Subjugué par une marocaine : c'est si de bon de lui appartenir !

- Par l'auteur HDS Robert stone -
Auteur homme.
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Récit libertin : Subjugué par une marocaine :  c'est si de bon de lui appartenir ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Subjugué par une marocaine : c'est si de bon de lui appartenir !
Je venais dans ce magasin de lingerie où je faisais des achats coquins pour mes petites amies successives. La vendeuse était charmante, une marocaine avec de l'allure, la trentaine, de long cheveux noir des yeux noisette tirant vers l’orange, des lèvres bien dessinées et pleines, soulignées par un rouge à lèvres carmin entouré de crayon noir. Des cils noirs et recourbés, les paupières nimbées de fard mauve donnait à son regard une intensité lascive. Ajoutez à cela un parfum capiteux et opiacé et vous comprendrez que des que vous franchissiez la porte, vous faisiez plus que pénétrer la boutique, vous glissiez de l'autre coté du miroir.
«Bonjour Aïcha» «Bonjour» répondit la charmante souris, «que puis-je pour vous aujourd'hui ?»
«J'ai besoin de quelque chose de particulier, dans des matières particulières» «Du cuir, du vinyle, du latex? «Oui» «quelle taille?» «Approximativement la votre» «Dans ce cas je vais fermer la boutique. Je serai votre modèle pour que vous puissiez vous faire une idée. Dans les rapports SM, vous préférez être dominant ou dominé ?» «Je fantasme sur l'idée de m'abandonner complètement aux caprices d'une femme. Je pense qu'il revient aux femmes de commander. Part mes petits jeux, j'essaie de rendre à césar ce qui n'appartient qu'aux femmes !»
Après avoir fermé la boutique, elle prit un ensemble de modèles dans les tiroirs puis passa dans une des cabines d'essayage. En tirant les rideaux, elle me décocha un sourire languide, ses yeux plantés dans les miens. Mon cœur s'accéléra, mes sens se perturbèrent. Lorsqu'elle allait sortir telle une déesse découverte allais-je me prosterner à ses pieds de tant de beauté ? Enfin, elle se dévoila. Elle avait revêtu une guêpière de cuir mauve avec des froufrous de mousseline noire, une porte jarretelle et des bas de même couleur, un string rouge avec une fermeture éclair devant le pubis. Elle avait gardé ses escarpins à talons aiguilles et une chaine de cheville. «Je te plais?» demanda-t-elle. «Garde le silence! Agenouilles-toi, et retires mes chaussures» Délicatement, j'ôtais les chaussures. Elles exhalaient un parfum de cuir, de transpiration et de neuf. Sous la transparence des bas, Aïcha cachait de magnifiques pieds grecs dont les ongles étaient vernis couleur rouge sang. «Embrasses-les!» Avec respect, je lui pris le pied, le humé puis effleuré avec mes lèvres, faisant crisser le nylon. Elle était assise sur un tabouret haut. Avec son autre pied, elle appuyait sur ma nuque. «Allez maintenant lèche, lèche le comme un chiot.» Ho, que c'était bon. J'avais l'impression de déguster le plus délicieux des fruits. J'aurai pu le faire des heures. Mais à un moment ma maitresse se lassa me repoussa et dit «on va passer aux choses sérieuses», elle dé zippa alors son string en cuir, laissant apparaître un sexe quasi glabre à l'exception d'un carré de poil sombre. «Donnes-moi du plaisir avec ta langue et n'oublies pas mon clitounet!» Je commencer par le bas. Et je remontais vers le capuchon de son clitoris, creusant en passant un sillon que je creusais de ma langue dardée. J'excitais ses nymphes, je passais sur ses grandes lèvres. Je m'humectais je buvais, je me désaltérai de sa cyprine. Elle me fait sentir son poids écrase son entrejambe sur mon visage. J'étouffe, je suffoque. Elle rit et serre encore plus ses cuisses. C'est à la fois douloureux et délicieux comme le voile des bas caresse mon visage. Enfin, ma maitresse relâche son étreinte. Je m'avachis sur le sol. Je reprends mon souffle. Avec son pied, elle caresse mon sexe à travers le pantalon. Il est plus que dur. «Fous-toi à poil, allez, magne. Voyons un peu comment t'es foutu.» Je me déshabille nerveusement Ses mains passent sur mon corps, le test, le tâte. Prends ma tête, examine ma mâchoire comme on le ferait d'un cheval ou d'un esclave. Sa main glisse sur le bas de mes reins, flatte ma croupe, la fesse, écarte mes globes. La pulpe de son majeur s'insinue dans mon sillon culier. «Ouvres ta bouche renverses-toi en arrière.», En continuant d'agacer ma rosette avec son doigt, elle laisse tomber sa salive dans bouche ouverte «avales, dégluties bien» Je la voyais jouir par son regard. Elle savait que sa beauté avait un pouvoir, était le pouvoir. Tout en elle faisait que je ne pouvais que m'abandonner, me rendre, me laisser posséder. Toutes mes terminaisons nerveuses n'attendaient qu'elle joue sur moi comme sur une harpe. «Je ne suis que ton instrument, joue de moi ! Joues-toi de moi» dis-je. Alors elle me sera plus fort, son doigt pénétra plus loin. Elle entama dans mon cou un baiser comme l'aurait fait un vampire, sa langue humidifia ma chair, puis ce fut un suçon qui laissa à cet endroit une marque violette. «Maintenant, je vais t'attacher. Tu veux m'appartenir, très bien, laisses toi faire. Te sentir à quel point c'est bon d'être humilié, d'être ma chose, la chose d'une femme. Je t'ai vaincu sans violence» A ce moment j'entendis le «clic» de menottes dont je sentis que le froid du métal contrastait avec la chaleur du velours rouge. Attaché à un pilier chromé par les bras, l'angoisse de passer mes limites commençait à remonter. Comme un enfant dans le noir, j'étais sans défense. D'autant plus qu'Aïcha jugea bon de me lier les chevilles avec un bas résille. Elle recula d'un pas et regarda l'œuvre d'art qu'elle était en train de créer: une œuvre de chair. «Tu n'es que de la glaise à l'état brute. Je vais te sculpter». Elle m'embrassa alors, me griffant le dos. Sa langue tournée dans ma bouche. Une langue chaude, inquisitrice, qui m'imposait son rythme, sa vie.

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