Au bureau de ma mère (II)
Récit érotique écrit par Belinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Au bureau de ma mère (II)
- Bonjour maman !
- Ma puce chérie, quelle bonne surprise ! Tout va bien j’espère ?
Bien sur que tout allait bien, en tout cas ma journée avait bien commencé avec cette baise rapide dans l’ascenseur.
- Tout va bien maman, c’est juste que je flâne ici et là et pourquoi pas au boulot de ma mère.
« Bien assieds toi ou fais ce que tu veux si tu t’ennuis »
A peine assise, le téléphone sonna et après quelques mots techniques ma mère se leva précipitamment en s’excusant :
« Surtout ne touche pas à l’ordinateur chérie, j’ai un travail en cours » me lança t-elle avant de sortir en refermant la porte de son bureau.
Ça aiguise toujours ma curiosité ce genre de phrase « surtout ne touche pas à ... »
Je tournai donc son écran vers moi et je vis des tableaux, des graphiques...rien d’excitant en somme.
Puis je remarquai au bas de l’écran une page Internet qui avait été réduite. Il y avait marqué « ébony » suivi de trois points de suspension.
Je décidai d’ouvrir...
Des femmes noires nues se faisant baiser dans toutes les positions et recevaient du sperme plein la figure et sur tout le corps.
« Elle regarde ça ma mère ? » me demandai-je.
Puis je l’entendis parler à sa secrétaire ce qui me fit replacer illico l’écran dans sa position initiale.
Elle entra et se dirigea à son fauteuil. J’avais le sentiment d’avoir oublié quelque chose sans vraiment savoir quoi.
Elle s’asseya en parcourant des yeux une feuille qu’elle tenait en main.
Puis elle déposa la feuille et regarda son écran.
C’est quand elle leva doucement les yeux sur moi que je compris que je n’avais pas réduit la page Internet.
« Bélinda... » Dit-elle doucement. Je t’avais pourtant demandé de ne pas toucher à l’ordi.
« Désolée maman...je ne savais pas qu’il s’agissait de cela » ai-je répondue moi aussi doucement.
Puis elle passa à son travail comme si de rien n’était. 15 minutes plus tard, j’eu envie de marcher un peu. « Je fais un tour aux toilettes » Dis-je en me levant.
« Bien chérie » répondit-elle sans lever ses yeux de ses papiers.
Une fois dans les toilettes, je me débarbouillai le visage et me remis du brillant à lèvres.
J’ai traîné un peu avant de retourner au bureau de ma mère.
Il était 12 heures quand je rouvris sa porte. Elle était debout et se demanda à voix haute où elle avait bien pu déposer ses clés.
Une fois retrouvées, elle dit en éteignant son ordi « allons manger quelque chose, c’est la pause ! »
Dans le couloir des ascenseurs, comme j’étais derrière elle, je remarquai qu’elle portait une robe très courte et assez légère. Mais c’est quand la porte de l’ascenseur s’ouvrit et qu’elle me devança que je vis qu’elle ne portait aucun dessous.
C’est étrange mais à l’idée de la savoir nue sous sa robe, je me sentie toute excitée au lieu d’être gênée.
Une fois dans le parking, elle actionna la commande de déverrouillage à distance de sa voiture, ouvrit son coffre arrière et s’y abaissa pour prendre des sandales. J’eus la confirmation qu’elle était sans dessous. Elle changea de chaussures pendant que je m’installai à l’avant du véhicule. En s’asseyant à son tour, elle ne fit pas attention et c’est ses fesses nues qui se posèrent sur son siège. Je ne pouvais m’empêcher de regarder puis elle me dit:
« Reste concentrée ma grande » en démarrant.
On était toutes les deux pliées de rire quand la voiture sortait du parking.
- Ma puce chérie, quelle bonne surprise ! Tout va bien j’espère ?
Bien sur que tout allait bien, en tout cas ma journée avait bien commencé avec cette baise rapide dans l’ascenseur.
- Tout va bien maman, c’est juste que je flâne ici et là et pourquoi pas au boulot de ma mère.
« Bien assieds toi ou fais ce que tu veux si tu t’ennuis »
A peine assise, le téléphone sonna et après quelques mots techniques ma mère se leva précipitamment en s’excusant :
« Surtout ne touche pas à l’ordinateur chérie, j’ai un travail en cours » me lança t-elle avant de sortir en refermant la porte de son bureau.
Ça aiguise toujours ma curiosité ce genre de phrase « surtout ne touche pas à ... »
Je tournai donc son écran vers moi et je vis des tableaux, des graphiques...rien d’excitant en somme.
Puis je remarquai au bas de l’écran une page Internet qui avait été réduite. Il y avait marqué « ébony » suivi de trois points de suspension.
Je décidai d’ouvrir...
Des femmes noires nues se faisant baiser dans toutes les positions et recevaient du sperme plein la figure et sur tout le corps.
« Elle regarde ça ma mère ? » me demandai-je.
Puis je l’entendis parler à sa secrétaire ce qui me fit replacer illico l’écran dans sa position initiale.
Elle entra et se dirigea à son fauteuil. J’avais le sentiment d’avoir oublié quelque chose sans vraiment savoir quoi.
Elle s’asseya en parcourant des yeux une feuille qu’elle tenait en main.
Puis elle déposa la feuille et regarda son écran.
C’est quand elle leva doucement les yeux sur moi que je compris que je n’avais pas réduit la page Internet.
« Bélinda... » Dit-elle doucement. Je t’avais pourtant demandé de ne pas toucher à l’ordi.
« Désolée maman...je ne savais pas qu’il s’agissait de cela » ai-je répondue moi aussi doucement.
Puis elle passa à son travail comme si de rien n’était. 15 minutes plus tard, j’eu envie de marcher un peu. « Je fais un tour aux toilettes » Dis-je en me levant.
« Bien chérie » répondit-elle sans lever ses yeux de ses papiers.
Une fois dans les toilettes, je me débarbouillai le visage et me remis du brillant à lèvres.
J’ai traîné un peu avant de retourner au bureau de ma mère.
Il était 12 heures quand je rouvris sa porte. Elle était debout et se demanda à voix haute où elle avait bien pu déposer ses clés.
Une fois retrouvées, elle dit en éteignant son ordi « allons manger quelque chose, c’est la pause ! »
Dans le couloir des ascenseurs, comme j’étais derrière elle, je remarquai qu’elle portait une robe très courte et assez légère. Mais c’est quand la porte de l’ascenseur s’ouvrit et qu’elle me devança que je vis qu’elle ne portait aucun dessous.
C’est étrange mais à l’idée de la savoir nue sous sa robe, je me sentie toute excitée au lieu d’être gênée.
Une fois dans le parking, elle actionna la commande de déverrouillage à distance de sa voiture, ouvrit son coffre arrière et s’y abaissa pour prendre des sandales. J’eus la confirmation qu’elle était sans dessous. Elle changea de chaussures pendant que je m’installai à l’avant du véhicule. En s’asseyant à son tour, elle ne fit pas attention et c’est ses fesses nues qui se posèrent sur son siège. Je ne pouvais m’empêcher de regarder puis elle me dit:
« Reste concentrée ma grande » en démarrant.
On était toutes les deux pliées de rire quand la voiture sortait du parking.
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