Titre de l'histoire érotique : soirée qui dégénère

- Par l'auteur HDS Datesan -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : soirée qui dégénère Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : soirée qui dégénère
Quelques temps auparavant, mon meilleur ami avait rompu avec sa copine de façon plus que brutale. Etant ami avec son ex, j’avais décidé avec des copains d’organiser une petite soirée arrosée, histoire de l’aider à penser à autre chose. Nous nous sommes tout d’abord retrouver dans un café pour boire une bière. Bien évidemment, les filles étant toujours en retard. Nous avons eu tout le loisir de les admirer pendant leur arrivée. En effet, Maria, l’ex de mon copain, était venue accompagnée d’une de ses amies. Elle s’appelait Mag. Mag, toute de noire vêtue portait une mini jupe, bas et top léger. Maria portait un tailleur crème avec mini jupe fendue, un beau décolleté mettant en avant ses formes généreuses entourées de ses longs cheveux blonds bouclés, et des bas couleurs chair.
La soirée s’est passée comme à son habitude, je m’amusais à faire des cocktails et à participer de loin aux différents jeux qui se déroulaient pendant la soirée. Autant vous dire qu’à chaque cocktail fait, je buvais les restes du shaker ou du mixer. J’étais donc très joyeux en fin de soirée quand les deux filles allongées sur le canapé déplié du salon commençaient à dormir.
Mes potes et moi avons continué à boire jusqu’à ce que je me réveille à demi conscient allongé dans le canapé à côté de Maria, toujours à côté d’elle Mag dormait également.
Je ne sais pas ce qui m’a poussé à agir ainsi mais j’ai commencé à caresser les jambes de Maria, ses cuisses, ses cheveux, son visage, ses lèvres, ses seins… Elle réagissait positivement à mes caresses en embrassant mes doigts qui passaient devant sa bouche et en soupirant sous mes caresses.
Toutefois, ne sachant toujours pas si elle était réveillée, j’ai approché mes lèvres des siennes pour vérifier la véracité de son sommeil. Vu le baiser passionné que nous avons échangé et les caresses qu’elle m’a prodigué, je n’ai pu que constater qu’elle feignait le sommeil depuis quelque temps déjà. J’ai donc entrepris de la caresser en des endroits plus sensibles. Je suis descendu lui lécher les seins pendant que mes mains descendaient découvrir la douceur de l’intérieur de ses cuisses et remontaient vers son string.
J’ai tout d’abord caressé son sexe par-dessus son string pendant qu’elle léchait et suçait mes doigts. Surexcité par son comportement j’ai décalé son string pour caresser ses lèvres trempées. J’ai ensuite caressé son clitoris, les doigts de mon autre main sont venus rejoindre la première pour fouiller son intimité. Maria avait enfoui sa tête sous son oreiller pour couvrir le son de ses gémissements. Au bout de quelques minutes de ce traitement elle fut prise d’un orgasme qu’elle eut toutes les peines du monde à contenir. Elle vint ensuite se blottir contre moi et m’avouer qu’elle avait passé un très bon moment mais que toutefois nous devions en rester là car elle craignait de réveiller sa copine. Je ne pus m’empêcher de penser en moi-même : Elle n’est pas chiée, elle jouit comme une malade et moi rien et vu le bruit qu’elle a fait ça m’étonnerait qu’elle dorme encore.
L’alcool aidant je me suis rendormi comme une masse…
Je me suis réveillé peu de temps après alors que Maria me taillait une pipe magistrale. J’apprendrais par la suite que les deux copines avaient eu une discussion et que Mag avait décidé de rentrer chez elle pour nous laisser tranquille.
Maria était donc en train de me sucer goulument, tout en me branlant d’une main. J’étais au septième ciel, j’étais loin de m’imaginer que Maria pouvait être une experte de la fellation, sa bouche emplie de salive me procurait des sensations encore inconnues. J’ai senti que j’allais venir et je la prévins. Loin de s’arrêter elle redoubla d’ardeur jusqu’à ce qu’elle avale la totalité de ma jouissance.

J’ai voulu prendre les choses en main mais elle m’en dissuada en me disant de la laisser faire. Elle continua à me sucer, frotta son gland contre ses tétons durcis par l’excitation tout en me disant des cochonneries. Ce spectacle m’a aussitôt remis en forme, elle me chevaucha et introduit mon sexe dans le sien après avoir décalé son string. Sa chevauchée d’abord lente s’accéléra au fur et à mesure. Elle prit ma main qu’elle introduit dans sa bouche pour mimer une fellation mais aussi pour diminuer le bruit de ses gémissements.
L’érotisme et l’incongruité totales de cette situation m’excitait au plus haut point et je ne tardais pas à jouir en elle pendant qu’elle atteignait l’orgasme en se baisant à un rythme effréné en se touchant le clitoris.
Le petit matin pointant le bout de son nez, nous nous sommes levés pour préparer le petit déjeuner.
Nous n’avons pas encore renouvelé l’expérience mais sommes beaucoup plus proches qu’avant.

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