Retour de week-end en Normandie

- Par l'auteur HDS Armand Lix -
Récit érotique écrit par Armand Lix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Retour de week-end en Normandie Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retour de week-end en Normandie
Nous avions passé, moi et ma compagne, un petit week-end en Normandie où nous pûmes apprécier le bon air marin. La dernière soirée fut consacrée à déguster un plateau de fruits de mer avec un bon vin car ce petit séjour nous avait bien ouvert l’appétit. Nous étions très coquins tous les deux et nous n’arrêtions pas de nous raconter des petites anecdotes excitantes dans le restaurant. Heureusement à côté de nous il y avait un couple d’Anglais qui ne semblaient pas comprendre le français vu qu’ils s’adressaient au serveur uniquement dans leur langue. Alors nous pouvions nous laisser aller et nous rappeler les petits moments au bord de l’eau derrière des rochers où j’avais pu lui faire un petit cunnilingus. Il faut savoir que ma compagne est très expressive lorsqu’elle prend son pied et elle ne pouvait pas s’empêcher de pousser de longs soupirs langoureux quand je la léchais amoureusement. Sa petite chatte était toute mouillée et lorsqu’elle eut joui, je pus voir son entre jambe s’inonder de son désir assouvi. Quelle excitation intense pour moi de la voir ainsi toute branlante de désir et de jouissance ! Mon sexe n’en pouvait plus dans mon pantalon et je désirais réellement être entrepris. Un simple regard suffit pour lui faire comprendre mon impatience. Elle se dirigea vers ma braguette et me sortit le sexe de son antre. Ma queue était bien gonflée et le gland, d’une couleur très sombre, bien excité, il n’attendait qu’une chose, c‘était d’exploser. Elle commença tout de suite à le sucer avec vigueur, je sentais qu’elle voulait me faire jouir rapidement. Elle utilisait sa langue pour me titiller le gland et me parcourir la longueur du sexe, j’étais aux anges et je sentais mon désir monter. En même temps elle poussait des petits soupirs qui m’excitaient encore plus. Ma queue devenait de plus en plus grosse dans sa bouche et elle aimait bien me dire des choses cochonnes pour me faire encore plus jouir :
- J’aime prendre ta bite dans ma bouche… hmmmmhhh… elle sent fort comme l’odeur de la mer et ça m’excite… hmmmh… j’ai encore ma chatte toute mouillée et je la sens coulée de désir mon cochon… hmmmmh… je la sens grossir encore et encore dans ma bouche… hmmmmh… c’est tellement bon… tu vas venir ???!!! Je veux que tu viennes dans ma bouche… j’ai envie de boire tout jusqu’à la dernière goutte…. Hmmmmhh… je sens que ça vient… remplis-moi de ton fouttre mon amour… HHHHHMMMMHHH !!!

A ces dernières paroles je n’en puis plus et je lui éjaculais dans la bouche plusieurs giclés bien rapides qui lui frappèrent le palais puis le fond de la gorge. Elle me regardait en finissant de me nettoyer, je savais qu’elle adorait ça.

Lorsque nous sortîmes du restaurant, nous étions très excités tous les deux. Dans la rue nous nous tenions bras dessus bras dessous, elle avait une main au niveau de ma taille qui n’arrêtait pas de me caresser et je faisais en sorte de lui frôler le bout du sein avec la mienne pour la faire légèrement gémir. Elle était très chaude et avec l’effet du vin et l’odeur des fruits de mer que nous avions mangés, je sentais qu’elle désirait fortement obtenir du sexe. Dans la petite ville où nous nous trouvions, il était difficile de trouver des recoins sombres pour se peloter et nous décidâmes, vu l’heure tardive, de rentrer sur Paris.

Dans la voiture, nous parlâmes de choses et d’autres. De temps en temps je lui prenais la main pour lui sucer le bout des doigts. Elle me disait que cela la chauffait, tant est si bien qu’elle se trompa d’entrée pour aller sur l’autoroute. On se retrouva alors sur une nationale, en pleine nature avec des champs et des forêts. Une ambiance très agréable, il ne faisait pas tout à fait nuit et la chaleur était très douce. Nous ne roulions pas très vite et j’en profitais pour continuer à exciter ma compagne. Des léchouis aux bouts des doigts, très tendres, marqués d’un petit bruit de suçotement pour faire monter le désir. Elle était tellement excitée qu’elle se cambrait automatiquement en poussant un gémissement. Je lui descendis alors la main au niveau de mon sexe pour qu’elle puisse sentir le fort désir que j’avais de lui prendre son petit cul. Elle me dit alors de sortir ma queue pour qu’elle puisse la caresser et sentir sa chaleur. Elle roulait de moins en moins vite et il n’y avait pas grand monde sur la route. Je sortis donc l’objet du désir et elle la prit rapidement dans sa main pour la branler. « Tu aimes ça mon cochon ???!!! » elle me dit. Je ne pouvais pas dire le contraire. Je lui proposais donc de s’arrêter dans un coin tranquille pour que nous puissions prendre plus nos aises. Juste au bord de la forêt qui créait une pénombre idéale pour nos ébats, nous trouvîmes une petite aire de repos. Il n’y avait personne, nous avions beaucoup de chance. Lorsqu’elle se fut arrêtée, elle descendit directement à mon sexe pour le sucer. Quelle gourmande ! Les bruits de sucions faisaient monter mon désir, j’étais au bord d’exploser lorsque je lui fis comprendre de se calmer un peu pour que je m’occupe d’elle. Heureusement elle avait une petite jupe, ce qui facilitait le moyen d’accéder à sa petite chatte. Elle enleva directement sa culotte pour ne pas perdre de temps, je la sentais très excitée, et elle vînt directement sur moi pour me présenter son cul au niveau du visage. « Vas-y ! Lèche-moi mon petit abricot d’amour ! J’ai envie ! hhhmmmmhhhh !!!! ». Qu’est-ce qu’elle mouillait, tout son entre-jambe était inondé de désir. Son sexe sentait fort, toute la journée il avait du attendre de se faire lécher. Cette odeur forte avait le don de m’exciter encore plus. J’entrepris de la lécher de haut en bas, tout en faisant traîner ma langue sur ses grandes lèvres pour boire sa rosée puis de lui enfoncer dans la chatte en la durcissant comme un petit sexe. Je n’oubliais pas son petit clitoris que je titillais doucement avec un doigt. « Oh oui ! Que c’est bon, mon amour ! Continue, je veux jouir ainsi ! Je veux venir pendant que tu me lèches ! » Comme elle mouillait abondamment, je profitais de ce lubrifiant naturel pour en enduire un doigt et venir tourner autour de son anus. Il se contracta un peu au premier contact, mais céda rapidement et je fus étonné de voir mon doigt s’enfoncer facilement. Je ne l’avais jamais vu excité de la sorte et j’allais et venais facilement dans son petit trou. Quel spectacle ! Tout à coup, elle me dit qu’elle voulait que je la prenne vite et fort, qu’elle n’en pouvait plus, qu’il fallait qu’elle jouisse avec moi en elle. Elle descendit alors ses fesses vers mon sexe dressé et je commençais à le diriger vers l’entrée de sa chatte… « Non pas ce trou là » elle me dit, « celui-là » et elle me prit le sexe pour le diriger vers son œillet. Mon gland s’enfonça facilement dans son petit trou serré puis elle impulsa un petit coup vers le bas, pour faire entrer ma verge plus profondément. C’est elle qui menait la cadence sur moi. Je voyais son cul descendre sur mon sexe et elle gémissait plaintivement en allant de plus en plus vite.
- Oh mon amour ! hhhmmmmhhhh ! Viens vite en moi !!! Je n’en peux plus, je veux que tu me jouisses dans le cul !!! hhhhmmmmmhhhh !!! Viens ! Oh oui ! Viens ! Je sens ton désir monter ! Ta queue est bien grosse ! Tu vas venir, je le sens !! Je viens aussi !! Je viens !!! OOOuuuuuiiiiiii !!!!

Elle se cambra sous la force de sa jouissance et les petits mouvements saccadés de son cul me firent venir dans son trou sombre. Elle n’arrêtait plus de jouir et de rouler son cul sur mon bas ventre. Quel pied !

Nous nous calmâmes un petit peu en nous caressant tendrement, puis elle reprit sa position de pilote pour nous ramener tranquillement à Paris. Quel beau week-end en Normandie.

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