise. Je lui prenait en sein dans ma main et le malaxais doucement, juste pour qu'elle sache que je pouvais moi aussi aller loin. En réponse, sans doute, elle posait une main sur la bosse du pantalon et commençait à la malaxer. Je bandais de plus en plus. Elle gardait sa main là, en me caressant doucement. Je posais ma main sur ses genoux et remontait très vite vers sa moule qui s'ouvrait aussitôt et je lui branlais le bouton. Elle m'embrassait et parfois de demandait d'aller plus ou moins vite. Je suivais ses désirs et elle jouissait, pourtant le lieu n'était idéal. Elle sortait ma queue et se mettait en devoir de me branler à mon tour: elle savait bien branler. Elle arrêter souvent pour que je ne jouisse pas trop vite et finalement accélérait ses aller et venues et j'éjaculais sur le siège juste en face de moi. Nous sommes partis avant la fin de la séance pour aller chez nous nous isoler un peu pour poursuivre nos jouissances.
Nous étions seuls et en avons profité: nous sommes allés dans sa chambre. Nous avons été vite nus et nous détaillons le physique de l'autre: je voyais une fille aux seins en poire, à la taille fine, aux hanches un peu développées et aux fesses attirantes sur les longues jambes. Elle pouvais voir mon corps et surtout a bite bien bandée qui semblait la viser. Nous nous sommes jetés l'un vers l'autre affamé de désirs partagés. Enlacés nous sommes tombés sur le lit sans nous séparer. Nos lèvres collées nous pouvions nous caresser partout: moi sa poitrine, elle mon bas ventre qui l'attirait: elle voulait avoir en elle ma queue rapidement. Elle était tellement pressée que c'est elle qui m'enjambait pour venir s'empaler sur mon chibre: je pouvais voir son bas ventre remuer sur mon membre et une de ses main se branler le bouton. Elle jouissait et ne quittait pas sa chatte de ma bite toujours bandée. Elle arrivait à jouir encore mais cette fois avec moi. Elle s'écroulait sur moi et m'avouait qu'elle était nymphomane et que les plaisirs sexuels étaient nécessaires à son équilibre.
Pour me prouver qu'elle ne mentait pas elle sortait de sa table de nuit un godemiché de belle taille dont elle se servait pour se branler après avoir jouit de son clitoris. Et pour montrer qu'elle ne mentait pas, devant moi, elle s'enfilait le gode dans la vulve et s'envoyait en l'air rapidement et me demandait aussitôt de venir l'enculer: je suis vicieuse et j'aime bien ce qui est sale dans l'amour. Elle mouillait son cul avec sa mouille et se positionnait en présentant un cul bien sexy pour faciliter la sodomie, elle se branlait le cul avec deux doigts. Je venait à mon tour et je trouvais un anus très accueillant: elle me demandait de loger toute ma pine dans son cul. Bien sur je le faisais. Je la sentais jouir plusieurs fois avant que je ne lâche mon sperme.
Du bruit se faisait entendre dans la maison: nos parents rentraient et donc nous avons cesser de baiser.
Le soir tard elle venait dans ma chambre à peine vêtue d'une courte nuisette transparente. Elle avait en main le godemiché et elle venait contre moi, pour recommencer une baise que cette fois je menais à mon rythme. Je commençais par la sucer. Elle guidait ma langue en me tenant la tête. Elle jouissait et aurait voulu faire un 69 aussitôt. Je voulait moi le faire en dernier. Je venait sur elle et le lui mettait ma queue sur le con et m'y introduisais: elle gémissait doucement. Nous avons joui ensemble. Je voulais un petit moment de répit, elle voulait encore jouir: elle se mettait le godemiché dans le con et le branlait encore. Je la voyais jouir plusieurs fois de suite: elle était infatigable. Je bandais encore rien que de la voir faire. Je la couchais encore sur le dos et là je ne lui demandais rien: je posais ma bite sur son cul et je la sodomisais. Elle jouissait peu être quatre ou cinq fois avant que je ne jouisse à mon tour. Je sortais de son cul et j'ai pu voir à cet instant qu'elle aimait ce qui était sale en amour: j'avais ma pine pleine de foutre et sans doute de matière fécales quand elle me prenait dans sa bouche et lentement me suçait pour avoir son goût dans le bouche. Comme elle me faisait encore bander je jouissais bien cette fois encore. Le reste de la nuit s'est passée en baises diverses et surtout en masturbations avec son gode qui était finalement sa consolation finale.
Par la suite j'arrivais à ne la baiser que tous les deux jours ce qui suffisait pour préserver mon intégrité sexuelle. Le reste du temps de passait, pour elle, en masturbation. Pourtant un jour je décidais de lui faire un cadeau: j'achetais un plug anal et des boules de geisha ainsi qu'un gode vibrant. Je ne pensais pas lui faire autant plaisir: elle a voulu essayer le tout de suite. Elle s'est placée seule le plug dans le cul et réserver le reste pour plus tard. Elle m'a demandé de lui faire l'amour: j'arrivais à la satisfaire largement à cause de ce qu'elle avait dans le cul. Le lendemain elle gardait le plug et se mettait les boules de geisha dans le con. Quand elle déambulait elle avait des moment d'arrêt: elle jouissait. J'étais seul à le savoir avec elle. Le soir pour une fois elle était entièrement comblée des jouissances de sa journée et nos baises devenaient plus abordables pour moi. Nous sommes toujours ensemble, moi parce qu'elle baisse bien et elle parce que je la comprends.

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