LE SOUMIS IMPUISSANT (1) : Confession et humiliation à une terrasse de café

- Par l'auteur HDS Patrick g la carpette -
Auteur homme.
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Récit libertin : LE SOUMIS IMPUISSANT (1) : Confession et humiliation à une terrasse de café Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE SOUMIS IMPUISSANT (1) : Confession et humiliation à une terrasse de café
Au cours d’un après-midi ensoleillé de printemps, je me promenais dans les rues du centre ville. Je portais une petite culotte rose en dentelle sous mon jeans, elle avait du mal à contenir ma bite en érection . La simple vue d’une jolie fille ( et il y en avait beaucoup en cette superbe journée !) suffisait plus ou moins à m’exciter . Mais c’était surtout le fait, outre de porter un sous-vêtement féminin ,de penser à ma humiliante condition de soumis impuissant et puceau, qui me faisait bander. Pendant quelques minutes , je suivis une jolie brune pourvue d’une splendide paire de fesses moulées dans un jeans . A la vue de ce beau cul, ce n’étais pas l’envie de le sodomiser qui me venait à l’esprit, mais l’envie de le lécher ( bien sûr , sur l’ordre de la propriétaire ) ou d’un face-sitting. Après avoir ainsi déambulé pendant un certain temps, j’avisai 2 superbes jeunes femmes assises à une terrasse de café , en train de discuter. L’une était une blonde sculpturale aux yeux bleus avec des cheveux ramenés en arrière par une couette . Elle était vêtue de cuissardes , d’un pantalon moulant et d’un T-shirt mettant en valeur ses gros nichons. Sa copine était une brune ( cheveux mi-longs) aux yeux verts . Elle portait un ensemble classique constitué d’un tailleur, qui avait du mal à contenir son arrogante poitrine, et d’une jupe. Et elle était , en outre, chaussée d’une paire d’escarpins. Je m'assis à une table libre en face d’elles. Je pris soins de laisser dépasser ma petite culotte de mon pantalon de telle manière qu’elles ne puissent que la remarquer . Je n’attendis pas longtemps avant de les entendre pouffer .Je jetai timidement un oeil par-dessus mon épaule, je vis la blonde riant me faire signe de venir. Le coeur battant j'obtempérai et allai vers leur table. Je sentais mes joues rougir de honte tandis que mon sexe se sentait de plus en plus à l’étroit .
“Bonjour mesdames ! ” Dis-je très respectueusement en m’asseyant sur la chaise que l’on m’indiquait.
“ Alors ! Lopette ! T’as pas honte de te promener avec une culotte de fille ! ” Me lança hargneusement et sans préambule la blonde tandis que sa copine me souriait narquoisement.
“ Si ! Madame ! J’ai honte.....
- Eh ! Jennifer ! Tu trouves pas que ce mollusque devrait aussi mettre un soutif ! Regarde moi ça ! ” Fit la brune en me pinçant et en me tordant mon mamelon gauche. Il est vrai que j’ai un torse pas très viril ( gynécomastie ), j’en étais d’ailleurs complexé pendant l’adolescence.
“Oui ! Anne-Sophie ! Il n’a pas l’air très viril ! Cette carpette !
- T’aimes les filles ? Mauviette !
- Oui ! Madame ! Je suis hétero mais... je n’ai jamais réussi à faire l’amour ! ”Bredouillai-je
” Oups ! ” Fit moqueusement la brune.
“ Aller ! Dis nous en plus ! Confesse toi ! Impuissant ! ” M’ordonna madame jennifer.
Je m’executai docilement et leur avouai qu'étant très timoré avec les filles , je n’avais jamais réussi à avoir une petite amie. Je confessai aussi que j’avais été voir une jeune et jolie prostituée dans le but de me dépuceler mais que ce fut un échec total car ma bite devint flasque quand j’allai la pénétrer, essai que je n’ai pas eu le courage de renouveler. Et que par conséquent ,à 41 ans, j’étais toujours puceau. Enfin je leur dis que j’avais fini par assumer pleinement mon masochisme ( j’ai des rêveries masochistes depuis ma puberté ), que je ne cherchais plus à me conduire en homme digne de ce nom avec la gente féminine mais en méprisable soumis.
“ Si j’ai bien compris, d’être un raté impuissant ! Ça t'excites ?
- Parfaitement ! Madame Anne-Sophie ! Je suis heureux de mon....triste sort .Evidemment, je serais encore plus comblé si je pouvais réaliser certains de mes fantasmes en étant l’esclave d’une ou de plusieurs femmes ou même d’un couple.
- Ah ! Un couple ! T’aimerais sucer des bites et de te faire enculer ?
- Affirmative ! Maîtresse Jennifer ! J’ai d’ailleurs eu l’occasion d’en .... sucer une.
- Ah ! Ah ! Par dessus le marché , t’es un suceur de bites ! Racontes nous tes fantasmes ! ” M’ordonna maîtresse Anne-Sophie.
Je m'exécutai servilement et leur racontai mes fantasmes. Notamment, je leur avouai que j’aimerais être affligé d’une minuscule et ridicule bite avec laquelle je serais exhibé en présence de jolies filles ( éventuellement accompagnées de mâles dominants bien membrés ) qui ne se priveraient pas de se moquer de ce minus, de m’insulter, et de me faire subir toutes sortes d’humiliations. Tout en parlant, je jetai de temps en temps un regard aux alentours et voyais des gens, notamment un jeune couple à la table voisine, qui avaient l’air , me semblait-il, de se moquer de ma misérable personne .Bien sûr, cela faisait déjà un moment que mon humiliation et mon érection étaient à leur comble.
“ Alors ! Ma chérie ! Que penses tu de ce minable ?
- Je pense , ma chère jennifer , qu’on devrait inviter cette Petite-bite à notre petite soirée pour qu’on rigole un peu !
- T’as raison ! Puisqu’il veut être humilié, il sera servi ! Et en plus , il nous servira de larbin !
- Aller ! Esclave ! Paie les consommations et suis nous ! m’ordonna madame Jennifer en se levant de sa chaise.
Je m'exécutai servilement et suivis donc mes deux maîtresses. En cours de route , j’en profitais pour mater le postérieur de l’autoritaire blonde. Mais son amie me surpris.
“ Cette ordure d’esclave semble s'intéresser à ton cul ,ma chérie !
- Tant mieux ! Je voulais justement changer de papier cul !
- Ouais ! Super ! Je suis impatiente de voir ça ! ” Fit-elle en sautillant de joie.
Puis en s’adressant à moi avec un air de défi “ Alors ! Léche-cul ! Tu te sens capable avec ta langue de servir de papier cul à maîtresse Jennifer ?
- Euh...Oui ! Maîtresse Anne-Sophie ! ” Répondis-je avec hésitation . Nettoyer le cul de belles jeunes femmes avec ma langue est l’un de mes nombreux fantasmes. Mais serais-je capable de le faire dans la réalité ? Vous le saurez en lisant la suite prochaine de cette histoire .



PATRICK G LE SOUMIS IMPUISSANT

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