Bain de nuit

- Par l'auteur HDS Anuanua -
Récit érotique écrit par Anuanua [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Bain de nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bain de nuit
Il était 21h lorsque je rentrais d'un repas chez ma mère pour me rendre chez mon père où je dormais. Mon père me laissait la voiture et, à deux pas de la maison, je décide de m'arrêter pour aller me baigner un peu. J'étais en pantalon en nylon avec un débardeur et j'avais dans la voiture un short en nylon et un pull. En m'arrêtant sur le parking entièrement vide juste à côté de la plage, j'avais remarqué deux jeunes hommes assis non loin dans la pénombre avec de la musique sur un téléphone portable et consommant sûrement quelques drogues illicites... Mais je n'y avait pas trop prêté attention. Je décide donc de me changer, mettant le short à la place du pantalon et le pull à la place du débardeur. En sortant de ma voiture, les deux jeunes m'accostent: "Hey, tu vas travailler" Je pense innocemment à l'hôtel qui est juste à côté de la plage. "Non, répondis-je, je vais me baigner!" ; "A cette heure-ci?!" S'étonnaient-ils ; "ben ouais!" Dis-je gaiement en me rendant vers la plage. Une fois arrivé sur la plage noyée dans la nuit, je décide d'enlever mon boxer pour le garder sec. Je remets mon short en nylon, j'enlève mon pull et je vais à l'eau. Je repense au fait que ces deux jeunes gens pensaient que j'allais travailler... Et corrélant ce fait aux moeurs locales, je me rendis compte que ceux-ci faisaient en fait plutôt allusion à une quelconque forme de prostitution (Assez assumée par ici). Je ne suis pas resté longtemps dans l'eau. Je me suis rincé puis j'ai remis mon pull (Je n'avait pas de serviette, cette escapade n'était pas prévue) et je retourne vers ma voiture. Sur le parking, des policiers s'étaient arrêtés pour faire une banale ronde, rencontrant ainsi les deux jeunes hommes qui leurs paraissaient tout à fait en droits. J'arrive près de ma voiture, l'ouvre et commence à enlever mon pull pour me changer. Je vois bien que le fourgon de Police par le spectacle que je donne est tout de suite mon pressé de partir et les agents entament un peu ailleurs une discussion désintéressée avec les deux jeunes du parking. Ayant remis mon débardeur et laissé profiter la vue de la bassesse de mon short, je remonte pour me changer complètement. Bizarrement, le fourgon de police s'en va. Une fois rhabillé, je descends les vitres de ma voiture. Les deux jeunes gens reviennent vers moi. "Il n'y a pas eu de problème pour ma voiture?" ; "Hein? Ah non, non". Je réarrange mes cheveux quand l'un me demande, avec son accent local à craquer, si... Si je pouvait raccompagner l'autre chez lui. L'idée me semble assez incongrue, d'autant plus avisé de l'état psycho-physiologique de celui-ci et des éventuelles substances diverses et variées qu'il a pu consommer. Mais, un peu séduit par l'idée, un peu dérouté par mon excitation, je me laisse tenter. Ce qui s'en suit est très contextuel à ma localité, aussi la façon de parler, l'attitude certainement très directe dans l'expression et non très élaborée... Est une part entière de la civilisation d'ici.

Une fois dans la voiture, et quelques mètre parcourus dans la direction inverse à ma maison, d'un ton tout à fait détaché -Mais pour autant plein de sincérité- l'individu me confie qu'après m'avoir vu lui est venu l'idée de se masturber. Après une furtile caresse sur la jambe, il me demande si j'aime ce genre de choses, il me demande si j'aime les "grosses bites", aussi répondis-je affirmatif à toutes ces questions impudiques. Nous cherchâmes rapidement un endroit sombre où la présence de la voiture n'éveillerait aucun soupçons. Après au moins dix minutes de route, nous trouvâmes un coin dans la pénombre où j'arrêta la voiture. Il descendit son siège, puis descendit son short et j'entamais sur cette verge pas encore bien éveillée une fellation méritée. Il était circoncis -Coutume locale- et son sexe était, je dois dire, assez beau. Je n'avais jamais eu l'occasion de goûter aux saveurs exotiques de ce genre, aussi l'expérience m'a-t-elle plu. Il avait un ventre plat comme je les aimes et fermait les yeux vers le ciel pour ne sentir que ma langue et mes lèvres. Vraisemblablement, son attitude, sa façon d'agir et la musique excessivement macho qu'il écoutait trahissait son hétérosexualité. Mais... Pourquoi faire la fine bouche, n'est-ce pas, l'expérience homosexuelle est un fantasme assez répandu je pense. Au bout de dix minutes environ, il lui vint l'envie de me prendre. Après m'avoir questionné sur bien des détails de mes antécédents sexuels, nous décidâmes -et je dû quitter ce sexe de bouche avec regret- de changer d'endroit pour qu'on puisse sortir de la voiture et donner fin à cette envie. Nous cherchâmes pendant dix minutes avant de trouver un endroit aproprié en bord de route dans un chemin résidentiel peu fréquenté et espacé. Je recommença la fellation pour donner plus de vigueur à la chose et nous nous retrouvâmes finalement dehors. Je continuais de le sucer, lui assis sur mon capot, quand il me demanda de lui enfiler un préservatif. Patient, s'occupant de ses bourses, j'attendais qu'il me demande explicitement mon cul, l'obligeant avec plaisir à restreindre sa qualité d'hétérosexuel déjà bien entamée. Il s'y contraint et commença une sodomie à laquelle, je ne sais pas pour lui, mais j'y pris grand plaisir. L'acte dura presque dix minutes également, entrecoupé de temps en temps par le passage impromptu de voitures qui ne se soucièrent guère de notre présence -Que nous nous empressâmes de voiler. Lassés de ces entrecoupemments, nous rentrèrent dans la voiture et je recommençait ma fellation adorée. Nous changèrent beaucoup d'endroit et au bout d'une demie-heure, il décida d'arrêter là, n'ayant pas pu finaliser la pièce et éjaculer. Certes un peu déçu, mais fatigué (Il était onze heures et demi) Je le ramenais chez lui.
Il me laissa son numéro -Je ne sais pas ce que j'en ai fait d'ailleurs...- Et je repartis chez moi. Ce fut une expérience amusante pour moi, proche, certes, de la prostitution sur certains points, ou des communément nommés "plans cul"... Semblerait-il que j'adhère à l'idée.

En espérant que ce bout de ma vie vous ai plu. A bientôt, je l'espère pour moi, pour d'autres aventures.

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Texte coquin : Bain de nuit
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