Chantal franchit un nouveau cap avec un jeunot. - histoire érotique

Chantal franchit un cap pour mon plus grand plaisir.
Cet été, en vacances en Bretagne, nous sommes allés avec Chantal faire une ballade le long de la plage vers les dunes. Un parapet domine le sable tout le long de petites plages séparées par des barrières destinées à contenir le sable. Il fait très chaud. Sur une plage, seul, un jeune est comme prostré, adossé contre le parapet un mètre en contre-bas. Il ne prend même pas le soleil, il ne dort pas. Il est là simplement. Il ne porte qu’un maillot de bain style short qui lui arrive à mi-cuisse. Ce qui me surprend c’est que son maillot est baissé largement sous sa taille. Au ras du pubis. Sa bite doit être juste derrière. Malgré qu’il soit presque allongé on devine une silhouette longiligne. Il est presque maigre. On passe. Sur le retour une heure plus tard il est encore là. Dans la même position. J’imagine, je ne sais pas pourquoi, qu’il doit avoir un chagrin d’amour. Cela me trouble, il a l’air désemparé et même temps une sorte de sensualité s’échappe de tout son être. Chantal qui m’accompagne n’a pas dû le remarquer. Je m’arrête à son niveau, il se retourne, me jette un regard.
- « Vous voulez boire un coup m’entends-je lui dire ? »
Je ne sais pas pourquoi j’ai prononcé cette phrase. C’est vrai qu’à l’aller, il m’avait troublé et des images de sexe avec Chantal m’avaient traversé l’esprit. Mais rien de surprenant je ne fais qu’avoir des fantasmes de cul avec ma femme qui me les refuse systématiquement.
Après quelques secondes pour revenir de sa surprise il accepte et se lève. Il est très grand et très mince comme je l’avais imaginé. Son short maillot de bain est vraiment bas sous la ceinture ! Il est trop petit. Chantal ne comprend pas très bien pourquoi je fais cela mais elle trouve le gars sympa et c’est elle qui lui parle le long du trajet. On arrive vite à la maison. Chantal amène des boissons sur un plateau. Il fait très chaud et pour ne pas gêner le jeunot, nos nous sommes mis en maillot de bain. Chantal a passé un bikini deux pièces, noir. Le haut est maintenu par de fines bretelles sur les épaules. Le bas est assez mini mais ne laisse voir que de la peau bronzée, c’est celui qu’elle porte pour hâler sa peau au maximum.
Assis en face de nous, on parle de bronzage car il est rouge de coups de soleil sur sa peau blanche.
- « Je vais avoir la marque du cycliste, dit-il désabusé. »
J’aime bien la trace du maillot chez les femmes. Quand on découvre un sein tout blanc sur une peau bronzée on découvre une partie qui garde et livre son caractère de caché, de trésor. On sait que ce sein n’a pas été vu par des centaines d’yeux. Peu l’on caressé du regard et cela lui donne une sensualité accrue.
- « Les femmes qui exposent leur corps, ne gardent plus aucun appât pour leurs amoureux. Elles violent leur propre jardin secret. Ne pas tout dévoiler, voilà le secret d’une soumission vraiment érotique ! ».
Pour appuyer et illustrer mes propos comme pour le convaincre, quand je passe près de Chantal, assise en face de lui, je tire rapidement sur la bretelle de son haut de maillot découvrant un sein tout blanc. Il n’a rien raté même si Chantal en râlant a caché prestement son trésor. Lui il est tout rouge. Il ne comprend pas bien ce qui vint de se passer.
Nous échangeons des propos anodins et petit à petit le courant passe entre nous et surtout avec mon épouse, revenue de bonne humeur, qui le trouve de plus en plus sympathique. Moi je suis obsédé à l’idée d’en montrer encore plus à notre jeune invité. Surtout que je remarque la bosse qui déforme son maillot vraiment top petit.
Plus tard comme elle passe près de moi, les mains encombrées d’un plateau qu’elle ramène en cuisine, vicieusement, dans son dos, je tire sur son slip pour le baisser, découvrant le blanc de ses fesses qu’elle a bien rondes avec une raie qui remonte très haut dans la cambrure de ses reins. Elle doit s’éloigner les fesses à l’air, sans pouvoir les masquer ni éviter l’ondulation de ses hanches. Notre jeune invité est encore plus troublé et son mince maillot de bain laisse voir qu’il bande.
- « Tu vois, c’est bien plus joli comme cela et l’effet érotique est plus intense. »
J’ajoute quand mon épouse s’est éloignée :
- « Encore plus quand c’est volé à l’intéressée… ».
Quand Chantal revient dans la pièce elle est folle de rage et me traite d’obsédé. Surtout qu’elle remarque à son tour la bosse que le jeune ne peut plus dissimuler. Elle est à son tour très gênée et reste interdite. Alors passant derrière elle, je lui bloque les bras dans le dos et brutalement je lui baisse complètement le haut de son maillot. Et je laisse ses deux seins ainsi exposés quelques secondes pendant lesquelles notre invité reste les yeux scotchés sur la poitrine toute blanche. Chantal à ma grande surprise ne se rebiffe pas et reste même passive quelques instants.
- « Regarde comme ils sont beaux, avec ce blanc laiteux. »
En effet, un dessin blanc souligne le tracé de sa poitrine. Au centre, les deux mamelons pointent, couleur caramel. Leurs pointes se détachent en signe d’excitation. Chantal a de très jolis seins qu’elle ne montre que très rarement, habitée d’une pudeur exagérée pour ma part.
A ce moment, le jeune homme a une érection brutale et poussé, le bout de son gland s’échappe de son slip de bain. Chantal ne bouge plus et fixe le sexe tout rouge, décalotté. Il est de très bonne taille, long et large. Profitant de cette seconde de surprise, je lui baisse le bas du maillot pour le faire descendre jusqu’à mi cuisse la dénudant complètement. La tache brune de son pubis sur la trace blanche du maillot est terriblement excitante. Deux triangles superposés.
Avant qu’elle ait pu se dégager et se couvrir, on voit un jet de sperme gicler du gland qui dépasse du slip du gars et qui vient s’écraser à nos pieds. Il essaie de se cacher et avec ses mains, de contenir le flux abondant qui déborde de partout et qu’il a du mal à dissimuler à nos regards. Chantal dans un premier temps reste là, plantée, ébahie par ce qui se passe devant elle. Elle fixe tour à tour le gland et le visage du jeune homme en lutte avec son éjaculation. Enfin, elle m’échappe pour aller se rajuster.
Notre invité est tout rouge de confusion, les mains pleines de sperme. Je le rassure en lui disant que c’est moi qui ai voulu cela. Mon plaisir est immense et ce qui lui est arrivé est le plus beau compliment qu’il pouvait faire à ma femme. Quelques minutes après Chantal réapparaît, une boite de kleenex à la main et la tend au jeune homme. Elle a passé une robe d’été légère boutonnée sur le devant et sans ceinture. On la devine nue sous le fin tissu légèrement transparent. Cette fois on comprend qu’elle a décidé et accepté de se montrer. Elle sourit car elle a choisi de ne pas donner trop d’importance à cet incident. Elle regarde le jeune homme, et soudain s’approche de lui, prends un tissu de papier et entreprend d’essuyer le gland encore maculé de sperme. On reste tous les deux interdits. Quand sa main saisit la bite, elle regagne aussitôt en vigueur et se dresse à nouveau.
Chantal doucement se saisit du maillot de bain et le baisse sur les cuisses de notre inconnu. Lentement, elle se saisit de la queue à nouveau toute droite et se met à l’essuyer consciencieusement. Un silence s’installe, le temps s’arrête. Alors rapidement son mouvement se transforme en une douce masturbation. Face au jeune homme, elle le regarde dans les yeux avec un sourire coquin qui veut tout dire. Lui s’enhardit et défait les boutons de la robe qui s’ouvre sans attendre. Il écarte les pans et contemple à loisir le corps exhibé. Chantal laisse faire et poursuit sa masturbation du jeune homme. Sa respiration soudain s’accélère en même temps que ma femme accentue son mouvement et dans un râle, il éjacule une seconde fois, déversant une giclée encore abondante de sperme qui cette fois vient s’écraser sur le ventre nu de mon épouse.
Moi je jouis à mon tour au même moment sans avoir eu besoin de me toucher.
Chantal est ravie, elle s’essuie le ventre, se rajuste et tendrement dépose un baiser sur les lèvres de notre complice. On se sépare dans la bonne humeur.
Moi je devais me branler plusieurs fois en repensant à cette aventure.