Soirée en club échangiste - histoire érotique

Mon copain Stéphane connaissait bien ma relative timidité et mes réticences à avouer mon homosexualité. Lui, bien au contraire, avait déjà fait son coming-out et ne souhaitait qu'une chose, c'est qu'on puisse tous les deux se montrer ensemble dans la rue, en se prenant par la main et en s'embrassant en public.

Pour m'amener à me décoincer, il a commencé par mettre sur un site amateur une vidéos de nos ébats, qu'il avait prise en cachette. D'abord choqué par l'idée, je me suis rendu sur le site. Finalement, comme tout était pris d'assez loin, et qu'on ne me reconnaissait pas, cela m'a rassuré. Du coup, j'ai eu envie de regarder la vidéo jusqu'au bout et j'avoue que je l'ai trouvée hyper-bandante.

Sa deuxième « bonne idée » est un peu plus tordue.
Un soir, il m'a proposé d'aller boire un verre ensemble dans un endroit qu'il connaissait, où il n'était pas retourné depuis quelques temps et il aimerait voir si l'ambiance était toujours la même. Ce qui m'a étonné, c'est qu'il m'a conseillé de prendre une douche avant de partir.

Nous arrivons donc ensemble devant le club appelé « Mylord's », endroit que je ne connaissais pas. Stéphane sonne à l'entrée et le portier nous ouvre et nous laisse entrer. Nous allons au vestiaire pour laisser nos vestes et le préposé nous tend à chacun un masque, un simple loup, noir pour moi, blanc pour mon ami. Je comprends alors que Stéphane m'a amené dans un club échangiste. J'avoue que l'idée de partager Stéphane avec d'autres et de me tourner moi aussi vers d'autres hommes ne m'enthousiasme guère.

Après être entrés, nous nous rendons directement au bar et commandons chacun un verre. Très vite, Stéphane, beau gosse aux cheveu blonds coupés ras, est abordé par deux hommes arrivant en même temps. Il les accompagne sur un canapé tout proche. Assis au milieu d'eux, il les embrasse tour à tour. Puis l'un des deux se penche sur l'entrejambe de mon copain et commence à défaire sa braguette.

Je ne sais pas ce qui s'est passé ensuite pour ce trio. Comme Stéphane m'avait laissé seul, je n'ai pas tardé à être abordé à mon tour. Comme tout le monde porte un masque, il est difficile de faire le portait de l'homme qui vient vers moi. Tout ce que je peux dire c'est qu'il a la peau noire et les cheveux très courts. Son corps, que je devine dans ses vêtements, paraît plutôt athlétique. Il n'est pas particulièrement grand, mais très séduisant, pour autant que je puisse voir.
C'est ton ami qui est avec les deux mecs sur le canapé ?
Oui.
Il est plutôt beau gosse et il a l'air de prendre du plaisir avec ses deux amants. Ca se voit qu'il a l'habitude de se genre d'endroit.
Il m'avait dit qu'il connaissait ce club. Moi, par contre, c'est la première fois que je viens. Et toi ?
Moi, je viens avec mon copain à peu près une fois par mois. Donc j'ai un peu l'habitude. Viens, on ne va pas rester là, on va se trouver un coin plus tranquille.

Quelques minutes après, nous sommes installés autour d'une table, dans une partie plus sombre de la salle. Assis côte à côte sur la banquette, nous commençons à nous embrasser. Je ne pense même plus à ce moment au trio dont fait partie Stéphane, encore moins que je n'aime pas que les étrangers sachent que je suis gay.
Je m'enhardis à lui poser la question que je me pose depuis des années :
Dis, c'est vrai que les blacks ont une queue plus grosse que la moyenne ?
Les blacks, je ne sais pas, me répond-il. Ce que je sais par contre, c'est qu'aucun de mes amants ne s'est plaint de la taille de la mienne. Tu veux vérifier ?
Bien sur, que je veux vérifier ! J'acquiesce donc de la tête et avance ma main vers sa braguette. En défaisant le zip, je sens son membre gonfler progressivement. Je sors son membre et je constate qu'effectivement, je n'aurai pas à me plaindre de la petite taille de son engin. Pour bien l'admirer, je défais entièrement l'ouverture de son pantalon et lui baisse sur les chevilles.
Tu sais, mon copain a une belle queue, 5 cm de large et 19 de long. J'aime les grosses queues, j'ai même plusieurs bons godes, mais mon plus gros ne fait que 20 cm de long et 6 cm de diamètre; je crois que tu le bats.
Je confirme ! Je dépasse ton gode d'un bon cm en largeur, et de 4 en longueur. Mais si tu aimes les grosses queues, je pense que cela ne te posera pas de problème.
Pour lui confirmer la chose, je commence à sucer son membre. Au début, j'ai un peu de mal à le prendre en bouche mais ma mâchoire s'habitue à s'ouvrir grand et je commence à vraiment éprouver du plaisir à ma fellation. A ses réactions, je sens que mon amant du soir partage ce plaisir.

Après quelques minutes de cet exercice délicieux, il se penche vers moi et interrompt ma fellation Il m'embrasse puis se penche vers mon oreille et me murmure :
maintenant, j'ai envie de te défoncer avec ma grosse queue.
Je défais mon pantalon et le laisse tomber au sol. Il me fait me mettre à quatre pattes sur la banquette. Je le vois tendre la main vers une panière qui était sur la table et y prendre deux doses de gel qu'il m'applique successivement sur le cul, en lubrifiant bien mon anus de ses doigts. Puis il tend de nouveau la main vers la panière et en ressort un préservatif – king size, il va sans dire ! – qu'il met prestement autour de sa queue. Quelques petits coups de son gland sur mon anus, pour finir de raidir son membre, et je sens son gland prêt à pénétrer mon petit trou.
Va-s-y doucement, lui dis-je. Tu es quand même très gros.
Il ne répond pas. Je sens alors l'habituelle pression du gland sur l'anus, quand votre partenaire commence à vous pénétrer, et je sens mon anus se laisser faire, comme à chaque fois que je me fais sodomiser. Mais que cette queue est grosse ! Pour la première fois depuis longtemps, j'ai ressenti la douleur de la pénétration, celle qui est quasi-insupportable pour le puceau que nous avons tous été un jour. Mais comme pour le puceau qui découvre son homosexualité, la douleur s'est très vite transformé en plaisir. Certes, j'ai eu mal quand il m'a pénétré, mais il se connaît et connaît les réactions de ses amants. Après avoir rentré son gland entièrement dans mon cul, il s'est arrêté de me pénétrer, laissant à mon anus le temps de s'habituer à l'engin énorme qui le pénétrait. Puis il a commencé son va-et-vient, d'abord doucement puis chaque fois un peu plus vite. Et à chaque mouvement de sa queue vers l'avant, il me pénétrait plus profondément. Après quelques minutes, je sentais ses hanches contre mes fesses. Il avait réussi à faire rentrer ses 24 cm dans mon cul !Entièrement ! J'en étais à la fois fier et très excité.
Va-s-y, baise moi fort ! Oh que c'est bon une queue comme la tienne qui te déchire l'anus ! Va-s-y ! Oui ! Va-s-y ! Oui !!!!!!!!
Il ne m'a pas fallu plus de quelques minutes à se régime pour avoir un premier orgasme ! Mais à mon grand plaisir, lui a su se retenir et a continué à me pilonner. Et j'ai continuer à l'encourager en gémissant de « oui ! », des « continue !», « encule-moi !» ou encore « c'est trop bon !».

J'ai senti le moment où il ne pourrait pas se retenir, et où il a giclé dans son préservatif. J'ai regretté qu'il y ait ce bout de latex entre son sperme et mon cul, je n'ai pas pu sentir la longue décharge de son foutre dans mes entrailles.

En me relevant, j'ai vu que nos ébats avait attiré du monde. Beaucoup de spectateurs, certain avec leur queue à la main en train de se masturber, Stéphane au premier rang d'entre-eux.

En sortant du club, Stéph me demande si j'ai apprécié la soirée – réponse évidente – et si j'étais maintenant prêt à afficher mon homosexualité.
- Ecoute, pas encore. Mais organise-nous encore quelques soirées comme celle-ci, et peut-être que je me sentirai plus libre.