La fille qui ne sait rien ( suite et fin )

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : La fille qui ne sait rien ( suite et fin ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La fille qui ne sait rien ( suite et fin )
Hier j'ai découvert les joies de l'amour physique avec ma voisine d'en face. Pour ce soir elle m'a promis de me faire prendre par un homme très habile. Elle sera présente avec son amante habituelle. Il me tarde tant que dès mon réveil je me suis branlée longuement en imaginant ce qui va m'arriver. Je me demande si être pénétré la première fois ça fait mal. Quoiqu'il en soit, j'ai toujours la facilité de baiser avec une fille, c'est si bon.
Enfin il est 21 heures. Je me dépêche en m'habillant comme la veille, jupe très courte, sans sous vêtement ni même mon t-shirt: je ne porte qu'un léger manteau. J'arrive un peu tôt. C'est mon amie de la veille qui est là, seule, pratiquement nue. Elle m'embrasse sur la bouche et me met directement une main sur mon con. Elle commence même à me branler. J'écarte bien les jambes pour profiter pleinement de la caresse. Je lui rends la pareille et le branle à mon tour. Si je mouille, elle ne s'en prive pas. Je sens qu'elle est pleine de cyprine. Et je me souviens du goût de son con. J'aimerai bien la sucer. Elle refuse: les autres arrivent. Un couple est là: elle aussi peu vêtue que moi, lui porte sur son pantalon un t-shirt qui fait ressortie les muscles de sa poitrine. Il me plait aussitôt. Il est pour moi ce soir à moins que les autres filles le veuillent aussi.
Les présentations sont vite faites: un baiser de l'amante sur la bouche, et enfin un baiser plus appuyer de la part de celui qui doit me faire connaitre l'autre plaisir, celui d'avoir dans son sexe dans mon con.
La soirée commence par un déshabillage total. Si je connais bien le corps de mon initiatrice, celui de son amie est aussi très attirant, à tel point que j'aimerai bien baiser avec elle. L'homme m'étonne à plus d'un point de vue: d'abord sa queue qui grossit de plus en plus et se lève bien droite et semble-t-il plus dure.
C'est lui qui vient vers moi et me prend dans ses bras. Je me laisse faire pendant qu'il embrasse sans doute mieux que l'a fait ma voisine hier. Sa langue fouille ma bouche à tel point que déjà excitée je deviens presque folle de désir. Il se plaque contre moi et je sens sur mon ventre la grosseur de sa queue. Il me met ses deux mains sur les fesses et les caresse. Je deviens molle de désir. Je le tiens par les épaules et le laisse faire. Il me passe une main entre mes fesses que je ne sais pourquoi j'ouvre. J'écarte les jambes pour facilité l'accès à je ne sais quoi. Il me pose un doigt sur mon cul: il en caresse les contours, sans jamais essayer d'y entrer. Je préfère ça: je suis prête à lui donner mon con, mais pas mon anus. Je regarde les deux filles qui sont déjà entrain de se branler l'une l'autre. Je suis un peu jalouse des caresses qu'elles échangent. L'homme se sépare un peu de moi et commence par embrasser mes seins: mes tétons durcissent. Je ne voudrai pas qu'il arrête. Il doit comprendre ce que je veux. Il continue à avoir un téton entre ses lèvres et ses mains descendent vers ma taille d'abord et vers mon con. Il marque un temps d'arrêt et quand je tend mon ventre vers lui, il me pose enfin deux doigts dur le bouton. Il me branle lentement, très lentement. Je meurs du désir de jouir. Il ne me fait pas jouir. il me fait assoir sur le divan à coté des deux filles qui se branlent toujours et me fait ouvrir les cuisses. Je sais que ce qu'il va me faire me fera jouir enfin. Sa langue vient se loger sur ma fente et elle commence par fouiller mon cul: il pourrait me faire jouir comme ça, maintenant, il remonte et passe en léchant mes lèvres vers mon bouton. Avec une main, il le fait bien ressortir et enfin ses lèvres prennent possession de moi. Je me raidis complètement quand je sens arriver ma jouissance. Il me laisse jouir tranquillement avant de me dire doucement à l'oreille: tu vas devenir une vraie femme. Je sais qu'il va me rentrer sa queue dans mon con. J'ai toujours un peu peur qu'il me fasse mal.
Pour le moment je n'ai même pas touché son sexe. Il me fait assoir les fesses juste au bord du divan les jambes écartée et pose sur mon entrejambe sa queue bien dure. Je mouille de plus en plus.
Quand il pose sa queue sur l'entrée de mon con je n'ai presque plus peur.
Je le sens quand il me pénètre très lentement. Il arrive à ma
virginité et d'un seul coup je me trouve avec son sexe dans le mien.
J'ai eu à peine le temps de pousser un petit cri de surprise quand je sens un plaisir inconnu m'envahir. C'est délicieux cette bite dans mon con. Il vas-et-viens en moi. Mon amie qui assiste à ma première fois me regarde et vient déposer un baiser sur mes lèvres.
Je sens que je me contracte à nouveau: je respire plus fort et il me semble que mon cœur bat la chamade et enfin je ressens les contractions d’une nouvelle jouissance. C'est très bon, différent de la langue de ma copine, mais excellent. Je crois que je pourrai plus me passer d'une bite dans mon con. Puis je ressens une drôle d'impression: Je sens la queue se contracter plusieurs fois en moi. Il jouit et me donne son sperme, c'est ce qu'il me dit. J'ignorais encore tout à l'heure le nom de sa semence.
Il se retire de moi. Je reste un peu abasourdie du plaisir qu'il m'a donné. Dès sa sortie, l'amante de ma copine se penche vers la bite et le prend dans sa bouche: elle la nettoie consciencieusement: le reste de ma cyprine, mélangée au sperme semble être un mets de choix.
Il me demande de faire l'amour avec l'amante qui est satisfaite de l'occasion. Elle m'embrasse à pleine bouche et je réponds au baiser.
Elle me caresse les seins et je lui en fais autant. Pourtant c'est moi la première qui trouve son clitoris et le branle. Elle se laisse faire jusqu'à sa jouissance. Elle ne me rend pas la caresse, elle préfère me sucer le con. Sa langue agile me fouille aussi bien que celle de mon amant. Elle s'attarde sur mon cul et y rentre un peu. Elle me fait ouvrir mon cul et je commence à éprouver un autre plaisir. Je ne sais comment elle a fait: je jouis encore.
Mon amant en nous voyant faire bande à nouveau: sa queue me semble plus grosse que tout à l'heure. Il me fait pencher vers elle et je dois la prendre dans ma bouche. Comme une idiote, je crains qu'il urine en moi. Il me rassure. J'ouvre bien la bouche et se sens d'abord son gland lisse et agréable à lécher. Il s'enfonce un peu et je me trouve avec sa pine entière dans ma bouche. Il me demande d'aller et venir avec ma bouche sur sa colonne. Je me rends compte que ça lui fait du bien: je continu un bon moment, et il m'arrête avant de jouir. Pourtant j'aurais aimé goûter à son sperme. Il me fait tourner pour que ma poitrine soit sur le divan. Il est derrière moi. Je sens qu'il écarte mes fesses et surtout qu'il me rentre sa langue bien profond. Il fait durer ce plaisir inconnu un moment avant et le dit qu'il va m'enculer.
Cette fois j'ai réellement peur de me faire défoncer l'anus par sa grosse queue. Il ajoute beaucoup de salive sur mon cul déjà bien humidifié et enfin il pose sa bite. Oh, il ne me déflore pas le cul rapidement. Il rentre millimètres pas millimètres à tel point que je ne sens dans mon cul que quand il pousse à fond. Il ne m'a pas fait mal. Quand il commence ses vas-et-viens j'accompagne ses mouvements. Je jouis plusieurs fois. Il me relève et c'est à genoux qu'il continu sa sodomie. Il passe une main devant moi, la pose sur mon bas ventre et part à la recherche de mon clitoris: il me branle.
Je suis continuellement en jouissance. Enfin je le sens jouir dans mon cul. J'en suis satisfaite. Quand il se retire je me tourne et prend sa bite dans la bouche: je ne veux laisser à personne le soin de lui nettoyer la pine.
Il semble hors de course pour le moment. J'ai encore envie de jouir. Les deux filles s'aiment maintenant con à con. Hier j'avais bien aimé cette façon de faire. Je les regarde et me branle sans pudeur. Je ne me contente pas de me caresser le clitoris, il me faut quelque chose de plus fort. Je n'hésite pas à me mettre un doigt dans le cul et le pouce dans le con. Cette façon de faire, je vais l'adopter pour les prochaines masturbations. Je jouis bien sur. Enfin les deux amantes peuvent s'occuper de moi. Elles m’installent entre elles et si l'une s'occupe de mon bas ventre, l'autre me caresse la poitrine. Je pose une main sur chaque con et les branle. Nous fermons toutes les yeux dans notre délire lesbien. Nous arrivons à jouir ensemble. je voudrais refaire l'amour avec ma voisine. C'est simple je n'ai qu'à demander. Ce qu'elle me propose est simple et j'aime déjà: un 69. Il n'est pas tout à fait comme la veille: nous nous suçons bien sur, mais en plus elle commence par me mettre deux doigts au cul. J'ai aimé me faire mettre une queue là: elle me fait du bien encore plus qu'en me suçant seulement. Je lui mets également deux doigts ans l'anus. Pendant notre étreinte, son amie et mon amant reprennent une baise: elle est non pas étendue, mais assise sur lui et se fait mettre à fond dans le con. Elle se caresse les seins pendant qu'il la branle.
Cette nuit n'a pas de fin. Notre hôtesse a plus d'un arc dans sa poche: elle a deux godemichés dont un double pour que deux filles puissent se baiser ensemble et un autre double pour les doubles pénétrations. Notre amant n'a plus qu'à se branler, ce qui n'est pas désagréable à voir sa main qui astique sa queue.
Les deux amantes prennent le gode double pour se baiser ensemble. Elles se couchent presque con à con. Les jambes écartées qui du coup se trouvent l'une sur l'autre et c'est l'amante qui officie: elle rentre une bonne partie du gode dans le con de sa compagne avant de le faire ressortir pour s'en rentrer autant en elle.
Les vas-et-viens sont de plus en plus rapide. Ma voisine en profite pour se branler également. Elles poussent un cri de délivrance en jouissant.
De mon coté je prends ce double pour me le mettre d'abord dans le con pour bien le mouiller et mettre cette partie dans mon cul, avant de mettre l'autre dans mon con. Je n'ai qu'à faire que peu d'efforts pour me baiser et m'enculer à la fois. Je me demande comment j'ai fait pu me passer de tels orgasmes pendant toute ma jeune vie de fille qui ne savait rien.
Je me sens prête à accepter n'importe quoi qui me fasse jouir. Mon amant qui n'avait d'autres ressources que de se branler vient me demander de le sucer. Je commence à aimer ce genre de façon de faire jouir, aussi sans problème je le prends entièrement dans le bouche. Il rentre tellement en moi que je suis sur le pont de le rejeter. Il comprend et se retire un peu. Toute ma bouche est occupée par cette bite qui a visité mon con et mon cul. Il ne jouit pas: il sort de ma bouche et me demande de le branler. Je n'ai jamais branlé un homme aussi mes première tentatives sont assez peu réussies. Il dirige ma main et enfin je trouve la façon de lui descendre le prépuce lentement et de le remonter aussi lentement.
Mon mouvement s'accélère et j'ai enfin la joie de voir jaillir son flot de sperme qui vient en partie sur moi. Je récupère ce que je peux et le porte à la bouche: c'est bon.
Dommage la nuit se termine. Nous sommes tous fatigués. Nous devons refaire une soirée comme celle ci la semaine prochaine. En attendant, rentrée chez moi, j'ai encore une petite envie de jouir. Je suis vite nue et j'écarte bien mes cuisses pour me branler avec une main sur le clitoris, un doigt dans le cul et l'autre dans mon con.
Je jouis et m'endors. Je réveille plus tard, avec toujours mon pouce dans le con. Je ne dois pas être normale, je ne pense qu'à la baise, sous toutes ses formes.
Ce matin assez tard, je me précipite dans un sexe-shop pour choisir les objets les plus à même de me donner du plaisir. J'ai la chance de tomber sur une jeune vendeuse qui, me dit-elle, a testé la plus part des objets. Elle me conseille bien et même me demande si je veux à mon tour tester avec elle. Pourquoi pas !!
Elle ferme le magasin et m'entraine vers l'arrière boutique où il y a un lit. Elle sort plusieurs godemichés, des boules de geisha vibrantes et des plugs pour occuper le cul.
Elle ne s'arête pas là: elle se déshabille, m'en fait tout autant en m'embrassant. Je regarde ce nouveau corps: seins biens plantés, ventre plat et pubis légèrement poilu, comme moi et de longues jambes. Nous commençons par nous branler et nous sucer un peu pour nous mettre bien en forme. Elle me pose un plug dans le cul.
J'en reste baba: c'est très excitant surtout comme elle me dit je dois le garder tout le temps. Ensuite elle me propose un godemiché cristal qui a la forme exacte d'une belle bite, avec le gland bien sortir et les veines bien apparentes. Elle me le met au con et en peu de temps elle me fait jouir. Je la prends à mon tour dans mes bras et la baise avec ce gode. Elle jouit en fermant les yeux, surtout quand je l'embrasse.
Enfin elle me donne des boules de geisha vibrantes: effet garanti dès la mise en route pas simple télécommande. Je jouis ainsi plusieurs fois. Je veux les mettre dans le con de ma vendeuse: elle les préfère dans le cul. Il me faut essayer aussi cet endroit. J’avoue que c'est bien meilleur qu'une bite. Enfin elle me donne un chapelet de billes à mettre dans le cul avant de les sortir une à une de la plus petite à la plus grande. Elle me le met en place et tire lentement : à chaque passage d'une bille j'ai l'impression d'être sur le point de jouir: délicieux, je pourrai le faire moi même dès ce soir
Au moment de partir, elle ne me fait rien payer: je l'ai faite bien jouir.
Nous devons nous revoir chez moi. En attendant j'ai gardé les boules de geisha dans mon cul et de temps en temps, comme ça, je les mets en route et je suis obligée de m'arrêter pour m'appuyer sur un mur quand je jouis.
Je suis devenue une vraie salope, prête à tout pour jouir. Le gode cristal me sert souvent maintenant le soir, quand je suis seule.
J’arrive à allier le gode et le chapelet. J'espère trouver un amant qui me fera jouir souvent et m'entretiendra: je deviens presque une pute.

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