Couple magrebin à paris (chapitre 5 et6)

- Par l'auteur HDS Epoux de nadia -
Auteur homme.
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Récit libertin : Couple magrebin à paris (chapitre 5 et6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couple magrebin à paris (chapitre 5 et6)
Chapitre 5
Le matin suivant Nadia et moi dormîmes tard. Nous étions tous deux fatigués après les événements de la nuit passée, et Nadia ne se réveilla pas avant onze heures.
Je m'étais réveillé avec une superbe érection vers neuf heures et demie, mais je ne m'étais pas soulagé, me rappelant ce que Nadia avait dit à propos de l'interdiction de me masturber : je ne voulais pas risquer de la mettre en colère. Ainsi je restai allongé dans le lit, à côté de ma femme et Maîtresse pendant plus d'une heure, m'empreignant de la chaleur douce de son corps si féminin, et pensant à elle et Frédérico , son amant de la veille.
J'avais décidé qu'il m'était agréable d'obéir à Nadia, même quand elle m'interdisait le sexe, mais j'avais beaucoup moins de certitudes à propos du rôle de Frédérico dans cette nouvelle situation. *Il* avait dit à Nadia qu'il ne me permettrait pas d'avoir du plaisir sexuel sans *sa* permission ? Qui était-il pour dire une telle chose ?
Il était évident que Nadia était très attirée par son corps, mais j'étais toujours son mari, me disais-je. C'était une chose que d'attendre une période indéterminée avant d'être autorisé par sa femme à avoir du plaisir sexuel, mais c'était une chose bien différente quand c'était dicté, même de façon indirecte, par son amant.
De toutes manières que pouvais-je y faire ? Rien ! Cependant le temps était de mon côté, pensais-je. Notre voyage de noces allait toucher à sa fin d'ici quelques jours, et nous devrions rentrer en France pour retrouver le ciel triste et gris de Valenciennes avec sa vie routinière.
Au moins laisserions-nous ce Frédérico loin derrière nous ! Nadia continuerait sans aucun doute à affirmer son droit maintenant établi de baiser de temps en temps avec les personnes de son choix, mais je me serai habitué à cette idée à ce moment, et peut-être réussirai-je même à trouver des trucs pour mieux supporter cette situation.
Quand Nadia s'éveilla, elle me rappela sa proposition de courses.
Puis elle me donna une chiquenaude sur le bout de mon membre turgescent avec ses longs ongles vernis, ce qui la fit éclater de rire. "Laisse donc Popaul tranquille," me dit-elle. "D'ailleurs à ce sujet je ne voudrais que quelqu'un apprenne que mon mari a un sexe d'une taille insuffisante !"
Je grimaçai sous l'insulte, mais je pensai qu'il valait mieux pour moi rester silencieux.
"Ne t'inquiète pas," me rassura-t-elle. "Bien sûr, tu n'as pas le droit de te tripoter, mais nous allons faire en sorte aujourd'hui que cette chasteté temporaire soit un peu plus supportable pour toi".
Je n'en sus pas plus : Nadia a toujours adoré rester mystérieuse !
Après un petit déjeuner tardif, nous prîmes le chemin du centre commercial local. "Les boutiques ne sont vraiment pas terribles ici chéri," me dit Nadia en faisant la moue, "mais je suis quasiment sûre que nous trouverons ce que j'ai en tête pour commencer ton dressage."
J'avais été trop occupé à admirer les lèvres parfaitement maquillées de Nadia pour bien me concentrer sur ce qu'elle disait, mais ce mot "dressage" attira mon attention. "Maintenant marche juste un pas derrière moi, et ne prends la parole que si on s'adresse à toi, à moins que ce ne soit vraiment nécessaire."
J'entendis ces mots, mais j'avais du mal à croire qu'elle me parlait ainsi, et en public en plus ! Une partie de moi ressentit de la colère, mais ce traitement provoquait également chez moi un début d'érection, aussi je me contentai d'approuver de la tête avec soumission.
Après quelques minutes nous arrivâmes devant une boutique de lingerie et de vêtements de mariage pour femmes. Après un bref coup d'oeil à la vitrine, Nadia m'entraîna à l'intérieur. J'adorais regarder les dessous féminins, comme la plupart des hommes, et mes yeux se baladaient sur les délicates petites culottes et soutiens gorges ornant les mannequins du magasin.
La plupart de ces mannequins avaient des perruques, et quelques-uns avaient même le visage maquillé, ce qui les rendait presque réels. Alors que mon regard vagabondait sur l'un d'eux, avec de longues jambes fines gainées de bas résille et d'une culotte de satin noir, Nadia attira l'attention d'une vendeuse. "Je recherche une gaine de maintien, de taille standard," l'entendis-je dire. "Je voudrais un modèle couvrant une large partie du corps, mais dans une petite taille, du 38 ou peut-être du 36." La vendeuse disparut rapidement derrière le comptoir et revint après quelques secondes avec plusieurs paquets.
"Voici la Berlei, Madame," expliqua-t-elle. "Elle a une bande extra ferme sur le devant. 79 % nylon polyamide, 21 % élastane, disponible en noir ou blanc uniquement."
Je ressentis un grand froid dans l'estomac. Nadia avait l'intention de contrôler mon sexe en le maintenant comprimé, me semblait-il ! Ceci dit, je préférais la noire.
"La blanche sera parfaite," décida Nadia. "Je vais en prendre deux, une de taille 36 et une de taille 38." Je restais silencieux, n'osant pas me manifester. Nadia m'ordonna ensuite de payer, et une demie heure après nous étions rentrés à l'hôtel.
"Très bien," me félicita ma femme lorsque nous eûmes regagné notre chambre. "Tu n'as pas protesté, ce qui était préférable pour toi, parce que sinon j'avais l'intention de dire à la vendeuse à qui était destiné ces deux gaines !"
Tout de suite elle me les fit essayer, par-dessus mon slip de coton. Je réussis à enfiler la première, avec beaucoup de difficultés dues à son étroitesse. A ma grande surprise Nadia mit alors sa main entre mes jambes, empoigna mon pénis en demi érection, et le poussa rudement vers l'arrière, de façon à ce que le bout de mon sexe se retrouve tout près de mon anus.
Puis elle tira ma gaine vers le haut encore de quelques centimètres : mes testicules semblaient avoir disparus à l'intérieur de mon corps. C'était très inconfortable, jusqu'à ce que mon début d'érection disparaisse. Vu de devant, mes hanches avaient pris maintenant un aspect féminin.
"Tu devras toujours porter une de ces deux gaines sur toi à partir de maintenant," m'indiqua-t-elle. "Porter ainsi une gaine en dessous de ton pantalon devrait de faire passer toute idée de draguer d'autres femmes, n'est ce pas chéri ? Et de même, je pense que cela devrait t'aider à combattre toute velléité de défier un de mes amants en cherchant à te battre avec lui, où une idiotie de ce genre, n'est ce pas ? Maintenant tu ne pourras plus pisser debout, et tu devras utiliser des toilettes fermées pour ça. Et attention, je vérifierai à tout instant que cette jolie gaine est bien en place, et que ton sexe est bien sous contrôle, alors ne triche pas, sinon je ne te ferai plus jamais l'amour, compris ? Plus tard tu pourras peut-être t'acheter toute une panoplie de lingerie, mais ces gaines feront l'affaire pour l'instant. Même au lit tu devras en porter une, que je sois là ou non. Cela t'aidera à résister contre tes envies dégoûtantes de te tripoter sans arrêt. Mon petit mari se doit de réserver pour sa femme toute sa production de sperme, n'est-ce pas chéri ?" conclue-t-elle en m'embrassant voracement sur les lèvres, avec sensualité. Mon sexe comprimé était douloureux, alors que je ressentais une poussée de désir envers le corps de Nadia.
Chapitre 6
Le reste de la journée se passa relativement normalement. Quand la soirée arriva, ma femme m'annonça qu'elle avait un dîner avec Frédérico, et que je n'étais pas invité, mais que si je me comportais bien, un jour je le serai peut-être !
Une bouffée de jalousie serra mon cœur, mais je pensai tout à coup que si Nadia quittait la chambre, je pourrai au moins me masturber comme je voudrai. Je pouvais toujours ensuite remettre en position ma gaine moi-même, et Nadia ne serait pas au courant...
Hélas Nadia devait avoir eu la même idée ! Après qu'elle m'ait fait avaler un sandwich que je m'étais commandé, Nadia m'attacha les poignets avec ma propre ceinture de cuir, avant de me quitter pour son rendez-vous avec Frédérico.
Ce n'était pas vraiment inconfortable, sauf que je devais régulièrement bouger mes poignets afin de permettre au sang de circuler dans mes mains, et éviter ainsi des fourmillements très désagréables. Comme mes mains étaient emprisonnés devant moi, et que mon sexe était fermement maintenu vers l'arrière, même en étirant mes doigts au maximum je ne pouvais l'atteindre pour me masturber.
Elle m'avait bien eu ! C'était comme si j'avais réellement une ceinture de chasteté. C'était efficace à 100 %, et j'étais entièrement dépendant du bon vouloir de ma femme pour ma libération. Je supposais qu'en cas d'urgence je pouvais bien essayer de couper le cuir de ma ceinture avec un couteau, mais si je le faisais Nadia aurait alors découvert ma désobéissance... J'étais pris au piège !
Alors que les heures passaient, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer la soirée romantique que devait passer Nadia. Parfois je me retrouvais excité en repensant aux approches de séduction de Frédérico qu'il renouvellerait certainement ce soir, et je me retrouvais alors au bord de l'éjaculation, mais sans pouvoir aller jusqu'à la délivrance, avec mon pénis comprimé : il était emprisonné dans la gaine, et tout ce que je pouvais obtenir était une pathétique demie érection.
J'essayai bien de frotter mon membre frustré sur le coin d'une table ou d'un autre objet, à travers la gaine, mais je n'obtins pas assez de sensation pour que cela me procure vraiment du plaisir. Je me sentais triste auparavant d'en être réduit à me masturber dans les petites culottes de ma femme pendant ma propre lune de miel, mais maintenant je ne pouvais même plus le faire !
Je savais que Frédérico allait baiser Nadia avant peu de temps, bourrant ainsi la femme d'un autre à sa volonté, la faisant jouir encore et encore avec son membre énorme, alors que moi je ne pouvais même pas me permettre la moindre masturbation ! Je pleurai pendant quelques instants, mais l'instant d'après je me mis à me sentir plus amoureux que jamais de Nadia : finalement elle m'avait bien laissé entrevoir qu'elle me redonnerait un jour un peu de satisfaction sexuelle, n'est-ce pas ?
Aux alentours de minuit j'eus la surprise d'entendre la clé tourner dans la porte de la chambre. Je n'attendais pas Nadia si tôt ! Ma gaine et ma ceinture étaient bien en place, donc tout était en ordre. J'espérais juste que Nadia allait bien. C'était le cas... Mais aussi Frédérico ! Je ne pouvais y croire ! Elle l'avait invité dans notre chambre !
Embarrassé par mes mains emprisonnées je cherchai à les cacher, mais Nadia avait déjà allumé et me présentait.
"Voici mon mari," expliqua-t-elle. "Tu me disais que tu voulais le rencontrer Fredi... Et bien le voilà, ligoté exactement comme tu voulais."
Je sentis une vague de détresse me submerger, et je tombai à genoux, mes bras emprisonnés se balançant inutilement devant moi.
"Debout chéri," entendis-je au loin la voix de ma femme flotter dans l'air. "Ne t'inquiète pas. Fredi ne va pas te faire de mal. J'ai sa promesse. Et je veux retirer ton pantalon de façon à ce que l'on puisse admirer ta belle gaine."
Disant cela Nadia me souleva pour me remettre sur pieds, détacha le bouton de mon pantalon, descendit sa fermeture éclair et le laissa ainsi glisser à terre. Bien sûr la gaine était toujours en place, me donnant l'apparence d'un travesti. Je ne pouvais croire que ma gentille, douce, bien éduquée Nadia pouvait me faire ça !
"Maintenant assois-toi sur la chaise, chéri," continua-t-elle. "Fredi veut me baiser dans notre lit nuptial, et que tu regardes."
J'obéis avec rage, et je vis Nadia tomber sur le lit avec "Fredi". Il se mit à l'ouvrage sans tarder, une main sur les superbes seins de Nadia à travers sa chemise et son soutien-gorge, l'autre lui tenant fermement la tête alors qu'il l'embrassait fougueusement avec sa langue.
Puis, maintenant que c'était parti, Fredi souhaitait apparemment prendre les choses plus calmement. Sous mes yeux il retira un à un les vêtements de ma femme, avec une extrême douceur, jusqu'à ce qu'elle se retrouve nue devant lui. Il retira d'abord sa chemise fine, presque transparente, puis il défit la fermeture éclair sur le côté de la jupe étroite de Nadia, qui tomba à terre.
Nadia portait en dessous des portes jarretelles ainsi que des bas résilles qui m'avaient coûtés les yeux de la tête. Sa petite culotte resta en place encore un moment, pendant que le bel italien frottait deux doigts puissants dans son entrejambes de Nadia. Elle se laissa ainsi masturber.
Puis il se mit à sucer les seins de ma femme à travers le tissu de son soutien-gorge, faisant sortir les tétons de leur écrin de soie. Les hanches de Nadia allaient et venaient sur sa main, alors que leurs deux bouches impatientes se scellaient.
Ensuite Fredi retira sa petite culotte, puis changea de côté sur le lit afin de faire un cunnilingus entre les jambes de ma femme pendant quelques minutes. Je regardai avec horreur le sexe de ma femme se poser délicatement sur le visage de son amant.
Puis vint le tour des bas résilles et des portes jarretelles. Les bas furent lancés dans ma direction, et je réussis à les rattraper sur ma tête : je pus ainsi au moins m'imprégner des délicieuses essences féminines de Nadia, alors que son amant viril continuait à la préparer pour recevoir sa semence. Enfin le soutien-gorge de Nadia disparut, laissant ma femme entièrement nue devant Frédérico, qui lui était resté habillé.
Puis Nadia s'assit pour défaire la fermeture éclair de l'homme. Je suivis chacun de ses mouvements alors qu'elle glissait sa main dans le pantalon, puis elle fit sortir le sexe gigantesque et gonflé de son amant. Je pouvais deviner ses testicules maintenant, ronds et énormes, gonflant son pantalon. Nadia présenta son visage devant le pieu dressé devant elle, et commença à le sucer en le rentrant dans sa bouche, du moins le plus qu'elle pouvait vue sa dimension. Ses lèvres maquillées de rose s'affairèrent de haut en bas le long de l'immense tige, le plus profondément possible.
J'avais maintenant une envie désespérée d'éjaculer, mais je ne pouvais rien faire, à part regarder, fasciné malgré moi. Au bout de quelques minutes Fredi se retrouva nu également, et je savais maintenant que j'allais assister à la pénétration de ma femme par le sexe d'un autre homme. L'énorme pieu de Fredi était dressé au milieu de son corps tel un dard.
Je ne pouvais m'empêcher de fixer ce membre long et épais, en estimant qu'il devait avoir une taille au moins double de la mienne. Je commençai à me sentir vraiment désarmé face à un tel engin. Ce n'était pas la peine de me demander pourquoi Nadia préférait aller voir d'autres hommes ! Je ne pouvais probablement pas lui en vouloir de devoir chercher de vrais mecs avec un vrai sexe. Comment pouvais-je espérer la satisfaire correctement après qu'elle eut été distendue par un phallus monstrueux comme celui-là ? Je me dis que si j'avais été une femme, j'aurais probablement eu envie, comme Nadia, d'une vraie bite de mâle !
Nadia empoignait maintenant le pénis de l'homme, et le guida à nouveau vers ses lèvres. Ses lèvres magnifiquement maquillées, sexy et féminines s'arrondirent autour du prépuce. Puis elle le lécha, de bas en haut, encore et encore, tout en caressant doucement les testicules de son amant avec sa main.
Puis les testicules disparurent dans la bouche de Nadia, l'un après l'autre, alors qu'elle les suçait avec voracité. Fredi était aux anges, grognant sauvagement alors que Nadia s'occupait de ses boules.
Après plusieurs minutes de cette scène, durant laquelle, à ma stupéfaction, le sexe de Frédérico parut encore s'allonger de quelques centimètres, Nadia s'allongea sur le lit, ouvrit ses jambes et guida son amant vers l'intérieur son corps.
J'observai, paralysé par l'envie, le membre gigantesque de l'homme pousser à travers le sexe de ma femme, et commencer à disparaître à l'intérieur.
Soudain Frédérico sembla perdre tout contrôle : il commença à s'agiter d'avant en arrière tel un animal, poussant son membre encore et encore à travers le trou humide de Nadia. Il la baisait de plus en plus vite. Nadia semblait être en extase;
"Oui, oui. Vas-y. Baise-moi. Fais-moi jouir. Remplis-moi, Fredi, je te veux," gémissait-elle.
Quelques secondes après Fredi fit ce qu'elle lui demandait, et éjacula dans ma femme. Il trembla avec force sur Nadia quand il se mit à jouir, appuyant sur les épaules de ma femme alors qu'il la remplissait de sa semence, ses seins ballotant et claquant à chaque secousse de son orgasme de mâle.
D'un certain point de vue cela devait être une scène magnifique, mais pour moi c'était une tempête d'émotions, et je pouvais sentir mon pauvre petit sexe emprisonné essayant avec impuissance de gagner un ou deux centimètres à l'intérieur de la gaine.
Quelque part au plus profond de moi, une petite part de ma fierté était encore vivante et me demandait de me battre pour Nadia, mais en fait je me sentais vaincu et écrasé. Fredi avait baisé Nadia, mais Nadia avait baisé mon esprit, mon âme. Elle venait de me démontrer qu'elle pouvait me faire ce qu'elle voulait, m'humilier de la façon qu'il lui plaisait, me dépouiller de ma virilité, et pourtant je continuerai à l'aimer, la servir, ramper pour elle.
C'était comme si elle m'avait castré, et que j'étais fier d'avoir accepté qu'elle me le fasse. Quelle femme, quelle déesse ! Je lui avais vendu mon âme et j'en étais heureux. J'étais juste maintenant curieux de découvrir ce que me réservait la vie avec cette femme merveilleuse. Qu'allait-elle encore imaginer pour notre couple ? Quoi que ce soit j'étais prêt à essayer !

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