J'ai appris que ces trous s'appelaient des glory holes

- Par l'auteur HDS GEREMIE -
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Récit libertin : J'ai appris que ces trous s'appelaient des glory holes Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2009 dans la catégorie En solitaire
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J'ai appris que ces trous s'appelaient des glory holes
j'aime bien aller de temps en temps dans des sexe-shops. L'ambiance y est feutrée, discrète et la petite musique est sympa. J'essaie de changer et ne pas toujours aller au même endroit.
La dernière fois je suis aller à Mérignac et j'ai maté où il pouvait y avoir des sexe-shop.
J'en ai trouvé une, m'y suis introduit et comme d'habitude j'ai consulté les k7 qui se présentaient sur les rayons. Là le rayon hétéro, là les homos, là les trans. Je consulte les nombreuses k7 homo ; les musclor, les minets, les jeunes.
J'aime bien ces derniers, je prends une k7 à visionner et la présente au comptoir où un homme la trentaine distribue les k7 et accompagne les clients pour leur règler leur poste.
Je m'installe, baisse mon fute et mon slip commence à regarder la k7, et m'aperçois que ce n'etait pas la k7 que j'avais choisie. Mais au moment où j'allais me lever, juste à côté de moi, par un trou bien découpé,, je vois une belle bite décalottée, entrer et sortir... Je mate ce beau membre, puis me décide de le toucher du bout des doigts. La verge est chaude et tendue, sa peau fine est lisse, quelle merveille ! ! !
Je la saisis à pleine main et l'ausculte sur toute sa longueur...Elle est bien raide et je commence à la branler doucement, puis irrésistiblement, je me penche et commence à la sucer. Son goût est exquis, je lape la petite goutte qui vient de perler puis je me mets à la pomper toute en la branlant. Mon geste se fait de plus en plus fort et de plus en plus rapide, la queue se tendit encore plus et lâcha plusieurs saccades de sperme dans ma bouche que j'avalais au fur et à mesure. De ma main je la serrais pour en faire ressortir toutes les gouttes, puis après avoir diminué de tension, la queue disparut comme elle était arrivée.
Je n'en revenais pas de ce qui venait de m'arriver : cette queue délicieuse d'un inconnu, c'était fantastique.... Je me remis sur ma chaise, et repris ma petite branle en regardant l'écran où deux minets s'enculaient dans un pensionnat de curés.
Ma queue commençait à prendre une bonne tenue quand je vis par le même trou une autre verge bien décalottée, plus modeste mais mignonne et bien dessinée. J'arrêtais aussitôt ma branle et je me mis à genoux et ouvrit largement ma bouche et engloutissais ce nouveau membre inconnu. Mon inconnu apprécia ma bouche et fit des va et vient. Je la suçais, la lèchais, l'aspirais, la titillais jusqu'à ce qu'un jet de sperme jaillisse dans ma bouche. Sperme dont j'avalais chaque goutte avec délice.
Ce soir là en une heure j'étais comblé sans m'y attendre. Peut être y aurait-il une troisième bite à sortir du trou magique ?
Non ! au bout de 10 mn, je vis un doigt qui tournait sur la circonférence du trou. Je me mis debout et mis ma queue tendue dans ce trou de cloison. Aussitôt mon gland fut happé et une bouche chaude le suça. Il y avait de l'expérience derrière cette cloison. les lèvres parcouraient ma tige puis la langue titillait, la bouche aspirait et j'étais là plaqué sur cette cloison. Je sentais la sève monter et je faisias tout pour me retenir, pour que ça dure plus longtemps, mais rien à faire, j'étais trop excité... je lâchais tout mon jus dans la bouche de cet autre inconnu.
Une fois ma queue bien vidée, je l'essuyais avec le papier mis à disposition, me rhabillais... la k7 était finie et ressortis comme j'étais arrivé. Personne dans le hall à part le gérant. Je ne saurais donc jamais qui j'avais sucé et qui m'a sucé ! C'est peut-être mieux comme ça. J'ai appris le lendemain que ces trous dans les cabines de sexe-shop s'appelaient des glory holes.

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