La star académie : Les premiers émois épisode 2

- Par l'auteur HDS Sabine et Patrick -
Auteur femme.
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Récit libertin : La star académie : Les premiers émois épisode 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La star académie : Les premiers émois épisode 2
Elle ne verrouilla pas sa porte, elle saisit sa bouteille de coca vide, avant de sauter dans son lit ! Entièrement nue sur sa couche, le corps déjà moite de désir, elle se rassura sur sa droite : essentielle, la lampe de chevet allait lui servir de lanterne quand la nuit se serait installée. Sur sa gauche, la psyché lui reflétera idéalement une vue sur… la demeure voisine. Pour la porte déverrouillée, là, c’était son secret…


Installée confortablement dans son lit, Christine se détendit ; elle relâcha tous les muscles de son corps, ceux tendus par cette longue journée. Elle ferma les yeux et tous ses sens commencèrent à se mettre en éveillent… Pour le moment, elle relativisait les bruits parasites qui la distrayaient, mais bientôt, ce sera le silence de son aparté et l’unique murmure de l’effervescence de son corps. Christine caressa son corps avec ses mains, confirma que ses sens étaient bien à fleurs de peau. Son visage s’illumina en guise de réponse et, son esprit pouvait commencer à fantasmer sur les hommes de sa journée. Tout le monde y passait, des hideux aux beaux mâles ; des inaccessibles aux salauds. Occasionnellement, quelques visages de femmes se mêlèrent au casting, mais c’était principalement pour leurs délicates compagnies que « P’tit bec » les appréciait. Maintenant, ses choix étaient fait ! Elle planta son petit décor imaginaire avec des primitifs ou des grosses verges pleines d’impatientes et, peut-être même les deux ! Cette journée n’avait pas été prospère en pointures et mis à part Alain, le célèbre facteur et son enthousiasme, Christine aurait accepté n’importe qui ! Une relation plurielle ? Elle avait quelques amis qui avaient essayé, mais elle ne savait pas s’ils étaient sincères ! Bien qu’elle n’y songeât pas, son extraordinaire physique, tout en formes, lui permettait même une partie carrée. Oui ! Trois garçons avec des sexes démesurés, affolants ; des gaillards aux regards pissant le vice et l’insouciance. Une chose était avérée, forte de la dictature de ses formes, elle les aurait fait mijoter un à un, jusqu’à ce qu’ils se soulagent eux-mêmes en dégorgeant copieusement sur elle ! Dans son lit, les yeux toujours clos, elle ressentait les premiers frissons parcourir son corps rien qu’en songeant aux effluves chauds et acides. Elle aimait faire jouir un homme avec sa main !

Avec un petit doigt expert, elle commença à martyriser son clitoris hautement sensibilisé par l’abandon d’attention. Entre son pouce et l’index, elle enserra ce petit bourgeon et joua avec ses émotions de - future fiancée des fous. Pour une fois, Christine sera la première à prendre son pied, elle coulera sur les draps, impudiques, comme une nymphette au soir de son premier bal, avant de perdre la tête et de crier sa jouissance au voisinage.


Christine ouvre les yeux, elle est essoufflée, émue et le délire s’interrompt pour faire la place à sa lucidité. Elle soupir… et tente de reprendre son souffle. Les nerfs saisis par la stupeur ou l’envie, elle s’étire sur ses draps et se contorsionne en écartant les jambes. Elle ne peut plus résister, elle empoigne fermement sa poitrine à pleines mains : ses mamelles sont là, bien pleines et même bouillante. Le facteur était le premier à rêver de ce qu’elle tenait (difficilement) en main, il aurait sûrement voulu goûter à ces tétons meurtris par des semaines de plaisir solitaire, déguster sa petite fente avec une langue espionne, mais en fait, c’était tous les mâles du village qui rêvaient de la remplir comme des bêtes. À vingt et un ans, Christine avait déjà eu quelques aventures, probablement une petite soixantaine et elle pouvait se venter d’être encore vierge… de derrière comme elle disait. Pourtant, de nombreux « impolis » lui ont proposé de mettre une limite à ce déshonneur et tout particulièrement Baptiste, le gérant de la station-service, qui voulait la financer pour visiter son intimité sacrée. Quelques fois, elle a bien envie de lui dire « oui », ces jours où votre esprit est bien chaud et où, un orifice est un orifice et, la douleur du plaisir ! Pour Christine, cette virginité était sacrée, elle ne la céderait à personne, pas même pour de l’argent, mais simplement pour l’homme de sa vie.


Une brise de fraîcheur vient d’entrer dans la chambre. Désormais, les doigts de Christine s’aventurent vers son sexe, ses grandes lèvres sont déjà humides et le bout de ses ongles luisant de mouille. Plus bas, elle descends son majeur et Christine vérifiait qu’elle coulait dans la raie de ses fesses. Maintenant qu’elle s’est bien caressée, elle constate que c’est tous ses poils bruns qui sont humides. Excitée par cette odeur défendue, elle plante ses doigts sur son minou et le masse avec régularité. Ses doigts se font plus précis au point d’amorcer un sourire de plus en plus large. Au bord du plaisir, elle abandonne sa mounette pour appliquer ses deux mains sur son ventre. Les yeux fermés, elle débute un massage circulaire sur un ventre moelleux, avant de rejoindre sa toison et sa vulve avec laquelle elle a toujours aimé jouer. Christine lance un regard dans la psyché, un reflet marque une présence et l’exhibitionniste constate que la pluie s’est tue.

Elle se tourne et, posée à quatre pattes sur ses draps, elle effleure d’une main ses gros seins qui pendent lourdement vers le lit. Mmm… Ils sont bien fermes et il est dommage que personne ne puisse les toucher, les enserrer, les traire, les violenter avec une paire de mains virile. Elle les reprend généreusement, soupire ; ses seins auraient envie d’une bouche et de quelques quenottes pour faire jouir le corps tout entier. La douleur aurait été son plaisir.

Sa main abandonne ses seins pour son sexe où, elle souille ses doigts avec sa liqueur de perverse. Elle ramène sa main vers son visage, vers sa bouche et hume sa fragrance. Ses doigts glissent vers ses mamelons qu’elle traie, tour à tour, avec une perversité non dissimulée. Que d’envie perverse se bouscule dans la tête de Christine, elle sent la raie de ses fesses balayée par une petite brise fraîche, le tourbillon courre sur les quelques poils de son minou, avant de ressentir clairement un liquide couler de son sexe et filer, épais, vers les poils de son pubis. Que n’aurait-elle pas donné pour être violenté juste quelques secondes ! Pénétrée sans vergogne et humiliée, rabaissée : que cela aurait été bon ; c’était le seul vice capable de réprimer la soif qui étreignait tous ses orifices !!! Christine se redresse, à genou, elle pose ses mains sur ses fesses et les écarte en direction du miroir. Elle aime s’exhiber ainsi, savoir qu’un « vieux » est en train de se régaler du spectacle qu’elle anime ! Elle l’imagine bien, probablement habillé d’un pantalon de pyjama et d’un « Marcel », ses mains doivent caresser son petit sexe de peureux à travers le tissu. Peut-être que déjà, le voyeur a sorti son sexe pour le masturber et rêver devant la cambrure offerte de ce gros derrière dans lequel il aimerait s’engouffrer. Dans quelques minutes, réaliste devant l’impossible, il prendra l’un des soutiens-gorge de sa femme et ne se retiendra plus ! Christine se touchera impudiquement devant le regard du « vieux » ; en devinant cette raie pourvue de deux trous assoiffés de gâterie, le porc quittera sa fenêtre pour s’achever sur son édredon.


Christine plonge la tête dans son oreiller, mais c’est l’importance de sa poitrine qui la fait réagir plutôt que la douceur du coton. Un bras calé sous son ventre, sa main réussis à passer entre ses cuisses et à défendre son sexe. Elle est ravie de sa puissance, l’index pointe son clitoris et elle commence à l’éprouver, alors qu’un liquide visqueux dégouline sur ses autres doigts. elle introduit une phalange dans le con ; complètement trempé ; Christine provoque un petit clapotement, avant de s’introduire un second doigt dans l’orifice en chaleur. Ses râles commencent à se faire audibles, suffisamment pour ne pas ce rendre compte de la présence d’une personne derrière la porte de sa chambre. La poignée tourne… hésite…, alors que… la main de Christine empoigne la petite bouteille de coca. Le goulot côtoie et hésite entre deux orifices. Sa gorge manifeste des râles plus persistants, à moins que ce ne soit le désir qui ne la force à réclamer une visite. La secrétaire de mairie cambre son derrière en l’air, ses fesses un peu grasses sont relativement tendues vers la glace, vers le ou les voyeurs, mais plus simplement vers l’inconnu. Le goulot s’introduit aisément dans sa vulve béante et en même temps, son anus détendu se contracte immédiatement… avant de se rétracter sur le bonheur de sentir le plaisir que « P’tit bec » se donne ! La main de la jeune effrontée pousse cinq centimètres en elle, avant de se visiter avec anarchie et animosité. Son dos s’arrondit de plaisir et sa gorge continue de distiller des onomatopées stéréotypées.

Le visage absorbé par les draps, Christine a du mal à respirer à moins que son « apéritif » ne soit plus suffisant pour satisfaire ses préliminaires. Elle se redressa et agenouillée, elle constata que sa mouille avait ennuyeusement marqué les draps. Elle tourne la tête vers la porte : son regard n’exprime aucune inquiétude, aucun doute, comme si Christine était informée de la présence d’une personne. Elle se pose sur la hanche gauche, devant la glace et retire son « god » qu’elle laisse valdinguer sur le drap immaculé de cyprine. Christine reprend son souffle et en esquissant un sourire en direction de son miroir, elle ressaisit sa bouteille…

Mademoiselle Chapot replie sa jambe droite et sa main préférée dirige le goulot de sa bouteille vers son minou qu’elle pénètre à nouveau. Deux aller et venue suffisent pour la convaincre : elle pointe le goulot humide et baveux vers son anus béant et, après l’avoir bien enduit de mouille, (elle connaissait trop bien les douleurs de la précipitation) Christine se pénètre avec réserve et, pour la première fois… avec le goulot d’une bouteille de 33cl. L’anus de Christine est en fait vierge… de sexe masculin, mais auparavant, elle avait déjà goûté au bonheur d’une auto – sodomie avec beaucoup d’ustensiles sexuelles, légumineux... et autres objets censurés.

Sa mâchoire est crispée, ses yeux clos, mais sa bouche ouverte, juste suffisamment pour extérioriser son plaisir et pour ne pas trop l’exprimer. Christine utilise sa bouteille avec un air de révélation qui ne laisse aucun doute sur son avenir rectal. En tenant une allure constante, elle pose un doigt sur son clitoris bien pansu. Ça ne va pas durer longtemps, le jeu de miroir n’a plus d’importance, c’est son plaisir qui domine et Christine est tellement proche de l’orgasme que plus rien ne peut la déconcentrer. À un instant, elle se déchaîne en cadence, se dilatant l’orifice jusqu’à la douleur, avant que l’essoufflement ne la fasse se calmer. Elle reprend une bouffée, avant de lâcher son outil du plaisir pour éponger son visage dans les draps. Sa couche est trempée, elle découvre que son corps tout entier a perlé sous la chaleur. Des odeurs, mélange de sueur et d’humeur lui remontent au nez. Son dos, humide, sa gorge sèche, un ruisseau dans le canyon de sa poitrine : ça semble l’exciter et elle aime ça ! Elle reprend un mouvement dans son anus béant ; peu à peu, elle s’éprouve, avant d’amplifier l’élan qu’elle donne à ce qui devient un pilonnage sadique.

« P’tit bec » ouvre plus grande sa bouche, Christine a du mal à avaler, le plaisir n’est plus loin, elle plonge une partie de son visage dans l’oreiller, son œil se pose sur le miroir et alors qu’un flash claque soudainement dans la demeure voisine, Christine pousse une série régulière de gémissements d’aliénée, avant de réalisé la complexité de sa situation. Elle en a que faire, elle achève de donner libre cour à son va et viens pour la jouissance… Sans surprise pour elle, la blondasse explose à gorge déployée ; la gueule ouverte, les yeux clos et l’objet du plaisir planté au fond elle, la secrétaire de mairie bave... Alors que la sueur coule sur sa poitrine, que ses tétons sont vulgairement érigés, elle lâche la bouteille pour agripper férocement les draps. Sur un calme relatif, - elle s’introduit à nouveau la bouteille - pour un dernier baroud, mais le plaisir l’a déjà terrassée ! Elle s’écroule - péniblement - dans ses draps, couverte de sueur et le visage imprégné d\'animosité. Soudainement, la porte de sa chambre s’ouvre :


- Christine : que ce passe-t-il ?


Il s’agissait du beau-père, il découvrait Christine en sueur, mais le drap était déjà remonté sur elle. Il regarda à droite, à gauche, et alors qu’il allait vérifier la présence d’un étranger dans la chambre de « sa fille »…


- Laisse-moi ! Ce n’était qu’un mauvais rêve !!!

- Tu es sure ? Tu vas me fermer ces volets tout de suite ! Allez ! Dépêche-toi !


Le beau-père contemple le drap disposé sur le corps en sueur, le tissu commence peu à peu à définir un relief très précis d’un corps plus que torride.


- Où est ma mère ?


Sans plus attendre, l’homme quitte la pièce en laissant à Christine tout le loisir de retirer le drap sur son corps humide. Le tissu est devenu aussi trempé que la sodomisée. Christine retire son goulot de bouteille planté dans son derrière, avant de s’écrouler plus - aisément - sur le dos.

Elle regarde le chevet et son réveil mécanique : 22H30 ! Christine pose sa bouteille sur le sol, sèche son sexe avec quelques mouchoirs en papiers. Nue, elle se lève et va fermer la porte de sa chambre à clef. Près de la fenêtre, Christine ferme les volets, avant de laisser sa fenêtre entrouverte. En revenant près du lit, elle pose son pied sur l’épais tapi et s’étonne de sentir du mouillé sous ses pas. Elle s’assoit sur son lit et vérifie la présence d’une substance épaisse imprégner dans la descente de lit. Christine sent cette chose qui reflète une odeur familière : c’était de la semence d’homme ! D’où venait-elle ? Que faisait- elle là ?

Peu enclin à se poser des milliers de questions, Christine s’allongea sur son lit et, empoignant quelques peluches, elle s’endormit ainsi, épanouie et heureuse.



La nuit fut plus fraîche que d’habitude. Christine dormit très profondément et pour cause !… Elle profita de la négligence de sa mère pour ouvrir un œil sur un splendide soleil et 9H45 ! Elle était en retard et au vu de son réveil très tardif, elle devint philosophe pour préférer repenser à ses plaisirs de la veille ! Ses draps étaient encore humides ; elle esquissa un sourire et s’étira comme une chatte. Dieu qu’elle avait passé un bon moment !!! Le voisin avait dû se régaler ; elle était impatiente de le croiser et constater le mal-être dans les yeux du coupable. Christine se posa sur le bord de son lit, elle plaçait ses cheveux blonds en arrière et tout de suite, elle pensait à une douche.


Trente minute plus tard, Christine passa un appel à la mairie, elle voulu s’expliquer avec le Maire à propos de son retard, mais oh surprise, ce fut Justine qui décrocha :


- Justine ?! Que fais-tu là ? Tu ne commençais pas à 13 heures ?

- Euh… Non Christine ! Ce matin, comme je n’avais rien à faire, j’ai décidé de prendre mon service plus tôt, prendre de l’avance dans les affaires urgentes de la mairie. (petits rires de nunuche) Monsieur le maire !!!…

- Qu’est-ce qu’y se passe, Justine ? Oui ! Que fais-tu dans le bureau du Maire ?

- Non, rien ! Ça ne te regarde pas ! De quoi je me mêle ?!

- Prends garde à tes genoux !

- Connasse ! Tu m’as l’air bien expérimentée !

- Oui ! Bon à part ça : qu’est-ce que je fais ?

- Je te dirais bien quelques choses, mais je pense qu’il serait plus futé de venir à 13 heures ! Je te sauve la vie, ma puce ? Tu pourras me remercier !?

- Oui ! À tout à l’heure !


À l’autre bout du fil, Justine avait déjà raccroché. Christine avait de la chance ! Une divine providence ou autres choses, quoi qu’il en soit, sa collègue avait bien fait de demander une augmentation !


La secrétaire la plus célèbre du village eut la permission de commencer à 13H00 et c’est sur le coup des midi, après une virée à la Poste, qu’elle se présenta au café – restaurant…

À son apparition, elle suscita le silence parmi la vingtaine de consommateurs. La faune était assez hétérogène, des vieux, quelques jeunes, mais surtout des jeunes trentenaires. Pour la première fois, elle découvrait des nouvelles têtes dans le village. Un bref « bonjour ! » général suffisait à faire taire les derniers réfractaires. Pas un regard ne manquait à l’appel, heureusement qu’elle en avait l’habitude, sinon, elle n’aurait vraiment pas su où se cacher. Christine se dirigea vers son endroit favori : le rayon de la presse ! Elle dévora la presse people et plus rien autour d’elle ne l’interpella ! Mais… elle n’était pas dupe et savait bien que dans son dos, une bonne partie du bar lorgnait sur la cambrure de ses riens ! Abandonnée la robe noire, aujourd’hui, elle a adopté une petite robe verte encore plus légère et plus fine que celle d’hier, mais aussi plus courte. Son décolleté est limité par les fines bretelles d’un bout de tissu qui couvre le tiers de ses cuisses.

Pendant cinq minutes, il y eut comme un climat pesant et observateur, tout le monde ne savait plus où donner des yeux ! Quand on dit lourd, ce n’était pas à l’image de ses jours de défaites du quinze berjallien, mais plutôt une ambiance de celle que l’on retrouve quand une jeune femme se retrouve entourée d’une vingtaine de Messieurs en chaleur. Pour les clients du café – restaurant, exit la lecture du quotidien régional et les commentaires sportifs, exit les joueurs « gratteurs », les hommes pressés, puisqu’ils ont décidé de s’installer à une table pour… consommer autre chose qu’un apéritif. Trois vieux parlent tout bas de la star, un petit groupe de jeunes trompe leurs copines du regard et, depuis une dizaine de minutes, le patron surveille du coin de l’œil la belle crinière blonde.


- Eh Christine !!! Tu achètes ou tu arrêtes de lire la presse !… Compris ? Si tout le monde fait comme toi, vous allez ruiner mon commerce !!!

- Tant que je suis là, tu n’as rien à craindre ! Tu devrais être au petit soin de tes voyeurs ! Il y a pas mal de gens dans ton bistrot qui ne consomme pas ! Regarde !


Le nez toujours plongé dans ses revues, elle cassait l’ambiance et le patron de l’établissement se dirige vers elle. C’était un ancien adjudant du 74ième régiment d’artillerie. Il avait claqué la porte de sa caserne pour réaliser son rêve de toujours. Plutôt costaud ; plus dodu que musclé, il est respecté de tout le monde, y compris des suicidaires. Mais pour Christine, c’est une tout autre affaire ! Elle était la fille de l’une de ses ex-conquêtes ! Mais sa noblesse de cœur s’arrêtait là ; la jeune femme le troublait, mais ce n’était pas de l’amour ! Quand il l’a voyait jouer les garces ou, résister à ses ripostes, on sentait bien que derrière le commerçant se cachait l’ébauche d’un animal et plus, une bête avide de sexe.


- Dis – moi la belle : on ne te voit plus trop traîner dans le coin ? La mairie t’a prise à plein temps ?!

- En tout cas, moi, je travaille ! Servir des chopes de bière toute la journée, je n’appelle pas ça travailler !


Elle le défie du regard, prépare la riposte tout en découvrant ses yeux d’alcoolique la reluquer. Il faut peut-être qu’elle se calme, le visage de l’ex-adjudant se teinte et ses yeux ne peuvent plus se détacher de sur le tissu d’une robe déformée par une poitrine hors norme.


- Toujours à mi-temps à la mairie ?

- Oui ! Village à la con, n’est-ce pas ?

- Vous les jeunes, si vous vous bougiez un peu, arrêtiez de jouer, vous ne seriez plus lymphatique !

- Ne te donne pas des airs : tout le monde sait que tu es un gros con !

- Ne joue pas ce jeu-là avec moi ! Tu ne t’es pas vu ?! Tu devras descendre sur Lyon, tu n’auras pas de mal à gagner ta vie !

- Je préfère être ce que je suis plutôt que ce que tu es ! Je ne compte pas rester dans ce bled paumé toute ma vie ! J’ai des rêves, des ambitions et je me bouge quand même, comme tu dis, pour réussir !

- Oui, le nez dans tes bouquins, à jouer à des jeux à la con ! Pauvre fille !

- Ces jeu comme tu dis, c’est mon avenir ! C’est mon passeport pour une autre vie ! Maintenant, tu as plein de possibilité pour devenir une star, la télé recrute plein pot et le net, j’en fais pas commentaire ! Un jour, je serai une star de la télévision, je serai invitée par JP Foucault, j’animerai le concours de miss France et je ferai même du cinéma ! Et toi ?

- Moi ?! Je veux juste vendre du plaisir et du bonheur aux gens !


Elle pose sa revue, défie du regard les personnes qui la dévorent et réattaque le patron de l’établissement.


- Dès que j’ai suffisamment d’argent, je quitte ce trou perdu au milieu de nulle part et des nulles !

- Bonne chance ! Sincèrement !


Agacée, elle quitte son coin presse pour se réfugier vers une table à distance des autres consommateurs. Le patron regagne fièrement sa caisse, non sans en rajouter sur sa prestation.

Les clients jouent les mateurs, la plupart d’entre eux n’ont plus vu de femme voluptueuse depuis des années ; pour certains, Christine leur rappelle cette époque où les femmes n’avaient pas honte de montrer quelques rondeurs bien placées. La future star n’avait pas froid aux yeux et c’est dans des poses équivoques qu’elle décidait d’attirer les regards sur ses atouts.

Dans un coin du café, cinq retraités sont réunis, en catimini, ils semblent parler de choses très sérieuses, cependant, l’un d’entre eux n’arrive pas à se concentrer sur le sujet, mas uniquement sur des cuisses très dénudées et la paire de jambes bien croisées de Christine. Il est fou ! Au propre comme au figuré, car ne voilà t-il pas que discrètement, il sort son sexe de sa braguette et commence à se masturber sous la table. Pendant quelques secondes, personne ne se doute de quelques choses, mais lorsque l’un des anciens vire à l’écarlate, les autres s’interrogent. Mais le groupe n’est pas indigné, en secret, ils comprennent la démarche de leur collègue dans des ricanements qui se perçoivent jusqu’au fond de la salle. Peu à peu, le malaise flotte dans le café restaurant. À un instant, Mademoiselle Chapot tourne la tête vers nos cinq compères et le fauteur s’interrompt. Dévisagé par ce regard plein de malice, Alphonse ne peut résister, soutenant les yeux bleus, il termine de se secouer avant de jouir sur lui et ses doigts. Christine continuait de le regarder et elle lui esquissait un sourire narquois.

Le patron avait vu toute la scène et tout ça n’était pas sans l’intéresser. Derrière son comptoir, il avait bien vu les terribles effets que cette blonde incendiaire produisait dans les braguettes. Est-ce pour la même raison qu’un flux inhabituel de consommateur s’en allait vers les toilettes ?

Quoi qu’il en soit, une idée venait de germer dans l’esprit lucratif de l’ex-militaire. Il se dirige vers son allumeuse de braguette avec un panaché…


- Dis – moi Christine, est-ce que tu pourrais passer après ton travail : il faudrait que l’on parle tous les deux !

- De quoi veux-tu me parler ? (léger silence) Tout ce que je sais, c’est que ce n’est pas pour me sauter : même idiot, tu l’aurais demandé plus discrètement ! Toujours pas de femme ?

- Je ne te trouve pas drôle ! Ton grand-père serait bien triste de te voir ainsi !

- Alors ? C’est pour quoi ?

- Tu verras !


Il esquissait un sourire et allait secourir le pauvre retraité avec un torchon.


Pendant que la secrétaire oeuvrait à la mairie ; au premier étage de la maison de Christine, la mère est en train de faire un brin de ménage dans la chambre de sa fille. Un vieux T-shirt moulant sur le dos et une petite jupe en jean, elle révèle des formes semblables à celles de sa fille, sauf que la mère est plus mince de taille. Après un bon coup d’aspirateur, un fort courant d’air circulait entre la porte et la fenêtre. Les senteurs matinales embaument encore la pièce et Madame Chapot s’attaque à la remise en état du lit de sa fille. Elle remarque que depuis hier, les draps ont souffert, ils sont plissés et pleins d’indications, des tâches étranges qui ne la trompent pas.


- Qu’est-ce qu’elle m’a fait !? J’aimerais qu’elle prête plus d’attention à son linge ! Il faut que je lui dise de mettre sa nouvelle couette !


Elle retend la housse et laisse le champ de bataille respirer au frais. Dans l’armoire, elle range les piles de linges qui ont tendance à ce désordonné avec l’impunité de Christine. Tendant les bras en hauteur, elle fait remonter sa jupe un peu haute : elle est aussi désirable que sa fille ! Sur un autre rayon, elle sort une pile de sous – vêtements « sombres », mais elle est surtout constituée par des soutiens - gorges qui par la taille imposante de leurs bonnets prennent toute la place. Elle les pose sur le lit, quand soudainement, une voix masculine interpelle Elisabeth par surprise:


- Tu devrais la laisser faire la gamine ! Tu lui passes trop de caprice : elle a quand même 21 ans !

- Je sais, mais elle a besoin que sa maman s’occupe encore un peu d’elle ! Et ça me fait plaisir ! C’est mieux !


Elle pliait un soutien-gorge XXL sous le regard du beau père qui savourait tout autant son mégot de cigarette. Mal à l’aise sous sa chemise élimée, il remonta bien haut son pantalon trop large.


- Tu ne t’en débarrasseras jamais si tu continues à la câliner ! Laisse lui vivre sa vie et tant pis si elle part de travers, je serais là pour la corriger !

- Tu as une drôle de manière de t’accaparer le rôle du père ! Je trouve qu’elle n’a pas suffisamment de liberté ! On voit que tu n’as jamais eu d’enfant !


Il demeure silencieux, il vient au centre de la chambre et abandonne un regard critique sur la grande armoire.


- Tu as vu comme elle s’habille ?! Tu pourrais la sermonner ! Chaque matin, j’ai l’impression qu’elle va faire le trottoir ! Ah oui ! Tu peux être la mère à sa fifille, mais elle tourne mal ! Va savoir ce qu’elle fait dans notre dos !

- Elle vit sa vie : c’est l’essentiel ! Tes paroles sont disproportionnées ! Christine traverse simplement une mauvaise période !

- Défends-là ! Mon cul ! Je te le dis, elle finira mal !


Il se rapproche du lit et pour la première fois depuis son arrivé, ce n’est pas sur les sous- vêtements de Christine que ses yeux se concentrent, mais sur les courbes de sa « femme ». La mère s’en prend à lui, s’attaque à son cigare, mais le fumeur déballe rapidement son sexe qui prend de suite des proportions stupéfiantes.


- Non, pas ici ! C’est la pièce privée de Christine ! Non !

- Là ! Maintenant, dans la chambre de ta fille, allez !!!

- Tu n’es qu’un pervers, une fois, ça suffit !


Avec difficulté et objection, il remonte la jupe, mais finalement, la mère ne cherche pas à fuir, bien au contraire, elle saisie le bloc de chaire à pleine main. Il n’en faut pas plus pour ravir le beau-père qui commence à râler sous les coups de poignet. Son pieu finit de se durcir entre les doigts experts, avant d’atteindre une bonne vingtaine de centimètres. Une main frêle, mais ferme, expérimentée, décalotte le gland, avant que Monsieur ne fasse trébucher Madame sur le grand lit. Le beau père s’empresse de lui enlever sauvagement sa petite culotte et il vient la rejoindre sur la couche. Goulûment, la mère avale l’énorme sexe qu’elle suçote peu de temps avant de se mettre à quatre pattes et se faire pénétrer sauvagement par son mâle en rut. Il la force quelques minutes, avant de jouir en elle. En se retirant, il laisse une bonne giclée de semence souiller le lit.


Au village, l’horloge du clocher avait tourné : il était 17 heures 20, Christine arrivait dans le café encore rempli de monde. Elle se dirigeait de suite dans le bureau du patron.


- Alors ?! Qu’est-ce que vous me voulez ?

- Assieds-toi !

- Non, je reste debout ! Je n’ai pas envie que tu cherches à reluquer ma culotte ! Alors ?

- Tu m’exaspères !!! Si tu veux travailler avec moi, il faudra que tu sois plus aimable avec la clientèle !

- Tu veux que je sois serveuse ? Ça ne va pas ?! C’est un travail de pute !

- Tu y vas fort ! Curieux raccourci ! Non ! Ce sera que pour servir le week-end au restaurant, le dimanche et peut-être le samedi ! aidez à la plonge !… Des petites choses comme ça !


Elle réfléchissait et semblait séduite par cette proposition :


- Tu paies combien ?

- Ce sera au forfait !

- Ne me prend pas pour une conne ! Combien ?

- Sept Euros de l’heure !

- (elle réfléchissait) Le samedi ? Ça tombe bien, je ne fais rien ! Et la semaine ? Tes clients, y mangent bien, quand même ?!

- Oui, bien sûr, mais le week-end, j’ai davantage de monde et la semaine, j’ai déjà quelqu’un !

- Et pour servir ?

- Serveuse ? Il n’y a pas de problème !

- Je conserve mes pourboires ! Je m’habille comme je veux !

- Comme tu voudras !

- Je commence quand ?

- Demain ?

- Pour le week-end : c’est sure ! Mais pour demain… Écoute, je t’appellerai pour te dire si ça me convient !

- Eh !!! C’est moi qui devrais en convenir !…

- C’est à prendre ou à lasser ! Et je pense que tu n’as pas trop le choix ! (sensuelle et garce) La bonne main d’œuvre se fait rare !…


Le patron reste silencieux, mais au fond de sa braguette, il est en joie d’avoir employée, (et plus si affinité) la star du village.

Déjà, les résultats de son opération s’inscrivent sur l’écran de son mental, mais après le départ de Mademoiselle Chapot, c’est un double zéro qui obsède le patron.



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